mardi 31 août 2010

Sil-Hawking, les esprits cosmiques se rencontrent : « l’espace seul avenir de l’espèce ».


Juste histoire (et pour l’Histoire) de signaler que Stephen Hawking (le célèbre et brillant astrophysicien) et moi sommes d’accord, même si je trouve mes propres analyses sur cette question plus brillantes encore ;-)

SILuck Skywalker astrophilosophe

Pour mes analyses aussi cosmiques que comiques, c’est là :

1) Une vérité qui démange : « space is the place » (cliquez sur cette ligne pour en savoir plus).

2) Aphreurisme Vulcain (cliquez pour en savoir plus).

3) Le Deep Impact pour darwinisme sidéral (les effets positifs de la colonisation spatiale). Cliquez etc.

Pour celle de Stephen Hawking c’est ici même :

"Le constat de l'astrophysicien britannique Stephen Hawking est simple : si l'homme ne colonise pas l'espace dans les 200 prochaines années, la race humaine risquerait bien de disparaître. "Je pense que l'avenir à long terme de la race humaine se trouve dans l'espace. Il sera déjà difficile d'éviter une catastrophe sur la planète Terre dans les 100 prochaines années, sans parler du prochain millier ou million d'années", a expliqué M. Hawking au site Internet Big Think.

Connu et reconnu pour ses travaux sur l'univers et la gravité, le scientifique se prononce résolument "en faveur des vols habités dans l'espace". "Si nous sommes les seuls êtres intelligents de la galaxie, nous devons assurer notre survie", a plaidé le scientifique, estimant que l'augmentation de la population mondiale et les ressources limitées de la Terre vont menacer de plus en plus l'espèce humaine.

M. Hawking estime qu'à mesure que les crises politiques et les catastrophes naturelles se multiplient, l'homme devra "faire preuve de prudence et de jugement pour les gérer avec succès". "J'entrevois de grands dangers pour la race humaine. A de nombreuses reprises par le passé, sa survie a été dans une situation délicate", estime-t-il. Mais le scientifique, qui se dit tout de même "optimiste" quant à la survie de la race humaine, pense que "si nous pouvons éviter une catastrophe au cours des deux prochains siècles, notre espèce devrait être sauve si nous nous déployons dans l'espace". "La race humaine ne devrait pas mettre tous ses œufs dans le même panier, ou sur la même planète", a conclu le scientifique.
" (source : Le Monde)

Images : Dans les années 70, la NASA a rassemblé plusieurs artistes et leur a demandé d’imaginer des colonies spatiales pouvant accueillir 10.000 habitants. D’autres images ici. Et merci à mon TranXenne pour cette découverte.

lundi 30 août 2010

L'aphreurisme de la rentrée





Le savoir est une route qu’il est impérieux
De ne jamais quitter des yeux




Un SIL dans l’oeil

dimanche 29 août 2010

samedi 28 août 2010

Le Pincoin de Miyajima


Au large d’Hiroshima, l’île sacrée de Miyajima, celle où « les dieux côtoient les hommes ». Peut-être lors de l’ascension des deux kilomètres et demi d’escaliers qui mènent au sommet du mont Misen (550 mètres), ou bien dans les sentiers du parc Momijidani, à travers le regard des biches qui vous observent allongées au bord d’une petite cascade, ou alors dans les différents temples, petits et grands, ou encore au pied du grand Torii (portail servant à séparer le monde physique du monde spirituel ) de l’île de Miyajima. Une île merveilleuse, en tout cas, c’est certain…





jeudi 26 août 2010

Un amour de Pincoin à Hiroshima


Hiroshima, son château, son histoire dramatique, son quartier mémorial pour la paix, mais aussi son équipe de baseball entraînée par un Américain, son énergie débordante, ses très jolies filles (que j’aurais bien qualifier en d’autres circonstances de bombes atomiques) et ses succulentes galettes « Okonomi-yaki », préparées par un maître crêpier tout droit sorti de mes rêveries d’adolescent nourri aux mangas et autres animes japonais du genre « Lucile, amour et Rock ‘n’ Roll » (les fans se rappelleront de Roméo, le gros chat amateur de galettes).

LuSIL

mardi 24 août 2010

« Ma Biche » habite Nara


Nara (la toute première capitale du Japon qui fête le 1300e anniversaire de sa fondation), sa grande pagode, son Bouddha géant aux marchants du temple qui lui chatouillent les pieds, son vieux quartier de Nara-machi aux maisons datant du XVIe siècle (photo ci-dessus) ; sans oublier ses inoubliables biches, ses Japonaises aux yeux de biches et ses temples gardés par des biches…

CernunnoSIL





dimanche 22 août 2010

Le Pincoin de Kyoto


Kyoto, son calme, sa tranquillité, sa sérénité, sa quiétude. Mais aussi ses temples à l’hombre de paisibles bosquets, ses douces Geishas de la rue Pontocho, la ressourçante vie de quartier de sa rue Kuramaguchi, ses gamins qui s’en vont pépères le dimanche matin à leur entraînement sportif, ses imperturbables 1001 Bouddhas, sa méditative promenade des philosophes, son apaisant pavillon d’argent, que l’on se doit de visiter au lever du soleil, son lénifiant pavillon d’or, que l’on contemple au coucher du soleil… et un Pincoin qui fait du bouddhisme.


Photos 1-2-3 : temple Shimogamo et son parc au matin






Pavillon d'argent et son bosquet au matin




Promenade des philosophes


Le célèbre Pavillon d'Or dans son écrin de verdure en fin d'après-midi

jeudi 19 août 2010

Mon Pincoin fait son marché à Tokyo


Après s’être promené dans le très joli et tout proche jardin « Hama-rikyu », voici mon Pincoin qui déambule dans les allées du marché de Tsukiji, le grand marché du poisson de Tokyo. Un véritable lieu de pèlerinage pour ce grand amateur de sushi qu'est votre Pincoin préféré.

mardi 17 août 2010

Le Pincoin de Shibuya


Shibuya (célèbre quartier de Tokyo), sa frénésie, sa vie nocturne, sa jeunesse un tantinet délurée, ses avenues traversées par des dizaines de piétons, et un Pincoin qui déguste un frapuccino™…

dimanche 15 août 2010

jeudi 12 août 2010

Le (presque) roman de l’été : Syndicaline versus Dark Speculator


Comme je pense à vous, et que je pars ce soir pour deux semaines du côté du soleil levant, je laisse à ceux qui ont besoin de leur republicoin quotidien, le lien vers mon roman syndical (cliquez sur cette ligne).

Un roman à ce jour inachevé et qui sera encore remanié, mais qui n’en vaut pas moins déjà le détour ainsi que vos commentaires. Un roman qui ressuscite la tradition bardique, mais aussi la première histoire qui se lit vraiment de gauche à droite. Vous comprendrez pourquoi lorsqu’il sera terminé ;-)

Franchement, ce que je ne ferais pas pour vos beaux yeux…

SILalutte finaleuuuuuh !

mercredi 11 août 2010

Ouvrez des lits d’hôpital, les antisémites vont faire une jaunisse : Nihon, Sion, même nation ? (le Japon, ma Terre Promise)



C’est vraiment trop bon ce truc-là (suite ci-après). Et oui, oyez, oyez braves gens, car dans la catégorie « à la recherche des tribus perdues d’Israël » voici le pays du kana(an), du nom de l’écriture japonaise. En effet, si on en croit certains aventuriers de l’arche perdue, après un long périple, l’une des tribus perdues aurait échoué au pays du soleil levant. Le Levant, cela ne vous rappelle rien ? Alors, tous des Juifs errants, même les Japonais ? Pourquoi pas après tout, étant donné que d’autres tribus israélites se sont retrouvées en Afrique du Sud, en Birmanie ou en Afghanistan.

Ce qui me permet de saisir certaines choses, en plus de celles qui se trouvent brillamment expliquées dans les vidéos (!)

Par exemple, l’origine de cet art d’autodéfense qu’est le jujitsu (jew-jitsu), sans aucun doute emmené dans les valises juives depuis la Mésopotamie (l’un des possibles lieux d’origine des arts martiaux). Mieux encore, l’origine du Ninjutsu (ninjewtsu), art martial mêlant résistance, endurance, espionnage et attentats ciblés, perfectionné dans une région montagneuse (la province de Koga). Le seul art martial à avoir admis les femmes, les Konachis, un peu comme chez Tsahal.

Tiens, en parlant de femmes, je comprends mieux maintenant également pourquoi je me suis dit, une fois, alors que j’admirais les très entraînantes chorégraphies de mon girls-band préféré, celui de mes Morning Musume chéries, qu’elles avaient un petit côté tout à fait levantin, sans compter des textes dont la sentimentalité ne va pas sans rappeler celui du cantique des cantiques.

Si vous notez également la présence de toponymes (noms de lieux) tels que Hiroshima ressemblant étrangement à Yérouchalaïm, ou Osaka rappelant la tribu perdue d’Issacar, vous voilà avec toutes les conditions d’une alliance naturelle entre le Japon et Israël. Les antisémites classiques ou antisionistes nouvelle école n’ont qu’à bien se tenir, surtout lorsque ces sionistes d’extrême Levant feront savoir qu’ils porteront désormais secours à la mère patrie avec leurs robots de combat du type Goldorak. Banzaï ! Si j’étais les pays du Médiocre-Orient, je signerais dare-dare des traités de paix éternelle avec Israël…

SILryu qui s'en va demain, pour deux semaines, du côté de sa Terre Promise

PS : juste une question avant de vous servir la suite du reportage. Est-ce que le sushi est Cacher ?

1) Deuxième partie du reportage (cliquez ici pour le voir...)

2) Troisième partie du reportage (cliquez ici pour le visionner...)

3) Et pour finir, voici un petit défilé, bientôt énorme, de Japonais juifs à Jérusalem (cliquez ici pour admirer cela...)

mardi 10 août 2010

Pourquoi je suis libéral : «Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le bonheur de tous les hommes, c’est celui de chacun» (Boris Vian
, L’Ecume des jours)


Sacrée soirée ! J’en suis tout décoiffé. « Pourquoi ? » En fait, je sors du bureau dans lequel j’étais fortement convié à me rendre par mes vieux potes. Ils avaient des choses à me dire.

« On en a marre des conneries libérales que tu écris sur ton blog. On ne te comprend plus. Que nous t’ayons toujours connu pro-américain et pro-israélien, c’est comme ça depuis le lycée ; nous avons fini par nous y habituer. Par contre comment se fait-il que tu tires sur les écologistes (ici, ici ou ), ou faits de la pub pour un 4x4, alors que tu vis comme un bobo écoresponsable, attaché à la nature, privilégiant les transports en commun et la marche à pied, à tel point que tu n’as passé le permis que parce que ton métier t’y oblige ? Pourquoi parles-tu de partouzes et autres libertinages alors que nous t’avons toujours connu monogame au possible ? Et sans même parler du capitalisme, comment peux-tu justifier le consumérisme ambiant alors que tu n’as jamais été une victime de la mode, que tes principales dépenses personnelles sont culturelles, et que la sous-culture commerciale a toujours été étrangère au fils de la culture artisanale que tu es ? Etc. »

Pour faire simple j’ai répondu que les 4x4 rappellent au pécore d’origine que je suis la puissance des tracteurs. Et puis je les trouve sécurisants, ce qui plait forcément aux voiturophobes dans mon genre. J’attends juste les versions électriques à boîte de vitesse automatique pour sauter le pas.

Pour le reste, j’ai dit à mon très amical politburo que je vivais effectivement en accord avec mes principes, ce que je suis, un bon urbain de gauche, comme eux. Cependant, une chose nous sépare. En plus de mon goût affirmé pour le politiquement incorrect, je ne veux plus que le Monde entier soit à mon image, que tout le monde me ressemble, pense ou fasse globalement comme moi. Chacun ses plaisirs ; chacun ses désirs ; chacun sa conception du bonheur. Voilà ce qui m'importe désormais.

Conclusion, j’ai grandi et eux, visiblement pas encore. En disant ça, je me suis pris des tapes derrière la tête ce qui explique cet aspect un tantinet ébouriffé.

SILibéral

lundi 9 août 2010

Le dernier maître de l’air et l’école des 4 éléments (au rayon « arrête tes chinoiseries ! »).


Bruce Lee, en bon maître de l’école de l’eau, disait : « vide ton esprit. Sois sans forme, informe, comme l’eau. Vous mettez l’eau dans une tasse, elle devient la tasse. Vous mettez l’eau dans une bouteille, il devient la bouteille. Vous mettez l’eau dans une théière, elle devient une théière. L’eau peut couler ou elle peut tout fracasser sur son passage. Sois de l’eau mon ami » (source).

Une erreur puisque se limiter est toujours une erreur.

Pour aimer ce genre de chinoiseries, valables aussi bien pour les arts martiaux que pour tout autre forme d’exercice, je dirais quant à moi, en bon disciple de l’école des 4 éléments : « toute son existence, l’être complet se doit de cultiver les 4 éléments de sa nature, la fermeté et la patience de la terre, la fougue et la puissance du feu, la douceur et la fluidité de l’eau, la liberté et la légèreté de l’air. Seul celui qui cultivera en lui les 4 éléments, sachant les utiliser ensemble ou tour à tour, sans rompre leur harmonie, sera un être accompli, le réceptacle comme le dispensateur des 4 effets de la Nature. »

Sinon, toute chinoiserie mise à part, le film de Shyamalan ne vaut vraiment pas 13 euros (10 pour le film, 2 pour la technologie 3D et 1 pour les lunettes). Certes les costumes et les décors sont jolis ; les chorégraphies martiales étant elles assez mignonnes. Par contre, tout le reste ne vaut pas un yuan. Les dialogues étant d’une indigence rarement atteinte, même dans un film pour enfants, petits ou grands. Quant à la 3D, non seulement elle était inutile mais surtout, je ne l’ai même pas remarquée. En somme un film plutôt gonflé commis par un réalisateur qui ne manque pas d’air.

Bruce SILee

dimanche 8 août 2010

Private joke-box : « a small measure of peace » du côté de Miyajima



Le jour, dans une prochaine réincarnation, où je redeviendrai de nouveau totalement Japonaise, j’espère avoir la beauté, la grâce et la classe de cette sublime dame.

En attendant ce jour-là, je serai, et c’est déjà ça, dans une semaine, je l’espère, du côté de Miyajima, en quête "d’une petite dose de paix"…

AmateraSIL

samedi 7 août 2010

Rassismus, ach sabotage ! (plus métèque qu’un bon aryen, tu meurs)


Il y a des jours comme ça où je demanderais volontiers à une fille belle et intelligente (#), du genre Claudie Haigneré ou Elisabeth Badinter, de bien vouloir personnifier la Science rien que pour pouvoir lui appliquer un baiser florentin aussi fougueux qu’attentionné. Ah la Science, cette si délicieuse coquine.

Le 7 mai dernier, la revue Science publie une étude de l’Institut d’anthropologie Max Planck (Leipzig, Allemagne). Cette étude qui invalide d’autres recherches produites précédemment par le même institut affirme qu’il y aurait « quelque chose en nous de Neanderthalensis ». Entre 1 et 4% des gènes de l’homme actuel proviendraient de l’homme de Néandertal. Ce croisement se serait produit il y a 60 000 ans au Proche Orient, l’une des zones de peuplement du Néandertal (qui couvrait alors l’Europe et l’ouest de l’Asie), lors du « Out of Africa », la phase d’expansion et de sortie d’Afrique de nos ancêtres.

Mais ce n’est pas tout. Des études génétiques comparatives permettent de retrouver ces traces néandertaliennes chez tous les sapiens-sapiens modernes, exception faite des Africains. Et c’est là que la science se fait coquine.

Car d’un point de vue raciste, nous pouvons donc considérer que l’Africain reste à ce jour le seul sapiens-sapiens de race pure et que le reste de l’humanité n’est qu’un vaste ramassis de métèques et autre batakweks. Avec une mention toute particulière pour les dégénérés de « race aryenne ». Quand on sait que le nom d’homme de Néandertal provient des premières découvertes de cet hominidé en Allemagne, il y a en effet de quoi leur faire perdre pas mal de places dans la hiérarchie raciale.

Le plus drôle étant la découverte sur des sites d’extrême-droite de joyeux racistes pour se féliciter de cette trouvaille scientifique. Comme quoi ce métissage plus ou moins désiré (« le rapt des Sabines », une vieille coutume humaine) expliquerait sans aucun doute la si belle et si pure supériorité raciale des Eurasiens. Mortus ridendo ! Voilà nos racistes devenus des puristes du métissage. Sacré Homo stupidus !

Qui sait, peut-être les verrons-nous chanter sous peu ce couplet (voir ci-après) de l’immense chanteuse brésilienne qu’est Ivete Sangalo : « misturando o mundo inteiro, vamos ver o que è que dà », « mélangeons le monde entier pour voir ce que ça donne ».

Homo sapiens-sapiens-neanderthalenSIL

(#) Je trouve, en passant, qu’il manque à ce jour un classement FHM, Vanity Fair ou autre, du type « les 100 plus belles femmes intelligentes du monde ». C’est vrai ça ! Pourquoi postériser essentiellement du postérieur de gourdasse alors que des femmes belles et intelligentes, donc doublement magnétiques, ce n’est pas ça qui manque ?

vendredi 6 août 2010

Inception : recette d’une déception (dreams are my reality)


Prenez une bonne dose de « Dark City » (une œuvre sublime), rajoutez-y pas mal de « Matrix » (un film un peu con mais culte) et de « Cube » (ils auraient dû s’arrêter à l’excellent premier volet), une pincée de foutage de gueule à la « Lost », une théorie des rêves franchement tirée par les cheveux, et vous voilà avec un thriller onirique. Une sombre histoire de complot-subconscient dont le personnage central est interprété par une actrice française qui a cru, dans son inconscience, que les attentats du 11 septembre cachaient une opération sauvage de mise aux normes du World Trade Center. Autant vous dire qu’il y avait là beaucoup trop de déjà-vu et d’absurde pour me faire rêver.

Certes le résultat est joli. Cependant je ne vous cacherai pas que je me suis ennuyé pendant tout le film. Et je ne vous parle pas de la fin. Plus prévisible que ça, tu meurs.

Sérieux les petits gars, au lieu de faire dans le remix scénaristique agrémenté de théories fumeuses, il va falloir vous creuser la tête pour nous proposer de la réelle nouveauté. Je sais, on se fait difficiles. En même temps, vu le prix que l’on paye, on peut se permettre d’être exigeant.

Au passage, j’ai trouvé notre joli Di Caprio un tantinet bouffi, ce qui gâche un peu plus encore le spectacle. Vraiment décevant…

Cahiers du SILnéma

jeudi 5 août 2010

Incendies en Russie : aux grands maux, les grands remèdes (think different)


Nous venons d’apprendre de source sûre que le front des incendies en Russie est devenu complètement incontrôlable. Mais aussi que le Premier ministre russe a décidé, devant cette scandaleuse politique de la terre brûlée décrétée non pas par le gouvernement russe mais par une très insolente dame nature, de traiter le mal par le mal en bombardant les incendies avec des ogives nucléaires, soufflant ainsi le problème. Une tradition russe

L’ambassadeur iranien à Moscou a fait savoir de son côté que l’Iran exprimerait officiellement à la tribune des Nations Unies, sa réserve et son émotion. Le président Ahmadinejad estime en effet que « c’est du gâchis d’armes nucléaires ; et que l’on ferait mieux de lui livrer ces jolies petites bombinettes, qui entre ses mains ne manqueraient pas de servir une cause plus juste, sainte, belle, pure, arrrrgh, cramer du… atomiser du… arrrrrgh, mort aux… arrrrrrrgh ! »

Thierry MeysSIL

mercredi 4 août 2010

« I want to break free » : islam, combattrez vous l’esclave ou bien l’esclavage ?


Désolé de me montrer aussi péremptoire que définitif, mais aucun doute n’est permis. La connerie de gauche m’énerve tout autant que celle de droite et vice-versa. Et de grâce épargnez-moi le « on est tous le con de quelqu’un » ou vice-versa. Car le double drame est bien là. Non seulement on ne se sent pas forcément heureux lorsque l’on a raison mais pire que ça, on est souvent attristé de constater que trop peu de monde s’incline comme vous devant certaines évidences. Donc, en matière d’islam, je commence sérieusement à me lasser de toutes les niaiseries de gauche comme de droite qui monopolisent encore le débat.

Pour le crétin de droite, droit dans ses bottes, avec sa manie de racialiser toute question, tout ça est la faute exclusive des musulmans. Ce n’est pas l’idéologie islamique qui serait délétère, mais le musulman. Ben oui, c’est bien connu, comme partout, ce sont les fidèles qui composent les religions ou les dogmes et non le clergé. On peut même dire que le coran est une œuvre collective en perpétuelle composition soumise à vote populaire. Il existerait d’ailleurs un groupe facebook qui appelle à ce que le concept de « djihad » prenne un jour le sens de « batailles de polochons ». Portenawake !

Pour le neuneu de gauche, confit dans ses certitudes préconçues, avec sa manie de socialiser toute question, ni l’islam, ni aucun musulman n’est responsable de quoi que ce soit. Le musulman est un opprimé et sa religion un baume pour calmer les effets de l’oppression, de notre oppression qui pesait déjà, c’est certain, au 7e siècle, sur les frêles et délicates épaules du paraclet (consolateur) Mahomet. Et oui ! C’est là le plus comique. Tout occupé à fantasmer notre supposée oppression occidentale ou capitaliste, le neuneu de gauche en oublie une d’évidente, d’explicite, écrite et psalmodiée on ne peut plus clairement. L’islam. L’islam qui signifie soumission. L’islam qui signifie oppression. L’islam qui signifie esclavage.

Alors aux crétins de droite et aux neuneux de gauche, pour faire simple et clair, je leur poserai juste une question. Dans cette guerre qui nous oppose à l’idéologie islamique, que ferez-vous ? Combattrez-vous les esclaves en légitimant le système esclavagiste ou bien combattrez-vous cet esclavage ainsi que les esclavagistes afin que nos frères actuellement soumis puissent être libres un jour, libres de leur vie, de leur pensée, de leur spiritualité, etc ?

SILimalikoum

mardi 3 août 2010

Voile pas voile : tranche de vie dans les jardins du Château de Kafka (cherchez l’intrus)


Photo prise au Jardin anglais de Munich (Allemagne), publiée par le Magazine Blick le 22 juillet 2010

Et bien moi, plus ça va et plus je trouve nos enfoulardées, niqabées et autre emburqées, fort sympathiques. C’est qu’il y a quelque chose de rock ‘n’ roll, de punk, voire carrément « no future », dans cette façon qu’elles ont d’aller provoquer l’infidèle dans un jardin impudique, pendant que leur salafist-fuckers d’époux, allongés sur des serviettes un peu plus loin, ne manqueront pas de reluquer comme des gorets nos jolies cousines teutonnes en bikini.

Quoi que vu les tenues affichées par nos anges rebelles, je dirais plutôt que nous avons affaire à un mouvement gothique ou grunge. Du reste qui nous dit que leur voile ne dissimule pas des écouteurs reliés à un iPod diffusant à plein tubes du groupe Nirvana (Nirvallah), genre « rape me » ou « territorial pissings ».

À moins, à moins que tout ça ne soit de l’art de rue, du comique de situation, et l’islam une vaste pantalonnade, du non-sens à l’état brut, avec le coran et les hadiths (compilations de propos du prophète) pour recueils de blagues. Finalement, quel déconneur ce Mahomet. Oui, sacré Mahomet. Je propose d’ailleurs que nous levions nos petits verres de schnaps à sa santé. Allah tienne mon pote !

SILidim le Magnifique

lundi 2 août 2010

Voile pas voile : le voile facial, une forme d’éjac’ faci’halal


Une façon semblable de recouvrir le visage de la femme avec de l’acide phallocratique, non ? Réfléchissez-y deux minutes et vous verrez que j’ai raison…

« Allah a la plus grande » Rocco SILffredi

dimanche 1 août 2010

Private joke-box : un colossal « dei-te quase tudo »



Voici encore un classique incontournable de la chanson sentimentale portugaise, le « quase tudo », « presque tout », de Paulo Gonzo. Clip officiel visible ici. Traduction et adaptation pas bibi :

« Tu es entrée sans demander, pour apposer tes scellés. Tu as tatoué ma vie, au fer, au feu, et plus encore. Tu as souillé tous mes secrets, et j’ai laissé faire, sans réserve, ni pudeur. Tu as envahi mes sens. Ce que je n’aurais pas fait par amour. Puis tu as laissé ma vie à demi perdue, dans cette voie sans issue.

Je t’ai presque tout donné, mais presque tout était de trop. Je t’ai presque tout donné, remballe maintenant tous tes sceaux.

Pour toi, j’ai brisé toutes les lois, abandonné à ce goût-là. De la folie, je t’ai offert les doigts et les anneaux, et ce que j’avais de meilleur…

Je t’ai presque tout donné, mais presque tout était de trop. Je t’ai presque tout donné, lève maintenant tous tes scellés
. »

Version portugaise (paroles et musique : Paulo Gonzo)

« Foste entrando sem pedires,
e marcaste os teus sinais.
Tatuaste a minha vida, de
ferro e fogo e muito mais.
Vasculhaste os meus segredos,
e eu deixei,
sem reservas, nem pudor. Invadiste os meus sentidos.
O qu'eu não fiz por amor.
E deixaste a minha vida
meia perdida,
neste beco sem saída.


Dei-te quase tudo,
e quase tudo foi demais.
Dei-te quase tudo,
leva agora os teus sinais. 



Obrigaste-me a quebrar todas as leis,
e deixaste-me ao sabor. Da loucura,
dei-te os dedos e os anéis,
e o que tinha de melhor…

Dei-te quase tudo,
e quase tudo foi demais.
Dei-te quase tudo,
leva agora os teus sinais
. »