mercredi 25 février 2009

UN PEU DE ZOUK POUR ADOUCIR LE CLIMAT SOCIAL



Si en Guadeloupe, les feux de broussailles sociales semblent s’éteindre, le temps de brûler tel de l’encens les tous récents chèques en bois signés sur le dos du contribuable, ce n’est pas le cas sur l’archipel voisin. Là, des Martinique-tout, animés d’une même flamme régionale-socialiste (!), mais frustrés de s’être réveillés un peu tard, font dans la surenchère. Les gwadadas ont brûlé des barricades et bien nous incendierons des magasins. Ils demandaient 200 euros et bien nous exigerons 350.

C’est là que j’interviens.

Étant donné que « les Antilles c’est à nous », à notre République, donc un peu à moi aussi, et puisque je suis un bon républicain aussi responsable que soucieux d’éteindre l’incendie, voici présentée ci-dessus mon arme secrète. Un medley du grand chanteur martiniquais, Jacky Rapon. Du Jacky contre la Jacquerie. « Si se lov », un peu de zouk dans ce monde de brutes syndicales. Au moins, de quoi se calmer un peu entre deux rounds de négociations. La suite demain. En attendant, vas-y Jacky, ton son, c’est du bon…

Sil se lov

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