mercredi 18 avril 2007

« NE LA LAISSE PAS TOMBER … »


« Ne la laisse pas tomber, c’est pas si facile, d’être une femme engagée, tu sais, c’est si fragile… ». Voici la chanson que Dominique Voynet aurait dû adopté pour sa campagne. En effet, hier, en guise d’ultime argument tout vermoulu, elle a lancé l’appel suivant.

« Le 22 avril, il ne faut pas me laisser tomber sinon, on aura juste des yeux pour pleurer et des mots pour regretter ».

Quelle idée voyons ?!? En politique, on se doit de montrer l’exemple. Or quand on dirige un parti vraiment écologiste, on se doit de démontrer qu’il est biodégradable et que ses idées sont recyclables.

Ne t’inquiètes pas Dominique, dans la Nature, « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Et moi, promis juré, je ne te laisserai pas tomber comme ça, brutalement, au fond de la fosse. Je tiendrais la corde. J’assisterai, en versant ma petite larme, avec dignité, aux funérailles de l’écologie bien urbaine, celle des gogosses de la ville, et applaudirais, promis juré, à la fin de l’oraison funèbre qui sera prononcée par Frédéric Nihous, le nouveau candidat de la ruralité. Je vous regretterais, va ! Vous m’avez bien fait rire…

SIL en deuil.

1 commentaire:

Unknown a dit…

Là ! C'est pas bien, de dénigrer mon idole.
Je prie chaque jour devant sa photo. Il est beau,, il ne sent rien, normal cela n'est qu'une photo, mais il me rassure? D'ailleurs il a fait un miracle. Un vrai ! un de ceux qui vous transforme la vie. Mon anite est guéri.
Pour vous dire le Richard, me l'a guéri ce mal qui me brulait quotidiennement le fondement.

J'ose pas le faire reconnaître, imaginez l'image du premier miracle mis en ex-voto dans toute les revues du monde en première page.

Je narre le miracle.
Un matin inspirait par ma dévotion, faut dire que dans mon lieu de méditation préféré, un grand poster (un vrai dédicacé et un peu taché, c'est normal, lorsque l'on aime une idole, il faut le démontrer.)
souffrant de mes brûlures les plus horribles, mon fondement réticent à exprimer sa fonction, je priais la réincarnaton d'un déva représenté par l'image en face de moi. Ponctué à défaut de OM! OM! OM! de rigueur, d'autres interjections et sons gutturaux (classique pour un rustre). Quand miracle !! Ossana dans les cieux ! la brûlure infâme cessa, plus rien, Je crus un instant à mon décés, non que nenni, cela fut miraculeux.
je tombais à genou, (là j'aurais pas du, cela est salissant pour ces sous-vétement cela) mais tout à ma crise mystique, qu'importe quelques souillures.

Vite il faut l'inscrire au calendrier, en remplacement de Saint-Fion, qui ne m'a jamais aussi bien soulagé que le Richard Gère ma crise.

Depuis je vis une vie normale, mes matins sont plus joyeux, quoique maintenant je ne regarde plus que les hommes. M'enfin, faut bien qu'il y ait quelques désavantages ...