samedi 31 janvier 2009

FACE À UN ANTISÉMITISME QUI “SE PORTE TROP BIEN”, AYEZ LE REFLEXE NINJEWTSU


Face à la montée de l’antisémitisme en France j'avais conseillé, il y a quelques mois, la pratique du Jew-jitsu. Et bien ça ne suffit pas ! Avec un article qui nous explique que l’antisémitisme toucherait 45 % des Italiens, il est temps de passer à quelque chose de beaucoup plus efficace. Le Ninjewtsu. Voici l’article :

ITALIE - L’antisémitisme se porte trop bien

En cette Journée internationale de commémoration des victimes de l’Holocauste, la presse italienne constate avec effroi que les Italiens sont nombreux à se dire antisémites. Une réalité confirmée par les chiffres d’un récent sondage.
Un sondage publié le 26 janvier, par le Corriere della Sera révèle en effet que “douze Italiens sur cent se disent antisémites”. En fait, remarque l’éditorialiste de La Stampa Arrigo Levi, “les antisémites qui se disent tels sont aujourd’hui en Italie 45 % : ceux qui le sont par antijudaïsme religieux et culturel (10 %) ; ceux qui estiment que les Juifs sont “trop puissants et peu patriotes (11 %) ; ceux qui en ont après Israël en raison de son attitude envers les Palestiniens et de son instrumentalisation de la Shoah (12 %), et, enfin, ceux qui sont antisémites pour toutes ces raisons ensemble. Seuls 12 % affirment ne pas avoir de préjugés et 43 % se déclare ‘indifférent’ à la question.”

Le journaliste rappelle, qu’en Italie, le préjugé antisémite semblait avoir été enterré pour toujours après la Seconde Guerre mondiale. On disait que “les 8 000 à 9 000 Juifs morts en déportation avaient été les victimes des nazis et des fascistes, des ‘mauvais Italiens’”, alors que “les 25 000 qui ont réussi à se sauver devaient leur salut à des ‘bons Italiens’. Difficile de se résigner, soixante ans après, à l’idée d’une Italie largement antisémite. Voilà pourquoi”, ajoute Arrigo Levi, “la Journée de la mémoire n’est pas faite pour se souvenir des Juifs assassinés, mais des non-Juifs qui les ont tués. Elle est faite pour vous mettre en garde contre les idées ignobles des assassins, dans l’espoir que ces idées soient mortes. Il semble qu’elles ne le soient pas. Elle n’est pas faite pour nous. Elle est faite pour vous.”

Cette année, la Journée de la mémoire tombe quelques jours après la révocation par le pape Benoît XVI de l’excommunication des fidèles de monseigneur Lefebvre, l’évêque conservateur schismatique, parmi lesquels Mgr Richard Williamson, qui a encore récemment nié l’Holocauste. “Le négationnisme n’est pas une opinion privée, un terrain sur lequel peut s’exercer un droit légitime à l’expression à propos d’une page controversée de l’Histoire”, estime à ce sujet Pierluigi Battista dans le Corriere della Sera. “Ce n’est pas une affaire interne de l’Eglise, mais une preuve de tolérance à l’égard de l’intolérable.” Face à la résurgence de l’antisémitisme, qu’il apparaisse dans les sondages ou qu’il soit incarné par les propos du président de l’Iran Mahmoud Ahmadinejad ou du Hamas palestinien, Pierluigi Battista suggère de mener “une guerre culturelle très difficile mais passionnante, suivant l’‘exemple héroïque’” de Pierre Vidal-Naquet qui, dans Les assassins de la mémoire (La Découverte, 2005), “démonte un par un les mensonges des ‘Eichmann de papier’”.

Gian Paolo Accardo

vendredi 30 janvier 2009

REOPEN-HUDSON 3 : AVION BRISE-GLACE OU SOUS-MARIN VOLANT ?


Ce matin-là, à la rédaction de l’agence eXc, voici que nous tombons sur cette dépêche AGT « New York: l’Airbus remonté à la surface AGT 18/01/2009 : Des équipes spécialisées ont remonté à la surface dans la nuit la carlingue de l’Airbus contraint jeudi à un amérissage d’urgence dans l’Hudson à New York. Entamées hier, ces opérations pour sortir l’appareil de l’eau avaient été reportées à plusieurs reprises, les équipes de sauvetage ayant eu du mal à dégager la carlingue des eaux agitées et partiellement glacées du fleuve, selon les autorités. L’appareil avait été préalablement remorqué et amarré à un quai de New York. Des grues ont été appelées pour faire lever la queue de l’appareil. »

C’est la stupéfaction à la rédaction. « Ils ne nous prendraient quand même pas à ce point pour des cochons de lait » lance Michael responsable du service « Médiocre-Orient ».

« En effet que diable. Il ne faudrait pas nous prendre pour des jambons de Bayonne », précise Simon, notre free-lance préféré.

Notre cryptanalyste Zoubor, hilare, se lance dans son analyse « alors comme ça, on attend la nuit pour remonter à la surface la carlingue du flyingsub ? Que c’est comique. On aurait des choses à cacher que l’on ne s’y prendrait pas autrement ! Et puis des grues pour lever la queue de l’appareil, qu’est-ce donc que cette histoire ? Un avion français n’a pas besoin de grues pour se retrouver avec la queue dressée, voyons ! »

Eclats de rire dans la salle de rédaction.

L’Amiral Mercator contacté au titre de consultant aux affaires maritimes se permet une remarque tout à fait judicieuse, pour une fois, « et puis quel quai de NY accepterait d’ouvrir de nuit ? Je connais bien les syndicats du port de NY et je peux vous assurer qu’ils n’accepteraient jamais une telle entorse à leur convention collective. Vraiment n’importe quoi ! A moins que la CIA dispose d’un quai à NY ? A vérifier… »

C’est là que le téléphone rouge sonne. Il s’agit du professeur Nathan Waldman, une vieille connaissance de Master Sitt, notre rédacteur en chef.

Ancien cadre de la CIA, ce pauvre professeur s’est fait virer pour avoir tenté de révéler à une commission d’enquête indépendante que le gazage des villages kurdes en Iraq n’était pas le fait de Saddam Hussein mais de la CIA. Tout comme les 200 000 victimes algériennes du GIA, les centaines de milliers du Sud Soudan, du Darfour, les centaines des villages coptes d’Egypte, touarègues du Niger et chrétiennes du Nigeria, sans oublier celles d’Indonésie, du sud Thaïlande et des Philippines, ne sont pas l’œuvre des islamistes mais bien de la CIA. Il comptait révéler également que pour organiser toutes ces opérations de déstabilisation globale, sans parler de celles prévues au niveau de la Galaxie, le nombre d’agents de la CIA était passé discrètement sous l’administration neoconSSionniste Clinton-Bush de 24 000 agents à environ 1 million, chiffre tout à fait crédible puisque en dessous de celui des effectifs de l’Éducation Nationale Française, organe local de sabordage sociétal.

Rendez-vous est pris dans Central Park, l’un des rares endroits où l’on peut trouver des arbres et des rochers qui ne manqueront pas de vous signaler une quelconque intrusion sioniste.

« Au travail mes pingouins » nous lance Master Sitt.

Méticuleusement dissimulés au milieu d’une fête d’anniversaire organisée dans le parc par une brave famille antisioniste, qui avait pensé à gonfler des ballons brouilleurs de systèmes d’écoute, le professeur Waldman confirme qu’il s’agissait bien d’un modèle Fsub911. Un flying-submarine sur lequel travaillent les ingénieurs neoconSSiononiste dans la base située sous la statue de la liberté. Celui-ci permettra bientôt d’attaquer tout point du globe en passant par les mers et les fleuves mais aussi de transférer au nez et à la barbe de l’OCI (organisation humanIslamiste mondiale) les prisonniers politiques de l’infâme régime totalitaire actuellement à l’œuvre et qui redoublera d’activité sous la direction du Falasha Barack Abassia, nom ancestral des Obama.

« Damned ! » nous écrions nous.

« Ils vous diront que la queue de l’appareil était plus lourde à cause des boites noires. Bullshit, c’était à cause des propulseurs subaquatiques. De toute façon, ce n’est même plus le véritable appareil qui se trouve amarré au quai de NY mis à disposition de la CIA. Le véritable est retourné à la base. Je me demande juste ce qu’ils vont pouvoir trouver pour justifier le fait que l’on n’a pas encore interviewé ni le pilote, ni les rescapés. C’est vrai que le fort accent portugais des techniciens originaires des Açores où se situe la base principale des flyingsub, aurait fait tache, n’est-ce pas ? »

« C’est vrai » confirmons-nous en rigolant. « Mais pourquoi des techniciens des Açores » demandons nous au professer Waldmann.

« Parce qu’une partie des Portugais et notamment ceux qui ont retrouvé leur terre ancestrale des Açores, descendent des Atlantes (pour la preuve, cliquez sur l’image ci-dessous) et que ceux-ci dans le cadre de la «very-auld-aliance » anglo-portugaise ont juré de servir les intérêts de la cause old-neo-sioniste contre le droit de rester dans cet archipel central et stratégique des Açores, où l’on a retrouvé depuis lors des documents scientifiques de la plus haute importance ».

« Ouahhh » faisons nous, « on comprend mieux pourquoi, il n’y a jamais eu de tentative de conquête de ces îles par aucune autre puissance et que cet archipel fait tout pour ne pas faire de vagues. Tout s’explique ! »

Là-dessus, impatients de rejoindre notre agence avec ces révélations explosives, nous quittons le professeur Waldman qui nous promet sous peu des explications quant au mystère des eaux glacées autour de l’appareil alors que tous les bulletins météos parlaient d’une eau à 6 degrés.

Nous continuons notre enquête et vous tenons au courant. DeConspiracy in progress…

jeudi 29 janvier 2009

DEGAUCHISSEUSE : « J’EN AI MARRE », « C’EST HONTEUX » ET « ÇA SUFFIT »


C’est sûr « ça suffit » comme le dirait à l’adresse du gouvernement une Martine Aubry servant de porte voix aux Français qui défilaient aujourd’hui. Ces mêmes Français à qui on demande toujours de faire des efforts pendant que d’autres peuvent répéter les mêmes âneries sanctionnées par des bonus. Tout comme effectivement, il y’en a « marre de voir les banques continuer de faire comme si de rien était » alors qu’elles « ont été renflouées par le contribuable ». Oui, ma belle Ségolène a le droit de lancer ce cri du cœur, un cri, un « non » que j’imagine en « oui » lors de nos ébats fougueux dont je rêvasse. Une idée de cri que vient de lui piquer, décidemment, Barack Obama en qualifiant de « honteux » le comportement des banques ayant distribué d'importants bonus alors même qu'elles font l'objet d'une aide d'État pour faire face à la crise. Oui, hurlons tous ensemble, tous ensemble. Ça fait du bien. Lâchons-nous !

Moi-même lors de mes accès cardiaques, j’ai comme de furieuses envies qui m’assaillent. Au minimum de virer tous nos tocards de banquiers à grands coups de pieds au cul en leur assignant dorénavant pour seule tache le ramassage des patates, le tri demeurant réservé aux idiots du village bien plus compétents que tous ces nazes. Quant au maximum, si les cris du cœur n’étaient pas facilement pardonnés, je n’oserais les exprimer. En fait, je revendrais bien tous leurs biens sur la place publique, histoire qu’ils apprennent à ne pas faire n’importe quoi avec notre argent, après avoir tiré un bon prix de ces financiers en les vendant en tant qu’esclaves à quelque trader mauritanien, soudanais ou yéménite. Argh, si seulement la traite des traders était autorisée.

Et puis ces excès sanguins irriguant le cerveau, j’en reviens à des pensées plus raisonnables et moins démagos. Car j’ai beau avoir moi aussi besoin d’un plan de relance à plusieurs milliards, je sais encore faire la différence entre la notion d’utilité et celle « à fonds perdus ». Pour dire les choses un peu abruptement, cri du cerveau oblige, si l’on distribue des milliards à des ménages pour qu’ils les dépensent en chinoiseries et autres conneries, c’est à fonds perdus. Alors que si on les injecte dans le système bancaire, il y a beaucoup plus de chance que cela serve l’intérêt global, à savoir, le crédit fait au entreprises, celui fait aux ménages pour se loger, s’équiper ou tout simplement sauvegarder leur épargne.

Pour faire dans la métaphore, prenons l’image suivante. En fait dans notre système économique les banques sont l’équivalent de centrales électriques. Ce faisant, si elles tombent en rade, c’est toute l’économie qui s’arrête net. Aussi dans ce cas là, que vaut-il mieux faire ? Utiliser des milliards pour réparer nos centrales économiques ou bien les distribuer aux gens pour qu’ils s’achètent des bougies pour s’éclairer et du bois pour se chauffer ?

Par conséquent vous comprendrez que lorsque je vois les manifs d’aujourd’hui, je pense à ma dégauchisseuse de collection que je garde précieusement dans mon garage. Car autant je les applaudis lorsqu’il s’agit de défendre des droits ou de réclamer une part supplémentaire d’un gâteau qui grossit, autant quand ces manifestations frisent l’irrationnel ou l’exigence par temps de crise, je m’en éloigne, même si je partage la même inquiétude ainsi exprimée.

Car là, j’ai surtout besoin que l’on remette les centrales économiques en route, histoire que j’y vois plus clair. Je n’ai sûrement pas besoin d’entendre des représentants politiques et syndicaux dire « attention, il va falloir être très gentils avec nous étant donné que nous étions des millions dans la rue » et un gouvernement me faire le coup du gentil psy « mais je vous comprends ; je suis de tout cœur avec vous ; je travaille pour vous ; on se revoit la semaine prochaines ; ça fait 60 euros ».

SILurem D41M

mercredi 28 janvier 2009

FAUX PLANS DE PARTAGE


Je sais c’est laid mais je profite du décollage de l’émissaire de paix d’Obama, George Mitchell, qui en habitué des marchandages orientaux et pour avoir contribué à ramener la paix en Irlande du Nord, ne manquera pas de travailler ardemment à un plan de paix et donc à un plan de partage israélo-palestinien, pour caser une autre cause qui m'est chère, la cause Kanak.

N’y voyez aucune forme d’indifférence mais bon il n’y a pas que le Médiocre-Orient dans la Galaxie, il y a la Kanaky aussi...

Comment ? Vous tenez quand même à « avoir mon avis sur le Médiocre-Orient ». Vous me gênez. Allez, c’est bien parce que c’est vous. Comme je l’indiquais déjà ici, faute d’avoir réglé le problème à la suite des guerres déclenchées par les pays arabes qui avaient pour but, rappelons-le, de jeter les Juifs à la mer, par des transferts de populations, comme le firent par exemple l’Europe en 1945 et l’Inde en 1947, notamment en renvoyant tous les Egyptiens de Gaza en Egypte et tous les Jordaniens de Cisjordanie en Jordanie, alors que par ailleurs les populations juives des pays arabes rentraient elles en Israël… faute d’avoir réglé le problème disais-je, il faut bien trouver une solution aux souffrances d’une population « palestinienne » qui dans sa majorité n’a que faire des considérations historiques ou géopolitiques de part et d’autre. Que voulez-vous que l’Histoire représente pour des Gazaouïs ou des Cisjordaniens qui essayent juste de vivre au quotidien. Ils se vivent comme de là-bas et puis voilà tout. D’où la nécessité d’un Etat, d’un 23e Etat arabe que l’on nommera Palestine, Palestistan, Pays-du-Pal ou que sais-je encore.

Par contre comme je déteste les faux plans et que je ne me fais pas trop d’illusions, à la moindre nouvelle attaque qu’il s’agisse d’un missile, d’une roquette artisanale ou d’un gravillon, je serai tout autant favorable à une riposte totale qui aura pour conséquence la conquête définitive de la Cisjordanie et de Gaza avec renvoi des populations dans leur anciennes nations, à savoir l’Egypte et la Jordanie. Voilà pour le trop-proche-orient !

Maintenant, tout en restant dans les faux plans de partage, venons-en à mes Kanaks car c’est bien gentil de se focaliser sur le conflit israélo-arabe mais il se trouve que notre occupation d’une île ayant la même superficie qu’Israël ne va pas sans poser des problèmes. En effet, les accords de Nouméa négociés sous l’égide de Lionel Jospin en 1998 prévoient qu’entre 2014 et 2018 tous les habitants de l’île, colons et autochtones, devront se prononcer sur le futur statut de la Nouvelle-Calédonie, indépendance ou maintien dans la République française. Or si la tendance démographique se confirme, les Kanaks, qui représentent 44 % de la population néo-calédonienne, risquent fort de l’avoir dans le baba. Les colons français et les autres populations polynésiennes non-kanaks voteront sans doute contre l’indépendance. Perspective qui me courrouce un tantinet parce que cela entérinerait le principe d’occupation totale à partir d’une colonisation partielle.

Aussi, sans faire dans l’hypocrisie et la démagogie pro-kanak, étant donné que l’histoire c’est l’histoire, je me permettrai quand même de dire ce qui suit. Que la France garde la moitié sud de l’île, où nous sommes majoritaires, que nous nous sommes enquiquinés à conquérir et à mettre en valeur, pourquoi pas. Par contre, il est aberrant que les autochtones ne puissent pas se prononcer seuls sur l’avenir de la moitié nord de l’île où ils sont majoritaires. Un plan de partage juste et équitable c’est ça et pas autre chose. Faut tout vous expliquer ma parole. Et après vous voulez donner des leçons à Israël. Mort de rire.

Heureusement qu’il reste un radical-socialiste, bibi, pour sauver l’honneur de ma famille politique…

Pili Sili

mardi 27 janvier 2009

SINÉ ET LES SYNCINÉSIES DE PRÉTOIRE


Non, décidément, je réitère mon opinion, celle que j’exposais en conclusion de mon billet sinémétique d’août dernier et que résume bien Ivan Rioufol dans sa chronique « le politiquement correct, ça suffit ! ». « La pénalisation des idées n'est pas supportable (…) Siné doit être libre d'écrire ce qu'il veut sur le support qui veut bien l'accueillir, comme ses contradicteurs doivent être libres d'écrire ce qu'ils pensent de lui ». Tout à fait très cher Ivan ! Qu’il se crame tout seul comme un gland.

Et puis à quoi ça rime de voir ce bougre poursuivi par une association comme la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), qui reçoit des subvention publiques, alors que Siné devra se défendre avec des moyens privés. Ça ne rime à rien ! La seule chose normale aurait été que Jean Sarkozy, victime de l’amalgame sinièsque fait entre judaïsme, argent et pouvoir , le poursuive en justice avec ses propres moyens et rien d’autre.

Cela rime d’autant plus à rien que les plaidoiries se caractérisent déjà par la syncinésie, des mouvements involontaires de la langue qui font dire tout et n’importe quoi.

C’est ainsi que j’écoutais ce matin sur France-infos les avocats des deux parties résumer ainsi l’affaire.

Celui de Siné avançait qu’il ne faut pas tout mélanger, que son client n’est en rien antisémite car on peut être antisioniste sans être antisémite. Et moi de me dire, quel est le rapport entre l’antisionisme et une supposée conversion de Jean Sarkozy au judaïsme dans le but de « réussir dans la vie » ? Quel est le rapport avec la re-création de l’état d’Israël ou sa politique ? « ne pas tout mélanger », en voila une belle réussite, maître !

L’avocat de la LICRA, quant à lui, indiquait qu’il n’avait pas l’intention de laisser le débat se focaliser sur l’antisionisme ou l’antisémitisme de Siné. « Là n’est pas la question ». Seul le serait le droit ou pas d’exprimer tel ou tel type de propos. « Siné n’étant pas à son premier essai » puisque cela constituerait même « sa raison d’être ». Sa raison d’être quoi, me dis-je ? Antisémite ? On est bien d’accord. Ce qui me fait dire que cette plaidoirie se mord également la langue, tout aussi involontairement.

Bref, tout cela va tourner au grand n’importe quoi, ajoutera à la confusion et ne permettra qu’une chose, la victimisation d’un Siné qui se dira poursuivi par des organisations sionistes pour ne pas dire juives et vice-versa…

SILomon.

lundi 26 janvier 2009

LE GAZON ET SON MAUDIT INSTINCT DE CONSERVATION.


J’entends souvent chez ceux qui ouvrent enfin un œil sur l’idéologie islamique comme un râle accompagnant l’écarquillement. « Mais les medias nous mentent ! Pourquoi les télés ne parlent pas de tout ça ? ».

C’est en général le moment où je tire mon petit plaisir de tant d’efforts.

« Ah non, ne me faites pas le coup du complot ou de la manipulation. Ne vous en prenez qu’à vous-mêmes ! Combien d’années et d’énergie, il a fallu déployer pour vous faire voir l’évidence. Combien d’entre nous, à droite, à gauche et au centre, ont recueilli pendant des années, vos insultes. Non, vous vous êtes manipulés tous seuls mes petits cocos. Nous ne vivons pas en dictature. L’info est accessible à celui qui la veut. Mieux, la réalité est là, elle défile dans nos rues comme dans celles du monde entier. Ne vous défaussez pas sur plus aveugle que vous car il vous reste encore un œil à ouvrir, sans parler de l’acquisition d’un instinct de conservation un chouïa supérieur à celui d’une pelouse devant une tondeuse à gazon… »

SILviculteur républicain

dimanche 25 janvier 2009

OBAMA N’EST QU’UN VILAIN BARACKOPIEUR



Apparemment, il n’y a pas que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy qui seraient en droit d’intenter un procès pour plagiat au président Obama. La première arguant du fait qu’il se serait inspiré de ses idées et de sa campagne. Le second estimant que Barack lui a piqué sa « rupture ».

En effet, le président Bush pourrait légitimement lui demander des droits d’auteur comme le démontre cette vidéo. Petit copieur ! À moins qu’il ne lui ait revendu fort cher, ses fiches. L’expérience et la réussite n’ayant pas de prix. De quoi permettre à la famille Bush de s’acheter une nouvelle résidence au Texas. On comprend mieux pourquoi la transition s’est si bien passée.

Scanner EpSIL ( il faut attendre un peu pour que la vidéo s’affiche )

samedi 24 janvier 2009

GLOBAL COOLING ATTITUDE


Je ne voudrais pas passer pour un dangereux révisionniste climatique, mais je me permettrais quand même de faire remarquer que depuis que le climat se réchaufferait, je n’ai jamais passé d’aussi agréables vacances au sud du cercle polaire que cette année, aussi bien en été qu’en hiver. Regardez-moi à Paris, me prélassant au jardin du Luxembourg, il y a deux semaines par un temps à ne pas mettre un chat dehors. Un temps à pingouins. Que du bonheur…

SILs Olav

vendredi 23 janvier 2009

REOPEN-HUDSON 2 : L’HYPOTHESE YAHOUDSION (!)


Appareil intact, équipage indemne tout en restant injoignable, pilote disparu de la circulation, mais aussi eaux gelées à 6 degrés, oiseaux enturbannés, et piètre qualité des images vidéos avec des tours jumelles en arrière-fond, comme je vous l’indiquais la semaine passée, il apparaît clairement que la masse de zones d’ombre met en lumière la sombre nature de cette affaire. Ce qui validerait l’hypothèse du décollage raté d’un sous-marin volant depuis la base secrète située sous la statue de la liberté. Se posait toutefois jusqu’à présent la question « pourquoi dans l’Hudson ? »

Une question à laquelle une source on ne peut plus fiable, installée à Salt Lake City, mais qui tient à rester anonyme, m’a apporté une réponse très claire et qui rend l’hypothèse du complot neoConSSioniste de plus en plus certaine. Une réponse qui tourne autour du nom du fleuve Hudson. Bein oui, Hudson, ça ne vous rappelle pas quelque chose. C’est pourtant évident, Hudson est la contraction de HudSion qui est la contraction de YahoudSion, le fleuve des juifs-sionistes en algonquin, langue amérindienne qui aime les pléonasmes.

Car figurez vous que les Algonquins de langue arabe, comme nous le révèlent les récents travaux des théoriciens du vos ancêtres les arabes, et qui ont découvert l’Amérique au nom d’Allah vers 732, se rendirent compte trop tard que des passagers clandestins et « fourbes » (suivez mon regard) s’étaient cachés derrière des rochers qui se trouvaient dans les cales des navires pour les stabiliser. Des mécréants de rochers qui ne les dénoncèrent même pas conformément à « l’hadith de l’arbre et du rocher ». Cette parole sacrée du prophète indiquant que « L'heure ne se lèvera pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, au point que le juif se cachera derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront alors : "Ô musulman! Voici derrière moi un Juif, viens le tuer" »

Une fois débarqués, nos clandestins longèrent les cotes et s’installèrent à Manhattan vers 755 (pourquoi croyez vous que les Juifs s’installent comme ça à NY ? un hasard peut-être ? naïfs que vous êtes). Puis du mélange avec les tribus locales ces sionistes devinrent sioux. Sion-Siou, Siou-Sion, logique, non ?

Toujours de source sure, promis je ne vous raconte pas des Creeks, ni des cracks, les Algonquins en apprenant l’installation des siounistes décidèrent de mener des expéditions punitives à caractère défensif. Sous la conduite d’Abdul-Rahim ceux-ci finissent par tomber sur les siounistes installés à Manhattan. Un arbre les aurait dénoncés. C’est en voyant cela qu’Abdul-Rahim aurait décidé alors de baptiser ce fleuve YahoudSion, marquant ainsi la double fourberie sioniste.

De nombreuses expéditions algonquines obligèrent les siounistes à fuir vers le Sud puis vers l’Ouest, finissant par trouver refuge dans les grandes plaines où il n’y avait pas d’arbres pour les dénoncer, et pas trop de rochers non plus. Un long exode qui en l’absence d’un Moïse eut pour conséquence l’abandon de leurs croyances dans le dieu d’Israël et le retour au culte du veau d’or, du bison en l’occurrence.

Cependant les réduits siounistes restés à l’Est, cachés derrière quelque forêt corrompue, résistèrent à l’acculturation et réussirent à faire passer un message à leurs frères restés en Europe par le biais des premiers pêcheurs de morue portugais qui connaissaient les côtes américaines mais qui discrets et un peu cons ne tenaient pas à communiquer sur leur découverte, de peur qu’on leur pique leur poiscaille. Les Portugais ont toujours aimé régner sur la poiscaille. Leur côté celte.

Le message parvenu aux Marranes eut pour conséquence l’expédition officielle que vous connaissez et la réinstallation des Sionistes sur les berges du fleuve YahoudSion, l’Hudson. Toutefois des canards algonquins, reconnaissables au turban caractéristique des gardiens de la revol’hudson islamique patrouillent sur le fleuve, n’hésitant pas à sacrifier leur vie en se jetant contre les réacteurs des appareils neo-siounistes.

Aussi la base des sous-marins volants existe bel et bien sous la statue de la Liberté et une enquête indépendante s’impose car le public a le droit de savoir…

Silimalikoum

jeudi 22 janvier 2009

LE JOUR OÙ L’ALGERIE SE REVEILLERA


Après des nuits de discussions avec mes potes, de disputes, d’embrouilles, nous sommes enfin tombés d’accord. Le salut du monde arabe ou du moins de l’Afrique du Nord, ne pourra venir que d’Algérie. Que voulez-vous, les Tunisiens, ils sont bien gentils mais ce sont des gonzesses, que dis-je, des greluches. Si encore ils étaient comme leurs bonnes femmes. Pas étonnant qu’ils soient pour l’égalité homme-femme. Voyez-vous, pour l’homme tunisien, l’égalité est un objectif. Quant aux Marocains, comment vous dire ? Ce sont d’indécrottables blédards. Il n’y a rien à en tirer. Besogneux, tristes, rigoristes. On dirait des Portugais sans bière. Même pas besoin de les islamiser tellement ils le sont déjà, disposant même d’un commandeur des croyants, leur roi, rendant ainsi inutile le remplacement de cette monarchie islamique par une république. Heureusement qu’ils ont leurs femmes ceux-là aussi. Quant aux autres, Libyens, Egyptiens, etc, n’en parlons même pas. Non, à bien y réfléchir, il n’y a que les Algériens qui aiment suffisamment picoler, jouer, baiser, chanter, vivre quoi, pour que quelque chose soit possible.

Or c’est après ce constat que l’on s’énerve en général. D’autant plus quand on voit comment toutes ces croûtes moisies, accrochées au pouvoir, enserrent le peuple algérien tels des cadavres agrippés aux cous de jeunes pucelles. Le récent tripatouillage de la constitution par Bouteflika et sa clique étant une triste illustration.

Que l’on s’énerve parce qu’à un moment donné nous sommes toujours tentés de dire aux potes algériens ou d’origine qui gémissent sur l’Algérie, « mais putain, réveillez vous bordel ! »

Les moins de 20 ans représentent la moitié de la population. En rajoutant les tranches d’âge en mesure de réfléchir, soit les 25-40 ans, vous êtes une majorité écrasante, mes cocos chéris. Écrasante, est le mot. Et il suffirait d’un mot pour que vous renversiez toutes les pourritures croulantes qui vous étouffent et vous spolient.

Et ne me dites pas que vous hésitez car vous ne savez pas par quoi remplacer cette dictature. Vous n’avez quand même pas pour seul choix le nationalislamisme, l’internationalislamisme, l’islamisme saoudien, la révolution chiite ou kadhafolle. C’est qu’il y a quand même assez de démocrates, de penseurs épris de liberté, chez vous, et chez nous de chez vous, pour réfléchir à un modèle démocratique algérien. Des gens comme feu Lounès Matoub, Dilem, Mohamed Sifaoui, Arezki Aït Larbi, Boualem Sansal, LSA Oulahbib, et biens d’autres encore, sont là pour le prouver. Alors réveillez vous putain !

Mais si c’est possible ! Si ces crétins de Portugais, si la jeunesse portugaise, celle du mouvement des capitaines d’avril, après 50 ans d’un régime national-catholique, a réussi à renverser une dictature infâme sans tomber dans une autre, en jurant de remettre le pouvoir aux seules mains du peuple, c’est que c’est possible pour d’autres aussi. Après tout, ce ne sont pas les jeunes capitaines qui manquent dans l’armée algérienne. Alors réveillez vous, merde à la fin !

SILidin le Magnifique

mercredi 21 janvier 2009

I LOVE W TOO


Ce n’est pas qu’un peu de populisme m’indispose ou que l’idée de me mêler à la liesse populaire m’irrite, car c’est souvent le moment idéal pour cueillir une génisse à manif en lui racontant que l’on a tout appris à Obama et que notre talent est tout autant que le sien sexuellement transmissible, mais bon ! Le bêlement conformiste des foules hystériques finit très vite par me taper sur les tympans, notamment les cris stridents des groupies d’Obama ainsi que les sifflets et autres persiflages puérils adressés à l’encontre de mon W.

Oh, que cette foule en mal de Messie n’y voit aucune méchanceté de ma part, ni même de jalousie type Sarkozy qui en est à reprocher à Obama le côté « bling-bling » de sa cérémonie d’investiture. Car je vous comprends. Il est intelligent, suffisamment pour s’être fait élire, ce qui est déjà pas mal, et puis c’est assurément un sacré beau gosse. C’est sûr, ça excite. Non, non, je comprends que pas mal de monde cherche à toucher sa bosse. Ça porte bonheur. Vous savez ce que l’on dit de celle des hommes de couleur. Même de demi-couleur, ça doit être pas mal.

Vous voyez que je vous ai compris. Cependant comprenez aussi, que moi, c’est plutôt Michelle qui m’emballe. Certes, question visage, ce n’est pas ça. Ça fleure l’aigreur, ce qui parallèlement devrait vous rendre méfiants quant à la capacité d’Obama à répandre le bonheur autour de lui, mais bon, son séant vaut le détour. C’est vrai quoi ! C’est bien gentil de mater le cul de Barack, mais est-ce que quelqu’un a remarqué celui de Michelle. Bande de goujats, de racistes et d’homos latents ou déclarés ! Remarquez, vous faites bien de reluquer celui de Barack car pour tout souffle épique vous risquez fort de n’avoir qu’un prout qu’il s’agit de ne pas rater, ses promesses ayant déjà largement fait pschitt. C’est marrant mais plus je l’écoute et plus je lui trouve un côté péteux tout à fait insupportable. S’agissant de celui de Michelle, avouez que ça sent le « bodje », comme le dirait un ancien pote à moitié congolais. Un bon « bodje » qui me donne comme des envies de danser le ndombolo en version collé-serré. Mais je sens que je m’égare.

Pour revenir à nos moutons, vous comprendrez également que je ne tienne pas à prendre part à un pétage de plombs collectif et généralisé. Avec notre Ségolène Royal qui ose prétendre que Barack s’est inspiré de sa campagne et de ses idées, et notre royal président qui a « hâte de changer le monde avec lui », je me dis qu’il faut d’urgence ouvrir des lits en psychiatrie. Paranoïa, folie des grandeurs, culte de la personnalité, à Washington comme à Paris, on se croirait de plus en plus à Pyongyang ou à Moscou du temps de l’empire soviétique. « Changer le monde ». Va falloir se calmer les petits gars, c’est moi qui vous le dis. Ou mieux, avant de changer le monde, passe ta Crise d’abord !

Non décidément, sans attendre que l’Obamessie multiplie tels des petits pains, les dosettes de calmants, je préfère rester sage, imitant ainsi, pour une fois, le Dalaï-Lama. Récemment alors qu’il expliquait que « la non-violence ne peut pas venir à bout du terrorisme », il indiqua par la même occasion qu’il « aime le président Bush », même s’il n’était pas toujours d’accord avec ses politiques. Et bien moi aussi mon petit Bouddha, j’aime bien notre George Bush ! Et pas que par anticonformisme.


J’aime bien ce président qui au lendemain du 11 septembre 2001 a compris le danger que beaucoup de cuistres d’ici et d’ailleurs, ne commencent à comprendre péniblement que maintenant. Le danger de l’idéologie fascislamique. Le danger et la nécessité de s’en défendre, en ne restant pas prostrés dans une position d’attente, mais en portant cette guerre loin de nos frontières et de préférence sur des points de fixation qui attireront les djihadistes. Résultat, zéro attaques sur le sol américain depuis, auquel s’ajoute le renversement de deux régimes tyranniques. N’en déplaise aux buses prétentieuses qui traitaient George Bush « d’imbécile » tout en augurant de son échec, l’intelligence et la réussite étaient de son côté. La guerre d’Iraq fut rapidement gagnée et la parole fut tout aussi rapidement rendue aux Iraquiens à travers des élections libres. Pour ça, on peut lui dire merci. Vous pouvez d’ailleurs le faire également, en cliquant ici.

Reste l’économie. Il a effectivement péché par excès d’idéologie, le marché sauvage n’étant pas bon par nature. Son administration aurait dû reformer les errements de celui-ci, qui aussi bien sous les administrations démocrates que républicaines, galopait furieusement au bord du ravin. Seulement le pouvait-il ? Avec une guerre dispendieuse à mener, une croissance à maintenir et des élus démocrates à ne pas braquer histoire que les budgets militaires soient votés, était-il possible d’opérer un système financier qui jusqu’alors rapportait gros à beaucoup trop de monde ? certainement pas ! Néanmoins vous remarquerez qu’il a là aussi, tiré très vite les leçons de la crise et commencé après quelques erreurs à mettre en place les remèdes que son successeur continuera pour partie d’appliquer.

Car, ironiquement, comme l’indiquait dernièrement Charles Krauthammer, éditorialiste au Washington Post, le meilleur avocat du bilan Bush s’appelle Barack Obama. En reprenant dans son équipe le secrétaire à la défense du président Bush, Bob Gates, et en nommant secrétaire du Trésor, Thimoty Geithner, l’une des pièces maîtresses de l’opération de sauvetage de l’économie menée par l’administration Bush, Obama donne raison à Bush. Pas mal, non ?

Et oui, j’aime ce président qui a suffisamment de classe pour rire de ses gaffes, reconnaître ses erreurs, lui, travailler loyalement avec son successeur et partir dignement en indiquant dans son discours d’adieux qu’il ne « s’est jamais soucié de sa popularité » et qu’il est fier de son « merveilleux pays », ce même pays qui a su élire un afro-américain. Une joie sincère puisque après tout, en plaçant des noirs-américains aux plus hauts postes de son administration, il y est lui aussi pour quelque chose.

Toutes choses qui me permettent de rigoler à la face de tous nos guignols-maison, reflets de cette sottise et « impéritie » qu’ils dénoncent, lorsqu’ils sont capables tel Erik Emptaz d’écrire cette semaine que le président Bush « ne laissera dans l’histoire, que de mauvaises guerres et de piètres gaffes ». Une argumentation bien pauvre pour ne pas dire de looser, qui nous permet cependant d’apprendre que pour l’éditorialiste du « canard enchaîné » de bonnes guerres demeurent possibles. C’est déjà ça de gagné sur l’esprit capitulard cher à nos contrées !

En conclusion, je finirai sur l’image qui m’aura le plus marqué de toute la présidence Bush. Elle est tirée de cette vidéo prise dans une école au matin des attaques. Image qui servit à projeter bien des phantasmes propres à notre époque ou qui fit rire pas mal de ses détracteurs, trop débiles et infantiles pour voir l’homme d’état encaissant le coup en homme tout court. Un document dont beaucoup ne sont pas près de percevoir les aspects exceptionnels. Personne n’avait jamais encore filmé un homme d'état dans une telle situation historique.


Un homme arborant ce même air qu’arborerait tout Gaulois si d’aventure le ciel lui tombait sur la tête. La surprise, le doute, la peur, pour lui, pour les siens, pour son pays. Des milliers de questions qui s’enchaînent à vitesse biochimique. À aucun moment l’expression de quelqu’un qui attendait les attaques, qui les avait préparées ou qui les couvrait histoire d’avoir une bonne occasion d’attaquer l’Irak, comme le croient encore nos conspiranoïaques. Pourquoi se laisser filmer ainsi, sinon ?

Rien de tout ça. Juste l’expression de son humanité, de la nôtre, face à une situation exceptionnelle. Une situation de crise à laquelle il a su répondre. Et vous ?

ImbéSIL

mardi 20 janvier 2009

AND NOW ABRACOBOMA !


Avec une prise d’envol digne d’un spectacle de Barry Copperfield, notre Obamajax dépasse déjà tous les Houdini et autres grands mages d’ici-bas. Ses tours de passe-passe lui ayant permis, entre autres, de rendre démocrate l’héritage de ces deux grands républicains qu’étaient Martin Luther King et Abraham Lincoln. Et oui, Barack Obama est déjà une légende. D’ailleurs certains soirs, des témoins jureraient voir son visage s’imprimer sur le Mont Rushmore. Son meilleur tour.

Résultat, la foule se déplace en masse et semble prête à le suivre à travers mers et déserts tel un Obamoïse ou un Obamerlin capable de régler tous les problèmes du monde à coup d’aaaaaabracobama.

Enfin, moi, tant qu’il ne s’amuse pas à faire disparaître la statue de la Liberté, même pour rire, il peut jouer l’Obamandrake tant qu’il veut. Sinon, bonne chance mon garçon…

TalieSIL

lundi 19 janvier 2009

DES VŒUX, EN VEUX-TU, EN VOILA


À multiplier les vœux tel un christ verbeux,
Notre président risque fort de passer sous peu
Du statut d’omniprésident à celui d’omni-impotent.
.

Notre président ne pourra pas dire que je ne l’avais pas prévenu encore une fois. Par ces temps de crise, les vœux se font chers et sont à manier avec précaution. Faute de quoi le petit mot gentil pour chacun, telles des promesses d’amant sans lendemain, risque fort de caractériser le donjuanisme politique.

Je t’étourdis de paroles. Je te séduis. Ça me donne la trique, au moins sondagière. Je te mets un petit coup et puis m’en vais d’un pas léger.

Chose qui à la longue n’est pas bonne. Car les Français commencent à s’en rendre compte. Et puis culturellement, les marchands de tapis, on n’a jamais vraiment aimé ça bien longtemps.

Actuellement en SILdes

dimanche 18 janvier 2009

YES WII CANS !



Voici une compilation de réactions de gamins à noël devant leur Wii toute neuve. On a l’impression de voir les groupies d’Obama le soir de son élection et sans doute la reaction de celles et ceux qui se trouveront mardi à son intronisation. Wiiiiiiii ! Yes we can ! Ah, les pièges du monde virtuel…

Princesse ZILda

samedi 17 janvier 2009

CRISTO E ANTICRISTO (POST EN PORTUGAIS)


Por ter sido Natal a pouco tempo, vou ser bondoso com a igreja católica. Já que uma parte da minha educação, cultura familiar e formação universitária o permitem, ofereço-lhe uma bala de canhão canônico contra o islão. Pois, pondo um pouco de lado a razão, eu também posso utilizar o sistema analítico religioso para compor o brilhante trabalho que aqui segue. Aproveitem bem, pois não vai ser Natal todos os dias.

Dum ponto de vista antropológico, entre todos os conceitos imaginados pela minha espécie animal, dotada de raciocínio segundo alguns analistas, existe um que sempre me fascinou. O conceito de apocalipse. Em quase todas as culturas, este fim do mundo ou de era sente-se obrigado de chegar como um peido na majestosa obra da criação, destruindo tudo repentinamente em menos tempo que levou Deus à fazer o universo. Repentinamente mas também de modo grandiloquente, tal como num filme americano cheio de efeitos especiais, de inúmeras legiões satânicas e tropas angélicas brandindo espadas de fogo. Um conceito demonstrando claramente que o que define antes de tudo o primata sapiens é o seu sentido inato do espectáculo. Mas não só.

De facto, muito dos indivíduos da nossa espécie animal, espécie narcísica ao ponto de acreditar ser o único centro da infinita capacidade de criação divina, sacudidos neste imenso oceano da existência como barcos salva-vidas entre as cristas da euforia e os vales da depressão, são incapazes de entender toda escala histórica fora da escala da sua própria e curta vida. Assim, a criação como o fim do mundo devem produzir-se obrigatoriamente durante a existência deles ou da sua recente espécie.

Um ponto de vista geral que vale particularmente para a nossa cultura judaico-cristã. Se o Messias na desceu do céu no carro de fogo de Elias com uma armada de anjos para libertar Israel, isso significa que ele ainda não chegou. Do mesmo modo, se Satanás ainda não abriu as portes do horizonte encima dum dragão capaz de transformar em cinzas num só piscar de olhos todos os campos da Terra, isso é a prova que o seu reino ainda não governa o mundo.

Pobres crianças do Homem, apesar do vosso gosto pelo cinema, como é claro a vossa falta de imaginação e incapacidade de vos projectar no tempo e no espaço.

Supondo que Satanás existe, por que razão não seria ele paciente? Por que razão não conquistaria as nações umas atrás das outras? Por que diado ele não utilizaria os mesmos estratagemas políticos e militares que ele nos teria ensinado? Com uma grande vantagem sobre nós. O tempo.

Dessa maneira, e continuando dum ponto de vista puramente religioso e cristão, se Jesus de Nazaré é o Cristo, o Messias das escrituras, por que razão o Anticristo já não teria vindo, já não teria instalado o seu reino na Terra depois de ter aberto as portas do inferno num dos cantos mais áridos deste planeta. Desse modo por que razão este antagonista de Jesus não poderia ser Maomé? O “homem do pecado”, o “filho da perdição” (2Th 2:3) que “nega que Jesus é o Cristo ressuscitado” (1Joao 2:22).

Pois dum ponto de vista religioso, tudo opõe Maomé, este profeta do deserto, à Jesus a profeta que resistiu ao deserto. Provas? Aqui vão algumas.

Jesus convertia com a palavra, oferecendo a face esquerda quando golpeavam-lhe a face direita. Maomé não hesitava à sacar as suas espadas, cortando os braços e as línguas que o golpeavam, fazendo até assassinar os seus oponentes ou os poetas que gozavam dele, e massacrando tribos inteiras. Espadas com as quais foi enterrado e que utilizou para unificar a seu reino desértico, enquanto o reino de Jesus “não é deste mundo”.

Espada por espada, alguns incultos ou mentirosos dirão que Jesus disse uma vez “não vim trazer a paz mas a espada” e que Jesus gostava de pauladas. Os que conhecem a parábola da espada sabem que esta lamina nunca foi o instrumento do poder de Jesus sobre os homens mais o símbolo da divisão que iria produzir a radicalidade do seu mensagem de amor. Capaz até de romper laços de família.

Pelo que respeita ao pau que Jesus utilizou para expulsar os comerciantes do templo de Jerusalém, simplesmente serviu para derrubar mesas e nunca para derramar sangue. Os mesmos negociantes com os quais Maomé fazia comercio. Maomé era um comerciante. Um comerciante que Jesus teria expulso da casa de Deus.

Jesus era solteiro; Maomé polígamo. Jesus curava e ressuscitava; Maomé feria e matava. Maomé fazia armas com pedras; Jesus mandava baixar os braços dos que queriam servir-se delas. Jesus abençoo as crianças; Maomé violou a infância ao casar com Aïcha, uma menina de nove anos. Jesus pregava a paz e o amor; Maomé pregava a guerra e a submissão. Jesus é aliança; Maomé uma escravidão. Um inventario aberto que concluirei aqui com um Jesus é a Luz e a agua da vida, Maomé o deserto e o astro da noite, os dois cornos da Besta unidos em forma de crescente lunar.

Reconheceras a arvore ao seu fruto” dizia Jesus. Já faz catorze séculos que todos os dias podemos ver os frutos da profeta do Allah...

Sabendo e vendo todo isto, é totalmente incongruente pensar mas também acreditar que Jesus e Maomé servem o mesmo deus. Allah, a divindade de Maomé, só pode vir da raiz do m-Al, raiz donde vem o nome de vários demónios, Alocer e Alastor, governadores dos infernos. Allah não é Deus.

Algumas pessoas pretendem que a melhor astúcia do Diabo foi de tentar fazer acreditar que não existia. Pretendo eu que o seu melhor estratagema foi disfarçar-se em Deus, roubando assim toda a herança judaico-cristã. Tornar-se Deus e dar-se um profeta à imagem da sua loucura. Pois se Maomé é como ele o pretendia “o selo da profecia”, ele é efectivamente o saloio que abriu as portas do inferno. Portas donde saem desde então as tropas de Allah, diabolicamente humanas, invadindo, avançando rapidamente ou lentamente, com raiva ou com paciência, sempre com malícia.

Para os que gostam de números simbólicos, é interessante de ver que adicionando a idade de Cristo no ano da sua morte, 33, com o ano em que morreu Maomé, a volta de 632, obtêm-se a numero 666, ou seja o numero da Besta, a marca do Diabo. Assim que os satanistas não procurem mais a bíblia deles, o mítico e perdido “Necronomicon”, pois existe o bem real e diabólico Alcorão.

Em conclusão, se o islão é um fascismo dum ponto de vista politico, do ponto de vista religioso só pode aparecer como um satanismo. Deste modo, enquanto nós tratarmos da parte politica do problema, que os servidores de Deus, do Amor, da Vida ou de qualquer espiritualidade positiva que seja, se encarreguem de rezar para que os nossos irmãos muçulmanos submetidos à este mensagem mórbido encontrem à força de se libertarem. Ámen e vade retro Allah-stor !

São SILpriano.

PS : escrevo islão e não Islão, de modo conforme a definição islâmica destas duas palavras, ou seja islão para definir a religião e Islão para definir os povos vivendo sob a lei islâmica, de igual modo que se diz cristianismo e cristandade.

vendredi 16 janvier 2009

REOPEN-HUDSON OU LE FAUX MIRACLE DE L’HUDSON (!)


Attention ! Mayday ! Mayday ! Aucun avion ne s’est abîmé dans l’Hudson ! Je répète, aucun avion n’a amerri au large de New York ! Le « miracle de l’Hudson » n’est qu’une vaste fumisterie. Pour preuve, aucune vidéo ne montre cet amerrissage et ce malgré la foultitude de cameras de surveillance qui scrutent en permanence ce fleuve new-yorkais, sans compter celles des touristes et autres badauds qui arpentent le fleuve en ferry ou en bateau de plaisance.

Ce que confirme William Rodriguez, le fameux concierge du Wall Trade Center, le même qui avait entendu des « boums » avant la chute des tours. S’étant depuis reconverti dans la pêche en ligne et à la ligne, il se trouvait aux premières loges de la scène du complot. Or il affirme n’avoir vu aucun avion amerrir. « Cela aurait certainement fait boum, ou splach, au moins un petit, ce que je n’ai à aucun moment entendu ». Gracias William !

D’autres spécialistes, parmi les plus éminents, notamment Gregory Boyington junior, connu pour avoir cumulé le plus grand nombre d’heures de vol à bord d’un delta-plane, affirme qu’un avion de ce type ne peut pas amerrir dans ces conditions sans subir de lourds dégâts. Chose que semblent confirmer les faits puisque c’est la première fois qu’un avion se pose ainsi sans dommages.

Contacté dans la matinée par les enquêteurs d’eXc, Thierry Meyssie, docteur ès complots, doute lui aussi de la thèse officielle. Il est formel. C’est-là « un vulgaire complot de la CIA et du Mossad ayant pour but de détourner l’attention du peuple américain de la situation de crise que connaît le pays, mais aussi celle des medias de l’effroyable génocide gazaouï, mis en oeuvre par l’entité sioniste depuis que Moïse l’a planifié sur le mont Sinaï lors du célèbre exode qui n’en était pas un ». Rajoutant « aussi nous demandons l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante. Dans ce dessein, nous exigeons que ce billet serve de recueil de signatures à la pétition qui sera remise aux autorités fascistes de New-York ». Il prévoit d’ailleurs dans les prochains jours la création d’une association qui sera baptisée ReOpen-Hudson, ainsi que la sortie d’un livre de 3500 pages démontrant la terrible machination.

Quant à la thèse de la collision avec des oiseaux ayant endommagé les réacteurs, outre le fait qu’il est de notoriété publique que « les oiseaux se cachent pour mourir » et non se crachent, l’association des amoureux du pigeons new-yorkais affirme qu’un tel accident est devenu impossible. Par un phénomène qui l’on ne s’explique pas, la plupart des oiseaux suffisamment stupides pour vouloir se mesurer à un Airbus A320 tourneraient depuis cinq mois autour du serveur de l’eXtrême-centre et nicheraient plus particulièrement sur le billet suivant. Reste encore à vérifier l’hypothèse du truth d’air…

SIL renvoyé spécial

PS : combien pariez-vous qu’il y a qui vont tenter le coup pour de vrai, en utilisant l’expression « descente contrôlée » au sens conspiranoïaque du terme ?

Addendum : The English version (Merci Erik) http://no-pasaran.blogspot.com/2009/02/no-plane-touched-down-in-hudson.html

jeudi 15 janvier 2009

UN PEU DE PHILOSÉMITISME TROLL


« Qu’est-ce que t’as à les défendre ainsi ? » me demandent certains de mes proches. « Tu veux te convertir ? » « T’as hérité de vaisselle nazie qui t’a filé des nausées et que tu te sentirais obligé de laver en te faisant plus Juif que les Juifs ? ».

Pas vraiment non. Si je les défend, c’est pour tout un tas de motifs dont je vais vous servir le plus original d’entre eux. Car bien qu’il y ait pas mal de raisons faisant que je les aime bien mes youpins, je vais éviter de faire dans le philosémitisme mielleux, limite suspect. Je vais faire dans le rebrousse poil, le trollisme galicien, ethnocentré au possible.

Et oui, j’ai beau avoir du sang marrane, tout comme j’ai du sang noir, berbère, sans doute arabe, chinois et j’en passe, je reste surtout un indigène européen, un Galicien aux ancêtres accrochés, tels des bébés trolls aux poils de leurs mères, à l’un des finisterres de ce continent depuis 50 000 ans.

Et si je défends les Juifs c’est tout simplement pour sauver mon âme européenne. Cette âme damnée qui les persécute depuis 2000 ans avec un raffinement tout européen, allant du massacre classique jusqu’au génocide le plus abouti, en passant par la très sainte inquisition.

« Cela est derrière nous » me direz vous. « Quand j’entends ce qui se dit et vois ce qui se fait, j’ai de me moins en moins l’impression » vous répondrai-je. Or comme la récidive est le summum du crime, vous comprendrez que cette perspective ne me comble pas mais au contraire qu’elle me hérisse les poils de l’âme et me porte à combattre comme un damné le monstre tapi au fond de notre âme culturelle, en même temps que tout démon d’importation.

SIL troll galicien.

mercredi 14 janvier 2009

LE BAL-ESTINE DES HYPOCRITES TOURNE AU MARATHON


Là, le défilé continu de nos « zumanistes », nos zéros pointés de l’humanisme, me gave au possible. Alors pour avoir pas mal traîné en banlieue, je vais la leur faire hardcore. En commençant par mettre clairement leurs petits nez sur leur merde antisémite car que l’on ne vienne pas me bourrer le mou avec le gentil antisionisme. Votre antisionisme n’est rien d’autre que l’antisémitisme du lâche. M’étonne pas de toute façon ! La différence entre le facho et le gaucho étant la lâcheté, la nécessité d’habiller sa haine, celle d’une certaine « classe », de certaines nations et de certains peuples avec des grands et beaux principes. Puis en leur disant :

Mes petits cocos, on prendra un petit peu plus au sérieux vos pleurnichages de satanés hypocrites antisémites (sinon pourquoi cette fixette sur Israël et les Juifs) le jour où vous gueulerez vôt’race contre l’utilisation des civils palestiniens en guise de bouclier humains par vos nazislamistes adorés. Je suis gentil, je vous dispense de défiler contre l’envoi de roquettes sur les cibles israéliennes, clairement civiles.

Mais aussi, au moins, le jour où vous regueulerez vôt’race contre le génocide du Darfour et la solidarité manifestée comme un seul homme, l’été dernier, par la Ligue Criminelle Arabe au régime de Khartoum. Je suis gentil, je vous épargne les dizaines d’autres conflits et sources de massacres actuels dans le Dar-al-islam, le monde islamique, ou à ses frontières.

Pour conclure, puisque je ne suis pas Juif, étant plutôt comme vous un bon indigène de ce continent européen, je me permettrai un « fermez vos gueules, tas de pôv’cons, car vous me faites honte » ou alors « courez vite ». Vous n’imaginez même pas à quel point vous me faites honte. Quand je vous vois, je n’ai qu’une seule envie, celle de vous cracher au visage, un peu comme le Christ, en espérant que cela vous ouvre les yeux. Pardonnez-moi, mais les gens comme vous me font vomir. Rassurez vous, mon acide gastrique possède lui aussi des vertus thérapeutiques...

SILmarils ulcéré « Quand le calme devient faiblesse »

mardi 13 janvier 2009

LA HAINE EN IMPORT-EXPORT


Tags antisémites, cocktails molotov, synagogues attaquées, une gamine juive passée à tabac, pas moins de 50 actes antisémites depuis fin décembre 2008, avec Gaza pour excuse, et voici que nos bonnes âmes s'étonnent, s'émeuvent, prient pour que l'importation du conflit israélo-arabe ne se fasse pas dans notre pays. Mais mes chers petits enfants, il est évident que vous planez à 15 000. Car histoire de vous ramener un peu abruptement sur le plancher des vaches, le problème n’est en rien un conflit israélo-arabe qui serait en cours d’importation. Non, le problème n’est rien d’autre que les conditions mêmes du conflit que vous avez importé massivement dans notre pays mais aussi sur notre continent.

Et oui braves naïfs doublés d'incultes vaniteux, en important des millions de personnes en provenance du monde islamique, porteurs pour beaucoup d’entre eux de cette culture, juste par intérêt économique, sans leur avoir remis un marché très clair entre les mains (vie meilleure contre assimilation ou alors retour au pays), sans donner à leurs enfants les moyens intellectuels de se libérer massivement de l'obscurantisme islamique par le biais des valeurs de la France, grâce à nos maîtres mais aussi grâce à ceux qui en provenance de là-bas partagent nos valeurs émancipatrices (les Sifaoui, Sultan, Sansal, Hirsi Ali…) et que l'on aurait placé en chaire en lieu et place de tous nos marxistes qui œuvrent de leur côté à saper les fondements républicains de notre société, c'est ni plus ni moins la haine islamique que vous avez importé avec toutes les conséquences prévisibles.

Une haine foncièrement antisémite, accrochée aux lèvres d’un prophète qui rêvait de ce qui suit. « L'heure ne se lèvera pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, au point que le juif se cachera derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront alors : "Ô musulman! Voici derrière moi un Juif, viens le tuer" ». Vous remarquerez au passage que je vous ai pêché ce hadith sur le forum de la Grande Mosquée de Lyon. Un lieu de paix à l’évidence…

Une haine qui précède le conflit et non l'inverse. Une haine qui vient s'ajouter à celle de notre propre corpus culturel, qui vient souffler sur nos propres braises rouges-brunes toujours fumantes, antisioniste-antisémite, lâche ou assumée, l’antisionisme n’étant que l’antisémitisme du lâche. Cette haine que l'on n'a pas été fichus d'éteindre avec les grandes eaux de la raison, par la démystification des préjugés antisémites, préférant jouer la très ambivalente carte de l'émotion.

Mais aussi, s’agissant de l’islamique, d’une haine fondamentalement anti-occidentale, anti-quoi-que-ce-soit-d’autre de toute façon, puisque intrinsèquement conquérante, doublée d'un caractère revanchard nous concernant, nous autres Français, aventures coloniales oblige. Car oui, la culture islamique prêche notre détestation et faute de le comprendre, de le dénoncer et de mettre devant leurs responsabilités ceux qui la diffusent ou s’en délectent, vous ne comprendrez rien à ce qui se joue. Le problème est là est nulle par ailleurs.

Déjà que la paix n’est pas gagnée y compris quand la culture est proche ou que les haines sont simplement dues aux contextes politiques et aux enchaînements historiques. Je pense notamment à celle qui nous opposait à nos cousins allemands. Vous voyez bien, même si ça va beaucoup mieux, que le souvenir du « boche » reste ancrée dans notre mémoire reptilienne collective. On voit d’ailleurs, de leur côté, qu’ils n’osent pas trop venir nous voir ou s’installer chez nous, alors qu’ils aiment notre pays, car ne dit-on pas en Allemagne « heureux comme Dieu en France ». On a même l’impression qu’ils ont intégré le fait que les seuls Allemands à résider en France sont et resteront les Francs, les autres devant tenter leur chance en Espagne, un peu à l’image des Wisigoths.

Sérieux, aurait-on eu l’idée de faire venir des travailleurs allemands par centaines de milliers après la guerre franco-allemande de 1870 ou celle de 1914-18, histoire de repartir sur de nouvelles bases, celle de l’échange culturel ? Ben non pardi ! Tout le monde aurait trouvé ça d’une bêtise insondable. Or voilà qu’on l’a fait avec des populations en provenance de pays de culture islamique, franchement hostile à la nôtre, et avec qui on sortait tout juste de guerres coloniales. Et personne pour se poser des questions, chacun se contentant de poser des bons sentiments pour toute solution. Quels cons !

Car histoire de continuer à mettre les pieds dans le plat et de soulever des questions que personne ne semble se poser, indiquons que si la xénophobie et la haine, la nôtre au même titre que l’islamique, sont forcément à condamner et à combattre, il est à l’inverse stupide de vouloir que des cultures antagonistes ou que de peuples s’aiment à tout prix. Et oui !

Par conséquent, dans la mesure où nos portes s’ouvraient quand même, la seule chose que l’on aurait dû faire, c’était, j’insiste, d’affirmer nos valeurs, notre cadre culturel, politique et citoyen, l’aspect non-négociable de ceux-ci, afin que l’alternative « venir chez nous ou rester chez soi » soit clairement posée à ces émigrants. Mais aussi, d’une part, faire en sorte que leurs enfants puissent sortir du carcan islamique après l’avoir analysé grâce à une école qui serait restée émancipatrice puisque exigeante, et d’autre part continuer de taper sur les stéréotypes raciaux qui font que beaucoup trop de gens croient encore que l’islam et ses mœurs sont une affaire de gènes, « qu’ils ont cette haine dans le sang ».

Car si le sang humain semble charrier la même capacité de rage, leur sang à eux ne porte pas plus la haine antisémite ou infidelophobe que le sang allemand ne portait la haine raciste ou que le notre puisse le porter encore. Tout ça est une affaire d’idéologie et de culture qui a sur le sang un avantage fondamental. Les idéologies et les cultures se critiquent, se combattent, se reforment, se transforment sans avoir forcement à toucher à l’humain ou aux groupes humains dans leur ensemble, contrairement au sang dont la condamnation suscite souvent la criminelle idée de son éradication.

En ce sens, histoire de revenir à l’antisémitisme, il serait enfin bon, en même temps que l’on s’attaque au plus virulent d’entre eux actuellement à l’œuvre, à savoir celui d’importation, de regarder le notre enfin en face, afin de démonter pierre après pierre la cathédrale de stéréotypes antisémites que notre culture a bâti.

En résumé, il eut fallu et surtout il faudrait, car il n’est pas trop tard, affirmer un cadre collectif stable, celui de notre république, et combattre les éléments idéologiques et culturels qui empêchent chaque jour un peu plus nos concitoyens de vivre ensemble. C’est le seul moyen d’obtenir la concorde et de permettre à des individus émancipés de leurs différents carcans de se mélanger dans le même corps national et citoyen, et ce pour le bien de toute la société…

SILimalikoum

Illustration : Affiche du Film de Mathieu Kassovitz « La Haine ». Sorti en 1995. Un film qui s’il n’apportait qu’un éclairage très partiel sur cette haine en gestation, étant donné que les frustrations sociales étaient déjà plutôt une conséquence de la montée en puissance d’une culture de cité de plus en plus islamisée que l’inverse, se concluait sur une phrase pleine de bon sens. « Jusqu’ici tout va bien… »

lundi 12 janvier 2009

CRISE INDUSTRIELLE : LE NOUVEAU BEAU MODÈLE DE CHEZ MOMOLINEX


Avec la crise qui s’étend dans nos bassins industriels, il fallait une proposition de relance Allah hauteur du défi. La voilà ! Le nouveau robot pour mollah de chez Momolinex. Un bien beau modèle. Au moins aussi beau que Momo le prophète de La Mecque. Et oui, en France on n’a pas de pétrole mais on a des idées, y compris pour les pays qui ont du pétrole mais pas d’idées.

SILidim le Magnifique

Illustration : tirée du journal satirique Hara-kiri (années 70). Allah belle époque !

dimanche 11 janvier 2009

OS ESCUDOS HUMANOS DOS NAZISLAMISTAS DO HAMAS (POST EN PORTUGAIS)



Atenção, as imagens da vídeo aqui acima, e também as imagens filmadas desde esta escola da Faixa de Gaza, mesmo se não surpreendem uma certa parte de nós, são capazes de chocar, magoar a sensibilidade dos menores como dos maiores, e até de enfurecer as pessoas responsáveis de família...

Só não estarão magoados os islamo-esquerdistas e os outros idiotas inúteis do eixo totalitário verde-vermelho-negro que desfilavam nos dois sábados passados, tanto no mundo islâmico que na nossa Eurabia mais de que Europa, detrás dos slogans “progressistas” tais que “morte para Israel”, “os judeus pró gás (em Amesterdão)”, e o “Allahu Akbar” ou seja “Allah über alles”. “Allah acima de tudo”.

Estas imagens bem que não sendo recentes, pois foram filmadas em 2006, são seguramente de alta actualidade. Para à explicação ideológica do escudo humano, carreguem aqui e vejam o que diz Fathi Hamad, membro do conselho legislativo palestiniano (vídeo árabe subintitulado em francês), e que resume-se em uma só frase. “Desejamos a morte tanto como vocês desejam a vida”. Pobres crianças de Gaza...

Sil

samedi 10 janvier 2009

FRANÇA-BRASIL, BRASILUSIA E O EUROMERCOSUL (POST EN PORTUGAIS)


Vamos lá ver, ou o presidente Sarkozy consegue ler na minha mente ou então temos amigos em comum. Talvez os mesmos que me acusam de atraiçoar o meu sangue português por preferir a França, a nação onde nasci e onde me construí, quando a única coisa que Portugal fez por mim foi mandar os meus pais pelos caminhos da imigração. Uma traição finalmente nem tão grande como isso pois o sangue português é somente sangue gaulês um pouco mais salgado come já o diziam os romanos.

Os tais amigos à quem digo também, quando ando meiguinho, que talvez tomarei de novo posse da nacionalidade portuguesa no dia em que duas condições estarão reunidas. No dia em que a raiz galega do norte, actualmente sob ocupação castelhana, estará de novo reunida à arvora portugalega, e também quando essa mesmo arvore for parar pra floresta amazónica. Ou seja mais simplesmente dito, no dia em que Portugal ficara à ser o 27e estado brasileiro. Algo nada impossível pois o parlamento português aceitou recentemente a ortografia brasileira como norma comum. Um primeiro passo para à união brasilusa.

O Brasil, certamente o que o sangue portugalego fez de melhor. Por essa razão o melhor é os portugueses terem orgulho disso, tornando-se Brasilusos e falando o brasileiro, língua muita mais bela que o triste português. E mais, que belo símbolo que o duma metrópole unindo-se à sua antiga colónia. Um pouco como à Inglaterra e os Estados-Unidos.

Mas sobretudo, fica claro que para Portugal, uma união com o Brasil oferece muitas mais hipóteses, principalmente desde à potencialização do Brasil. Até andam à descobrir petróleo. Coisa bacana, nè ?!?

Pois è, pensando bem, Portugal tem mais interesse em deixar uma União Europeia, cada vez mais carnavalesca, e juntar-se ao Mercosul, o mercado comum da América latina.

Uma lógica com a qual o presidente francês Nicolas Sarkozy concorda ao propor, durante à sua recente viagem no Brasil, um “partenariado estratégico”. Ora se o presidente Sarkozy concorda comigo, vai ser difícil eu não concordar com ele. Ainda melhor se ele abandonar o seu projecto torto das pernas de União Euro-mediterrâneo e preferir o meu projecto d’Euromercosul ou o ainda bem melhor d’Euramerica.

Olha que baboseira” me dizem os meus amigos. “Olha que não”, digo eu. Já que toda a malta anda por aì fazendo da União Europeia uma união cada vez mais fora do comum, por que razão não iria eu também à união como se vai ao mercado, fazendo a minha própria salada russa.

Em todo caso, por andar à sonhar, à muito, duma Brasilusia e por estarmos na inicio da ano com a suas promessas, informo a malta toda que de aqui em diante, aos sábados, se tiver tempo, traduzirei um dos meus bilhetinhos da semana, trabalhando assim à construção desse tal grande pais do qual gostaria ser um dia ministro da cultura.

SILberto SIL

vendredi 9 janvier 2009

SINGAPOURIS, PAS TANT QUE ÇA, FINALEMENT. QUANT AUX GAZAOUIS…


Le très regretté Pierre Desporges dans son pas si mauvais « les étrangers sont nuls » parlait ainsi des habitants de Singapour. « Les Singapouris sont appelés ainsi parce qu’ils ne sont pas frais, à cause de l’équateur qui passe souvent par Singapour où son empreinte torride moisit sur pied sauf les culs-de-jatte, ça va de soi. »

Il est vrai que cette île presque 2 fois plus grande que la Bande de Gaza, mais aussi 2 fois plus densément peuplée, n’étant dépassée en la matière que par Monaco, est loin d’offrir un visage sympathique et accueillant. Malgré sa grande prospérité économique, la cité-État passe pour être une république semi-autoritaire. « Une demi-carotte, un demi-baton, etc » comme le précise Desproges. Elle est notamment connue pour ses règles très strictes en matière de comportement social. Surtout ne jetez pas le moindre papier par terre, malheureux, car vous seriez alors passible de la peine de mort ou presque (!)

Cependant ce petit pays, qui tout comme Gaza, doit son origine à un conflit ethnique entre la majorité chinoise de l’île et la majorité malaise de la région, à l’évidence, s’est donnée les moyens du développement au lieu de demeurer dans une logique d’affrontement avec la Malaisie voisine. Les roquettes singapouries ne pleuvent pas sur la Malaisie.

Et pourtant, question développement, ce n’était pas gagné. Lors de sa prise d’indépendance en 1965, Singapour cumulait les handicaps. Chômage massif, difficultés d’accès à l’eau potable et faiblesse générale des ressources naturelles. Trente ans après, elle compte parmi les dragons asiatiques, est devenue une place importante de l’économie mondiale et possède l’un des plus hauts PIB au monde. Le tout en gardant ses spécificités culturelles.

Sans doute la preuve que les sionistes sont derrière le développement de cette cité-État, à moins que tout cela ne démontre une fois de plus l’importance des données culturelles dans le développement des peuples.

Aussi, entre détruire et bâtir, mourir et vivre, le ressentiment ou aller de l’avant, il semble clair que les Singapouriens ont choisi. Illustrant ce choix, vous trouverez parmi les slogans nationaux placardés un peu partout dans la ville de Singapour cette citation présidentielle : « Nous ne sommes pas les plus riches, nous ne sommes pas les plus puissants, et nous ne sommes pas les plus nombreux. Nous devons donc pour nous faire une place au soleil être parmi les plus capables et les plus instruits ». Quant au choix des Gazaouïs, à savoir le Hamas, il est évident aussi…

SILévi Strauss

jeudi 8 janvier 2009

AXE ROUGE-VERT-BRUN : L'HYPOCRISIE EST EN MARCHE


J'ai la grippe, alors je ferai court. Un petit éternuement bien glaireux, vert purulent, sur nos bandes d'hypocrites. En effet, il me parait bon de rappeler à nos tartuffes maison que la guerre c'est la guerre et que s'agissant des nôtres (les actuelles), on ne les voit pas trop défiler pour s’y opposer ou encore en faire les unes aussi bien à la télévision que dans la presse écrite.

On ne les voit pas manifester pour s’opposer aux dizaines, peut-être même aux centaines de victimes civiles engendrées par notre juste guerre en Afghanistan (tant mieux d'ailleurs), comme on ne les a pas vus manifester leur indignation devant la soixantaine de morts et le millier de blessés civils causés par nos soldats de la paix à Abidjan, il n'y pas si longtemps. Combien de cibles militaires atteintes ? Après tout, là aussi, je ne jetterai pas trop la pierre à nos petits gars menacés de lynchage. La guerre c'est la guerre, même s'il s'agissait bien là d'une effroyable bavure.

S’agissant de nos gauchos qui manifestent par amour de la grande démocratie populaire panarabe et haine du vilain empire tyrannique israélien, force est quand même de constater que l’on ne voit pas toutes ces raclures marxistes du PC ou de la LCR défiler en mémoire des victimes tibétaines du communisme chinois ; ni pour celles du régime castriste ; de Corée du nord ; d’une Russie à-peine-post-soviétique en Georgie ; ou encore celles dues aux milices marxistes des FARCaracas financées pour partie par Chavez, et qui commettent des exactions sur la paysannerie colombienne dont ils seraient les protecteurs.

On ne les voit pas non plus, tous ces "zumanistes", défiler pour dénoncer le sort fait dans les pays islamiques, aux femmes, aux enfants mais aussi aux hommes, celui fait aux opposants politiques ; défiler contre les massacres de Mombaï, ceux de Madrid, de Londres, de New York. Ceux du Darfour, d’Algérie, du Nigeria, d’Indonésie, des Philippines et j’en passe. Des massacres ayant des civils pour cible exclusive.

S’agissant de tout ça, on ne les voit pas marcher d’un même pas rageur avec leurs jumeaux ennemis de l’extrême-droite. Car figurez vous que j’ai reconnu les drapeaux néo-fascistes du FN italien (Forza Nuova) dans les cortèges rouge-vert-brun qui défilaient samedi dernier en Italie. Et si je n’ai pas retrouvé les images sur Internet, j’ai retrouvé sur leurs sites les appels à manifester. Admirez donc l’affiche montrée plus bas, à peine différente de la communiste du haut. Ne dirait-on pas un drapeau palestinien derrière un camp de concentration ? Que c’est bien vu pour masquer ses crimes passés. En inventer des présents que l’on met sur le dos de ceux qu’on a voulu faire disparaître. La meilleure défense c’est l’attaque n’est-ce pas ?

Mais il n’y pas qu’en Italie. Chez nous aussi, les nostalgiques du troisième Reich, semblent trouver comme une cure de jouvence dans le nazislamisme du Hamas. C’est ainsi que Jean-Marie Le Pen se vit, lui aussi, comme Palestinien, dénonçant lors de l’émission « les quatre vérités », « l’hypocrisie des nations à l’égard de l’attaque d’Israël ». "Hypocrisie", la meilleure défense est l’attaque qu’on vous dit ! Selon lui « la légitime défense implique une proportionnalité dans la réponse ». Un peu comme si les EUA, au lieu de répondre totalement à la déclaration de guerre du Japon suite à l’attaque de Pearl Harbor, auraient dû se contenter de raser un port japonais, nous laissant ainsi nous dépatouiller avec la peste brune. « Proportion », face aux tyrans, rien d’autre qu’un piège à cons ! Par ailleurs Yahya-Meriem Le Pen se verrait presque en raïs arabe étant donné qu’il trouve que le Hamas pèche par amateurisme et les dirigeant arabes par lâcheté. Tous des sionistes ma parole… sauf le Kadhafou du désert qui rejoint l’opinion de Yahya Le Pen en appelant les Arabes à se battre aux côtés des Palestiniens.

Sacrée bande of brothers.

Ah ça, pour pointer du doigt Israël et les Juifs, il y en a des courageux zumanistes à l’extreme-drauche comme à l’extreme-groite. Pas du tout disproportionnées comme réactions, pas du tout. « Fanatiques avec les modérés et modérés avec les fanatiques ». Il y avait des verts, il y avait des rouges, il y avait des bruns. United colors of tyranny. Fieffés hypocrites à keffiehs et satanés jobards !

SILomon

Addendum du 12-01 : Sur le même thème, avec le même ton, et la même analyse, mais avec bien plus d’autorité, je vous signale l’article du docteur Wafa Sultan, sociologue d’origine syrienne qui dans son article « Gaza où l’hypocrisie inégalée » dit ce qui suit (cliquez pour le savoir).