lundi 29 juin 2009

MICHAEL JACKSON : « LE DI-ANTALVIC M’A TUÉ »


En exclusivité mondiale, voici le nom de l’assassin du sultan de la pop. Un nom que l’on a retrouvé, lors de la découverte du corps, dans un message tracé des doigts mêmes de la victime sur de la buée qui se trouvait figée sur l’un des miroirs de la salle de bain. « Le Di-Antalvic m’a tué ». Oui, il s’agit bien du médicament et non d’un quelconque italo-serbe faisant partie de son entourage.

Ah là là, quel dommage, quelle tristesse les enfants ! Quelle tristesse que cet antidouleur n’ait pas été retiré des marchés un peu plus tôt, suffisamment pour sauver Michael Jackson, ce bienfaiteur de l’humanité qui avait découvert le vaccin contre le Sida, le cancer, mais aussi la solution aux dérèglements climatiques, à la crise mondiale, à la faim dans le monde et tant d’autres choses bien plus merveilleuses encore. Saloperie de Di-Antalvic et de corps médical incapable de s’en rendre compte à temps.

Les fans savent donc vers qui diriger leur colère, frustration et tout le tintouin. Une partie de l’industrie pharmaceutique. Ne me remerciez pas. Moi, dès que je peux rendre service…

SILaboratoire concurrent.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

> Le Di-Antalvic m’a tué
Il y a erreur dans cette parodie de citation car elle ne comporte pas LA faute d'orthographe célèbre.

Le message accusant Omar Radad du meurtre de sa patronne était :
OMAR M'A TUER
donc avec faute sur TUER qui ne doit pas dans ce cas être à l'infinitif.

La parodie de la citation sans la faute en affaibli fortement l'humour noir, voire montre que l'auteur n'a RIEN compris à la citation et encore moins à l'affaire où l'avocat des coupables, Jacques Vergès, à pour la seule fois de sa carrière, défendu un innocent condamné seulement pour avoir été arabe.
Et c'est un islamophobe à 100% qui vous le dit.

SIL a dit…

Remarque très juste, à ceci près qu’une boite de Propofan étant dépourvue de doigts, elle n’a donc pas pu accuser son voisin Di-antalvic, ce qui permet de conclure que le message a vraiment été écrit par M.Jackson.

Par conséquent, humour noir (gris) oui, mais innovant ou adapté à la situation. Ce qui fait sans doute la différence entre un islamophobe tel que vous et un islamopposant tel que moi ;-)