lundi 31 mars 2008

SILDA SPITZER


Puisque même mon Lolo s’est amouraché de Kristen, la dinde de Thanksgiving préférée du Gouverneur New-yorkais Eliot Spitzer, à 2000 dollars la cuisse tout de même, et même si comme bien d’autres je lui péterai bien les deux pattes arrière dans mes rêveries les plus gratuites, il est hors de question que la chair de cette génisse occulte la classieuse plastique de Madame Silda Spitzer, l’épouse bafouée de l’Eliot Nase susvisé.

Je sais que les taux hormonaux du trentenaire poussent celui-ci vers la femme aux fruits délicatement mûris par les caresses de l’age et que par conséquent l’objectivité de mon appréciation est sans doute à relativiser mais tout de même, Silda n’est-elle pas magnifique ? Sublime au point de se demander comment on peut lui préférer une vulgaire pintade.

D’aucuns e-proches m’ont répondu que Silda était peut-être un glaçon. Que nenni les amis ! D’une part, j’ai trop souvent retrouvé le coup du « glaçon » chez des éjaculateurs précoces qui se la jouaient Titanic tout en ayant de gros problèmes de gouvernail, pour admettre ce genre d’hypothèses. D’autre part, même si cela était le cas, dois-je signaler qu’au-dessus de zéro, un glaçon se réchauffe.

Mais bon, Houellebecq en parlant de « déclin du vagin occidental » pour justifier Pattaya a fait beaucoup de mal à la masculinité des environs. Il l’installe dans une médiocrité proche du zéro absolu, capable de glacer la plus vivante braise qui soit. Non mais regardez-moi les yeux de la dame. Quelque chose vous glace dans ce regard, vous ?

S’il y a déclin, c’est certainement chez certains vits occidentaux proches du niveau zéro, chez des pénis démocrates impuissants à convaincre leurs dames du bien fondé de leurs programmes ou de leurs promesses. Le « elle se refuse peut-être à certaines pratiques » étant le deuxième type d’excuses que je retrouve chez de trop mauvaises langues.

Ce Monsieur Spitzer, un bien piètre sexual-démocrate et le symbole du déclin du pénis occidental.

SILda-da-da

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Salut la compagnie !

Bon, puisqu'on me prête des pensées pour le moins inappropriées dans ce billet (je ne m'amourache pas, moi Monsieur Sil ! Je baise ! ... enfin parfois...) j'estime que la moindre des choses est de prendre le droit de réponse que l'hôte de ce blog se fait un devoir de m'accorder.
Alors comme ça, je commettrais une erreur à préférer la Poulette Kristen ("dinde" ne lui va vraiment pas) à la Dame cocue ?

Qu'on s'entende bien : je ne me suis jusqu'alors prononcé que sur la maîtresse et non sur l'épouse. Le terme "préférer" sous entend le contraire. Un peu de rigueur, Sil te plaît !

Maintenant, si on me demande ce que je pense du comportement de ce mec, alors que sa femme a un tel physique, je répondrais : "t'as raison coco, quand on peut en avoir 2 au lieu d'une, faut pas se priver !!!" Ca c'est mon côté mec de droite...

Mais le physique, revenons y justement : t'est il venu à l'esprit cher ami, que la Madame Spitzer, eut égard à son physique actuel, ne devait pas être trop hideuse il y a 20 ans de cela ? Ce que je veux te dire, c'est que les goût du gouverneur n'ont pas du beaucoup changer en 20 ans : il les aime jeunes et canons. Ben y'a pire comme faute de goût ! Et pour ma part, je pencherai toujours plus pour le fruit un peu vert que pour celui, déjà trop mûr, et cueillit par un autre que moi. J'ajouterai que les aléas de la vie, comme du transport en cagette, laisse parfois de vilaines traces sur la peau ou plus en profondeur. J'aime l'acidité en bouche, j'aime l'inconséquence, j'aime le tonus et j'aime l'insolence ; ça c'est mon côté mec de gauche (pas trop quand même).

Et puis mon petit côté écolo me rappelle qu'en ce bas monde, la beauté de la chair et des fruits est une chose bien éphémère. La rose est belle aussi parce qu'elle n'est en bouton que quelques heures et en fleur épanouie que quelques jours. Un fruit qu'on conserve au frigo gardera son aspect plus longtemps, c'est vrai. Mais la vie s'en échappera quand même irrémédiablement. Un fruit trop beau, trop longtemps, mon instinct primitif me dit qu'il faut que je m'en méfie, c'est encore un coup de Monsanto.

Alors après cela, savoir si elles aiment la gaudriole autant que moi, autant que nous mon cher Sil, c'est une étape ultérieure. Tu en viens bien vite aux conclusions sexuelles alors même que ni la Dame de New-York, ni la call-girl affolante, ne te sont encore promises à l'heure qu'il est. Un peu moins d'empressement donc !

@+,

LOLO45QUIPEUTDéVELOPPERSINéCESSAIRE.

SIL a dit…

WWWWRONG AGAIN ! Et oui encore une erreur d’analyse, ce qui me conduit à te recaler à ton examen final, tels tes trois malheureux collègues (privat joke), car je te signale que bien que tu sois un écolo de droite (synonyme de pécore en somme) tu sembles faire fi du fait que les fruits de la Femme sont consommables bien, bien, bien plus longtemps que n’importe quelle salade ou tout autre legume de saison, et ce sans que la moindre manipulation génétique ne soit nécessaire. Quelques manipulations oratoires, digitales ou tantriques pour les plus metrosexuels suffisant amplement à maintenir le fruit vivant.

Et si je n’ai rien contre les pommes un peu vertes et leur goût acide, je les trouve bien plus chiantes à plusieurs titres. Plus chiantes à peler, à croquer comme à digérer. Les plus mûres sont un Tresor au parfum sucré, tout aussi croquantes et craquantes que les vertes, et surtout bien plus fondantes au niveau du palais tout en gardant des pommes vertes ces petits pépins dans les yeux qu’on ne peut avaler.

Sinon non seulement je ne prête rien, à la rigueur je loue, ce qui vaut pour les intentions, en vertu d’un truc d’artisan du BTP voulant que l’on ne prête jamais ses propres outils, mais de plus j’estime que de trouver normal de casquer 4000 dollars pour une poularde, conduit à porter atteinte à l’honneur de ta corporation publique. L’opinion publique a beau penser que les fonctionnaires sont des nantis, elle risque avec ce genre de considérations de croire qu’elle est bien en dessous de la vérité.

SIL fidèle à Silda

Anonyme a dit…

Qui a dit que moi j'aurais besoin de payer ???

Parlons de saisons, en effet ! Si celle des femmes est bien plus longue que pour une vulgaire salade (encore heureux), dois-je te rappeler que nous, les hommes, avons de notre précoce printemps à notre hiver final, une saison interminable. Et faut bien s'occuper quand la saison est longue ;-)))

Sinon, concernant le reste de ton explication, je n'aurais qu'une réplique :

arrêtons là de nous chamailler, nous sommes faits pour nous entendre ! On se partage une fois encore le monde en 2 parts "égales" : à moi les jeunes femmes turbulentes à toi les moins jeunes femmes captivantes (si tu veux je te laisse même les septua, octo, nona ... génaires)... connaissant ton goût pour l'histoire !

@+,

LOLO45QUICAMPESURSESPOSITIONS.

PS : un peu comme les 3 mousquetaires, les collègues sont 4(private précision).

SIL a dit…

Des positions de Géographe.... Bouhhhh !

Anonyme a dit…

Lire le blog en entier, pretty good