vendredi 11 mai 2007

MON STRAUSS-KAHN A LA GAUCHE DU REEL


Parce que la vraie Gauche n’est sûrement pas celle qui rêve le Monde en attendant d’en faire l’un de nos pires cauchemars.

Puisque la Gauche responsable, constructive et adulte a toujours été celle qui prend le monde tel qu’il est dans sa complexité pour mieux agir dans l’intérêt de tous, je vous propose des extraits de l’allocution que mon Raïs à moi, DSK, surnommé « Dôhko » le vieux maître « des cinq pics », donna hier dans un restaurant chinois lors d’un dîner de soutient à son bras droit Jean-Christophe Cambadelis.

« Ce soir je vais vous parler d'avenir, je vais vous parler de victoire et de gauche conquérante (...) si la gauche veut gagner les élections législatives et résister le mieux possible, elle doit montrer qu'elle a entendu le message de la présidentielle ».

« Il y a des causes de fond à la défaite présidentielle de Ségolène Royal face à Nicolas Sarkozy dimanche dernier. L'échec vient de loin et repose sur le fait que les Français ont compris que nous ne sommes plus dans le monde d'il y a vingt ans. Ce n'était pas un problème d'idéologie mais un problème de réel ».

« Nous n'avons pas donné aux Français le sentiment que nous étions ancrés sur les questions réelles" et « d'une manière ou d'une autre, tous ceux qui ont dirigé ce parti (moi y compris) en sont responsables ».

« Dimanche, j'étais un peu en colère, je le suis toujours d'ailleurs, parce qu'on devait gagner. On ne peut pas se permettre de perdre quand on veut défendre ceux qui risquent de souffrir ».

« Les Français veulent une gauche efficace ; les Français veulent une gauche crédible ; les Français veulent une gauche concrète (...) une gauche du réel pas de l'idéologie (...) efficace pas incantatoire (...) une gauche qui règle les problèmes ; pas une gauche qui ressasse les solutions d'hier »

« Ce qui compte, c'est que le Parti socialiste retrouve son lien qu'il n'aurait jamais dû perdre avec la réalité économique et sociale de notre pays ». « Il faut y aller pour gagner ». « Il faut se battre ».

SIL chevalier du Phoenix, en stage du coté des « cinq pics »

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