mardi 6 mars 2007

DOLCE GABBANA EN CABANE


Pour appréhender nos démons, il nous faut parfois voyager en enfer. Pour comprendre le monde, il faut de temps à autre parcourir l’inframonde. Un inframonde qui est passé, depuis peu, de l’ère du chimérique à celle du numérique. Comme il m’arrive, en tant que Surfeur d’argent, d’arpenter les égouts numériques, je pense pouvoir vous dire ce qui a pu passé par la tête des Dolce Gabanna quand ils se sont permis, à travers leur dernière campagne de pub, d’afficher une femme aux prises avec 5 gaillards, dont un qui la maintient au sol, par les poignets (voir image).

Tout comme, Ana Carolina, le petit mannequin brésilien, est morte de maigreur parce que certains préfèrent croquer chez les filles, l’enfant plutôt que la femme, de la même façon, le porno-chic (sic) se permet de glamourisé (sic) le viol parce que le porno-hard est débordant de ce type de fantasmes.

Oh, je n’ai absolument rien contre le porno, ce Blog versant souvent dans « le zizi dans le pilou-pilou ». Cependant je préfère quand il ne s’affiche pas aux yeux des faibles d’esprits, histoire qu’ils puissent toujours accéder au paradis. C’est mon coté pudique chic ! Une pudeur chic qui s’interroge tout de même sur ce qui a fait passer, dans certaines têtes, le sexe, de l’état de délice à celui de sévices. A qui la faute ? L’enfer ne ma l’a pas dit.

Quant à ceux qui seraient tentés de parcourir l’inframonde, n’oubliez surtout pas votre fil d’Ariane puisqu’aux enfers, il n’y a pas de sortie de secours…

SIL vague cousin de Thésée

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