mardi 12 janvier 2010

« Ne m’expulse pas, tout peut s’oublier, tout s’oublie déjà » (les petits fados des fadas de l’islam)


Quelle ribambelle de couineuses, ces islamistes, je vous jure (sur le coran de La Mecque). Il suffit que l’on expulse un imam ouvertement djihadiste pour que le concert de gémissements se déclenche. Un imam bien sous tous rapports qui « prêchait le djihad du coran » et qui concluait ses prières du soir par une « malédiction contre les Juifs et les Occidentaux ».

Faits que conteste avec sa langue de bois de santal habituelle, Tariq Ramadan, le frère musulman de l’autre islamiste, au motif que tout ce qui sortirait de la bouche des gouvernements non conseillers par notre très saint inquisiteur Tariquemada, est forcement suspect voire mal intentionné. Mais écoutons-le attentivement ( voir vidéo 1 en cliquant ici ) : « En tant qu’islamiste-pacifiste-socialiste-ultra-libéral et occidental, profondément attaché aux droits de l’homme, et ce même si c’est aux dépends de l’homme juif ou infidèle, qui n’a qu’à devenir musulman s’il tient tant que ça à bénéficier des droits de l’homme tels que définis par nous autres islamistes, je condamne non pas les propos ou la méthode de mon frère musulman mais bien celle du gouvernement français qui commet par ce terrorisme d’Etat non seulement un crime abject mais surtout un pousse au crime particulièrement horrible. Et c’est d’ailleurs en véritable Gandhi nobélisable de l’islamisme radical-sympathique que je plains ce pauvre-miskine d’imam qui par cette expulsion ne bénéficiera pas en Egypte de notre idéal humanislamique. Que voulez vous, on est humanislamiste ou on ne l’es pas. » Un magnifique galimatias, n’est-ce pas, qui appelle pour réponse un très simple « alors là mon Taricoco, le sort que réservera le gouvernement égyptien à ce genre de racaille islamique est le cadet de nos soucis, car il fallait y penser avant de jouer les recruteurs du djihad ».

Une forme quasi-similaire (comme quoi tous les islamistes se ressemblent) de contestation que l’on retrouve chez des représentants du culte musulman. Ceux du CRCM nous servant ( voir article du Figaro en cliquant ici ) un quasi: « Non mais de quel droit vous faites la loi chez vous, sans nous en parler avant alors que la loi chez nous chez vous et vice-versa, c’est nous. À plus forte raison que nous aurions expliqué à ce brave imam comment prêcher la haine de l’infidèle de façon plus modérée, plus métaphorique, moins provocatrice. Encore une victime de cette haïssable culture occidentale du Rap n’Roll. C’est vrai quoi, faut le comprendre, faut accepter qu’il faille du temps pour intégrer que vous autres Occidentaux, êtes biens cons, oups bien bons, mais qu’il y a encore quelques limites à prendre en compte. Choses que nous aurions pu lui expliquer. Franchement, au prix que ça coûte un imam, ça ne se fait pas de l’envoyer ainsi au rebus. En plus tout cela, ça crée des amalgames détestables dont toute notre pauvre-persecutée-humiliée-terrorisée communauté subit les effets. » Petites jérémiades vertes qui appellent à peu près le même type de réponse. « Tant que vous travaillerez vous mêmes à fabriquer ce genre d’amalgames en nous critiquant au lieu de condamner et excommunier vos prêcheurs de haine, par ouverture d’esprit et don pour l’apprentissage des coutumes étrangères, et bien nous feront tout pareil que vous ; nous n’établirons aucune distinction de nature entre tous vos prêcheurs. »

Les très fidèles ouailles de la mosquée incriminée, jouant de leur côté les enfants de chœurs en do-do mineur ( voir vidéo 2 en cliquant ici ) genre : « sur la tête du prophète qu’on n’a rien vu, rien entendu. De toute façon, nous, si nous venons dans cette mosquée, ce n’est pas pour les prêches mais pour les filles, la musique et pour communier sous les deux espèces. Le vin y est d’ailleurs excellent ». C’est cela même oui, et mon cul c’est du jambon !

SILidim le Magnifique.

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