vendredi 30 octobre 2009

Le marxisme, une forme politique de dysmorphophobie.


Dans la série marxisme et psycause, avez-vous déjà entendu parler de la dysmorphophobie ? Non ! Cela ne m’étonne pas. En fait, il s’agit d’une maladie mentale assez rigolote bien que très invalidante. Dans sa forme la plus commune, le malade se croit laid alors que pas trop, et passe de longues heures devant un miroir afin de distinguer tout signe qui confirmerait sa thèse. Dans une forme plus radicale de cette maladie, le pauvre bougre ou bougresse peut en arriver à ne pas reconnaître ses membres, genre ma main ne m’obéit pas, ma main n’est pas ma main, et ainsi de suite.

Et bien le marxisme c’est un peu ça aussi. Dans sa forme la plus commune, le marxiste, en plus de se croire beau moralement alors qu’il est laid, symptôme particulièrement grave, peut passer des heures à ausculter notre société afin d’y débusquer tout détail de laideur pour mieux la détester ou vouloir l’amputer de tel ou tel membre. Et dans sa forme la plus grave, le marxiste tendance trotskiste, peut en arriver à dire et à écrire des folies du genre « rien n’est à eux », « tout est à nous ».

SILgmund à peine de mauvaise foi et encore pas vraiment.

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