mercredi 14 octobre 2009

L’auto-autodafé comme source intarissable de casus belli islamiques…


L’islamiste de base est à ce point un sous-déchet spirituel et humain prêt à tout, qu’il en vient même à malmener son torchon sacré afin de pouvoir massacrer quelque infidèle lorsque l’envie lui prend, ou bien faire avancer son agenda politicultuel.

Le 1er juillet dernier, à Faisalabad, ville pakistanaise de la province du Pendjab, suite à une rumeur de profanation du coran par un chrétien, des islamistes ont menacé de s’en prendre au quartier chrétien. La vieille, dans le même état, encore une fois à la suite d’une rumeur de blasphème contre le coran et Mahomet, un village chrétien avait été pris d’assaut par des islamistes ayant saccagé les biens et chassé les habitants de leurs maisons. RFI vient d’en faire un reportage très intéressant.

Vendredi 2 octobre, c’est en Afghanistan que l’on fait le coup du « coran profané ». Des talibans forcent des civils à protester contre les forces de l’Otan dans l’ouest de l’Afghanistan après avoir lancé une rumeur selon laquelle ces derniers avaient profané un exemplaire du Coran. Cachés dans la foule, les mercenaires d’Allah tirent sur la police, provoquant des victimes dans les rangs des forces de l’ordre ainsi que parmi les civils qui leur servaient de bouclier.

Vous pensez que cela ne peut pas arriver chez nous. Détrompez-vous.

Fin décembre 2008, dans la banlieue de Lyon, s’est produit un incendie criminel visant la mosquée de la commune de Saint-Priest. Fort heureusement, seule la porte d’entrée a souffert de l’incendie. Toutefois comme le montre la photo ci-dessous, prise le lendemain de cet acte criminel, lors de la manifestation organisée pour dénoncer celui-ci, on a pu voir un fidèle brandir un coran partiellement brûlé devant une foule de fidèles en colère. Un coran qui pour se retrouver brûlé devait servir à caler la porte d’entrée de la mosquée, chose somme toute étonnante. Remarquez au passage comme seule la bordure de ce coran est brûlée, le corpus du texte « sacré » demeurant miraculeusement intact. Quel feu délicat. Étonnant tout ça, non ?

NaSILredin Houdja.

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