mardi 10 avril 2007

FUMEUR DE CHIITE


Il semblerait de toute évidence que le régime des mollards nourrit des désirs d’uranium enrichi, alors qu’une partie de la population iranienne comme de la communauté internationale attend une mutation du régime. En effet, à grands renforts de gesticulations 3D, le régime sec de Téhéran vient d’annoncer son intention d’installer cinquante milliards ou cinquante mille, je ne sais plus exactement, centrifugeuses d’enrichissement d’uranium. Qu’en dit le peuple iranien ? Il aimerait que l’on enrichisse un peu plus son maigre quotidien et que l’on accélère les particules de la reforme démocratique. Et ben, vous savez quoi ? J’ai la solution qui mettra tout le monde d’accord.

Pour l’uranium enrichi, je suggère qu’on le leur envoi, par les airs. Ceci fera d’un missile deux coups au but puisque les radiations provoqueront immanquablement la mutation génétique du régime.

Pour le coup, les tenants de l’esprit de Munich ou de Masshad me diront que c’est idiot parce que l’on n’a pas les moyens de mener une guerre contre l’Iran et d’occuper le pays. Qu’ils sont cons ces Munichois ou Masshadois. C’est bien une constante ça tiens. Qui vous a parlé d’occuper l’Iran. Je m’en fous, de l’Iran, moi ! Je propose juste que tout en faisant en sorte d’épargner le plus possible les populations et surtout celles opposées au mollards, que l’on bombarde tous les lieux, sièges et symboles du pouvoir islamique ; que l’on annihile leur superbe présente en épargnant les splendeurs passée, histoire que le peuple oublie ce qui est sans oublier d’où il vient.

Je me réserverais juste, peut-être, un petit plaisir personnel. Je Demanderai bien aux américains de m’en livrer un ou deux, histoire de leur épiler la barbe à la pince; ou à la cire ; j’hésite encore.

J’hésite d’autant plus qu’il est fort probable que tout leur bordel nucléaire leur pète à la gueule sans l’aide de qui que ce soit. C’est comme leur futur missile nucléaire. Bien que verrouillé sur Israël, il y a de fortes chances qu’il atterrisse de façon impromptue aussi bien à Beyrouth, à Ramallah qu’à Amman ou bien encore, fasse une aussi brève que définitive escale à Damas. Du coup vous comprendrez que j’hésite encore à fumer du Chiite radioactif.

SIL chat d’Iran à poil long.

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