mardi 15 juin 2010

Hommes-Femmes, faisons donc l’amour, pas la guerre.


Je ne sais pas pour vous, je ne sais pas si c’est l’un des effets de la crise, mais autour de moi le nombre de couples qui volent en éclats me rappelle les chiffres des liquidations d’entreprises en 2009. Encore l’autre jour, l’un de mes proches, particulièrement proche, me faisait état de son dépôt de bilan conjugal, avec une histoire, ma foi, qui m’en rappelle décidemment pas mal d’autres. Une nouvelle affaire de guerre des sexes. Expliquons nous.

Il fut un temps jadis (à vrai dire, un temps pas vraiment caduc) où beaucoup trop de crétins immatures, pas tout à fait sortis des jupes de leurs mères, se mariaient en trouvant normal de couiner sans cesse, parce que le repas n’était pas prêt, leur chemise pas repassée, les gosses pas torchés, la bière pas assez fraîche, les potes pas assez souvent à la maison, et patati, et patata… et qui ne comprenaient pas que leurs femmes leur signifient de fréquents ras-le-bol. Ne comprenant pas, n’étant pas enclins au compromis, ou à supporter les états d’âme d’une bonne femme, ces bougres-là abandonnaient femme et enfants et s’en allaient voir ailleurs si l’herbe était plus verte.

Il est désormais une époque, la nôtre (qui tout bien considéré, ne date pas d’aujourd’hui), où un certain nombre d’éternelles gamines, dont la vie n’est qu’une suite de caprices visant à meubler une maison de poupées, trouvent normal de râler sans cesse, au prétexte que leurs bons cons de maris, qu’elles traitent comme de vulgaires « seconds », ne font preuve de jamais assez de compréhension, ne sont pas assez ceci, pas suffisamment cela, ne leur font pas ci, ne les emmènent pas là, et pourquoi ci, et pourquoi pas ça… et qui s’étonnent que leurs tendres époux leur signifient parfois un sérieux ras-le-bol. Ne comprenant pas, n’étant pas disposées au compromis, ou à supporter le moindre état d’âme d’un bonhomme, ces bougresses-là répudient ceux-ci en leur ravissant les enfants, ces merveilleux Instruments de la Vie au son desquels ils aimaient tant se réveiller chaque matin et se coucher chaque soir.

Vivement qu’hommes et femmes soient en mesure de signer un traité d’entente cordiale…

AxSIL Rose content d'apprendre que la ravageuse Shy'm est susceptible de le comprendre car "elle sait", au moins, elle...

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