mardi 30 janvier 2007

L’ESPACE SEUL AVENIR DE L’ESPECE


Mais c’est qu’il y a surchauffe dans les milieux écologiques. Attention ! Entre notre Nicolas Bulot qui brasse de l’air puis s’enfonce dans les sables mous de ses concepts, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) qui décide de sacrifier quelques arbres histoire de pondre un énième rapport, les verts qui font feu de tout bois afin de surfer sur la frousse de même couleur que nous ficherait l’insécurité écologique, Claude Allègre qui se la joue Mammouth en voie de disparition et qui tient à brouter tranquillement alors que tout le monde lui répète de ne pas rester dehors, j’ai comme une envie de rejoindre ma reine picte, ma Guenièvre, ma Ségolene sous le soleil clément des Antilles. Je me moque, pourraient prétendre ceux que je prive de commentaires sur mon débblog. Certes.

Qu’ils ne croient pas cependant que je suis un tenant du « laisser faire, laisser passer », que je ne souhaite pas que l’on gère raisonnablement nos ressources présentes et que l’on ne prenne pas soin de notre environnement, pelouses, squares et autres bacs à fleurs, pour notre bien ou celui de nos crétins de gamins qui ne pensent qu’à leur i-podes, leur i-fringues et autres i-conneries pendant que j’emmène les pelures au compost. Il se trouve juste qu’une fois affirmé que « notre maison brûle », on a tout dit et rien fait et que moi, ça me gave. Ça me gave d’autant plus qu’outre ces grands principes, les solutions soi-disant radicales proposées par les écologistes me plongent dans la consternation. Il faut encadrer la croissance, freiner la croissance, équilibré la croissance, répartir la croissance... faute de mourir d’insolation au moins ils me tueront de rire.

Eh, les cocos verts, allez donc expliquer aux américains du nord comme du sud, aux asiates en général et aux chinois en particulier que notre style de vie n’est pas top pour le cosmos. Allez donc expliquer à l’Afrique qui se meurt du manque de croissance et qui vendrait 12 fois l’âme et l’atmosphère de la planète pour être à notre place qu’on va tous réfléchir à comment répartir tout ça. Avant que vous n’ayez commencé à exposer vos bonnes blagues bio, la cocotte minute terrestre aura eu le temps d’exploser 12 fois. Allons, allons, un peu de sérieux ! Vous connaissez quelqu’un, y compris parmi vous, capable honnêtement de refiler, à des quidam qu’il ne connaît ni d’Eve, ni d’Adam, son bien-être ou celui qu’il bâtit péniblement pour ces rejetons. Vos objections de croissance ne sont que foutaises ou aussi peu compatibles avec l’humain que les délires consistant à tendre l’autre joue quand on vous gifle ! Alors que faire ? C’est trés simple ! Ouarf ! Ouarf ! J’adore faire ce coup là !

S’il convient de chercher à mettre en place au niveau international les moyens de limiter la casse pour les siècles à venir, il ne faut cependant pas se leurrer. Bien des chercheurs disent que pour ce siècle, toute rectification des changements climatiques est inenvisageable. Et moi je vous dis que l’on ne sait pas si le phénomène est réversible et si la Terre ne va pas nous faire tout simplement un de ces mega « reset » dont elle a le secret. Op on laisse toute vie se dissoudre et on remet la soupe biologique sur le feu. Pessimiste moi ? Non ! Conscient que nous ne somme rien et qu’a tout instant on peut de toute façon se faire exploser la carcasse par tout objet céleste mal intentionné. Alors que faire ! C'est pourtant évident! Ouarf ! Vraiment j’adore !

Un proverbe japonais dis que « la solution vient souvent d’en haut ». Comment?!? Il n'y pas à dire. Vous disposez d'autant d'imagination qu'une cocotte en fonte usinée sous l'ancien empire sovietique. Levez donc les yeux bande de limités. La solution est en grande partie là-haut ! Et oui, en installant des bases industrielles sur la lune ou dans la ceinture d’astéroïdes, riche en matières premiers, exit dans le cosmos, la pollution. Sur mars, les gaz à effet de serre sont mêmes désirés. Notre excès démographique, op ! dans l’espace ; La conquête de nouveaux espaces, dans l’espace ; la guerre, dans l’espace, encore que pour qu’il y ait guerre il faut rareté de la ressource or je peux vous assurer que la ressource spatiale est loin de se faire rare. Fini le syndrome de « l’île de Pacques » où des groupes rivaux dans un espace limité se tirent la bourre jusqu'à épuisement des ressources. Dans l’espace, je peux vous dire que niveau limitation de la croissance, on n’est pas prêt de se poser la question avant longtemps. Fini le risque de disparition de notre espèce. Fini notre plus grande angoisse. Le ciel pourra bien nous tomber sur la tête, une grande partie de notre descendance ne sera plus là… et histoire de me faire plaisir, je ne résiste pas à vous soumettre un dernier argument… Si notre avenir sur cette jolie planète se trouve définitivement cramé, on aura réussi à mettre notre descendance au frais, au frais intersidéral…

Et comme ça, Mercedes pourra m’offrir sans culpabiliser son 4X4 classe M (voir plus bas).

SIL commandant du Galactica