mercredi 28 octobre 2009

Lorsque des travaillistes travaillent à la destruction de la Grande-Bretagne (God save the Queen ; Queen save the Kingdom)


L’article en lien ci-après, montrant comment des travaillistes auraient un temps cherché à appliquer la formule brechtienne « si le peuple ne nous suit pas, changeons le peuple », ne nous apprendra rien d’extraordinaire. Il démontrera juste encore une fois, que les internationalistes, en bon gauchistes, sont une racaille criminelle qu’il nous faudra un jour traduire devant les tribunaux de l’Histoire mais pas seulement. Décidemment, tout me débecte chez ces gens-là, depuis leur hypocrisie jusqu’à leurs délires les plus abscons.

Avec ces anencéphales ou pire ces malades mentaux de gauchistes, engoncés dans la logique binaire propre aux possesseurs de deux neurones (un pour le zéro, l’autre pour le un), si vous n’êtes pas socialiste c’est que vous êtes un esclavagiste, si vous n’êtes pas écologiste c’est que vous êtes pollutionniste, si vous n’êtes pas internationaliste c’est que vous êtes racistes, et ainsi de suite.

Bien évidemment, libre et responsable que vous êtes, vous savez être écoresponsable, en faveur du dialogue social tout comme pour un patriotisme ouvert et fraternel.

Mais voilà, cela ne suffira jamais à ces crétins de gauchos. Hors de question que vous teniez à rester maître chez vous, que vous teniez à votre identité nationale, à conserver et faire fructifier l’héritage de vos pères et mères. Non, rien n’est à vous, tout est à leurs folies, et si vous ne les suivez pas, ils chercheront à faire table rase de vous, de votre passé comme votre mémoire, à vous dissoudre dans leurs mièvreries créolistes totalement irresponsables.

Oubliant surtout, en bon rêveurs incultes, qu’aucune créolisation n’a jamais donné l’Esperanto, ce langage universel théorique mais jamais incarné. Et oui, tas de glands, la moindre petite île créole s’est toujours distinguée de sa voisine par un socle culturel dominant, par son identité propre, à laquelle elle tient corps et âme. Le métissage, en rien négatif mais pas pour autant obligatoire, n’a jamais produit un gloubiboulga sans goût ; il s’est toujours inscrit dans un cadre. Tel est l’un de nos fondements humains. Et si nos nations ont absorbé et brassé, ces derniers siècles, des vagues d’immigration successives, elles l’ont fait en préservant le cadre, grâce à un cadre, faute duquel on passe toujours de la cohésion à la fragmentation ou désintégration. Non mais bordel, quand est-ce que allez vous fiche ça définitivement dans le crâne ?!? (PS : un grand merci à Poste de Veille pour la traduction de cet article)

Sir SIL

Les travaillistes ont « délibérément laissé entrer les migrants pour rendre la Grande-Bretagne plus multiculturelle et pour permettre d’accuser les conservateurs de racisme »

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