jeudi 25 janvier 2007

BIDIBULLES FINANCIERES


Alors comme ça, le patronat demanderait de l’air.
Avec 65 milliards d’aides publiques,
On peut déjà lui dire qu’il n’en manque pas, d’air.
Toutefois s’il tient tant que ça à ce qu’on lui souffle dans les bronches,
surtout qu’il n’hésite pas à le dire !

C’est moi ou les aristocacs se sentent pousser des ailes. Cela dit, ma foi, c’est très cohérent avec un besoin d’air et de grands espaces dérégulés. Sérieux, ils me semblent en très grande forme. La même qui habite leur candidat à la présidence d’ailleurs. J’ai beaucoup aimé l’aphorisme « l’homme n’est pas une marchandise comme les autres ». Énorme ! Dis-moi mon petit Nico, quel taux de TVA tu comptes appliquer à cette marchandise pas comme les autres ?

SIL dans la soupe