jeudi 8 mars 2007

FEMMES DU MONDE ENTIER, UNISSONS-NOUS


Puisque les cris féministes de mon Anima ponctuent fréquemment ce Blog (voir billet d’il y a 2 jours sur Dolce Gabbana), je me suis dit ce matin, que j’allais boycotter cette hypocrite journée mondiale de la Femme. C’était sans compter sur ma rage femelle qui tenait absolument à faire son intéressante...

Je me suis dit alors qu’à jour exceptionnel, il me fallait une démarche exceptionnelle qui mettrait de coté mes ricanements habituels. Pourquoi pas un petit poème me dis-je ?

Pendant que mon Nesquik™ (PUB) chauffait dans le micro-ondes, je me suis mis à composer un haïku, ces petit poèmes japonais fourrés, tels des brioches au porc laqué, de cette grandiloquence propre à ces mongols des îles où le soleil est censé se lever, se coucher et inversement (ben oui, c’est logique si vous y réfléchissez une minute).

Cependant, au moment où le micro-ondes fit « tilt », le mien fait « tilt », mon esprit l’imita. Je me suis rappelé qu’adolescent, j’avais rempli de râteaux, tout le hangar de ma jeunesse, en voulant emballer les filles avec de la poésie. Je me suis donc ravisé et tout en savourant mon Nesquik™ (PUB), j’ai rendu hommage aux femmes en écoutant un célèbre morceau de Julien Clerc, dont voici le texte. Entre parenthèses vous y trouverez ce qui me passait par la tête, tout en avalant mon Nesquik™ (rePUB) pendant la diffusion de la chanson.

« Quelquefois ; Si douces (Tu parles !) ; Quand la vie me touche ; Comme nous tous ; Alors si douces... Quelquefois ; Si dures (Oh que oui !); Que chaque blessure ; Longtemps me dure ; Longtemps me dure...

Femmes...Je vous aime (Oui ! Toutes) ! ; Femmes...Je vous aime (Oui ! Surtout la Mienne !) ; Je n'en connais pas de faciles (Tu l’as dit bouffi !) ; Je n'en connais que de fragiles (Oh que Oui !) ; Et difficiles (Oublions ça !) ; Oui...difficiles (oublis je te dis !)...

Quelquefois ; Si drôles (ma chère Florence Foresti) ; Sur un coin d'épaule ; Oh oui...Si drôles (Marie-Georges Bu..., mais involontairement cette fois-ci !) ; Regard qui frôle (J’ai rien compris !)...
Quelquefois ; Si seules (Dominique Voy...) ; Parfois elles le veulent (n’est-ce pas Arlette La...) ; Oui mais...Si seules (c’est toi Marie ?!?) ; Oui mais si seules (je suis là, moi !)...

Femmes...Je vous aime (Marie, Ségolène et les autres) ; Femmes...Je vous aime (mais surtout la Mienne, j’insiste) ; Vous êtes ma mère (salut maman) ; je vous ressemble (à ma mère ?!?) ; Et tout ensemble mon enfant ; Mon impatience ; Et ma souffrance...

Femmes...Je vous aime ; Femmes...Je vous aime ; Si parfois ces mots se déchirent ; C'est que je n'ose pas vous dire ; Je vous désire ; Ou même pire... ( rien à rajouter) ... O...Femmes... »

Sinon, Ma chérie, je suis tout à fait d’accord avec toi ! Moi aussi je milite, dans mon immeuble, c’est déjà un début, pour qu’Olympe de Gouges, l’aspect X de mon génotype conceptuel, intègre le Panthéon.

SILien Clerc conscient qu’en tout homme se cache une femme... sa mère !

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