lundi 31 janvier 2011

Google, Twitter, Facebook : Nouvelles icones révolutionnaires (iRevolutions)


Viva la Révolutwitt ! Avec le sapiens 3.0, tout est numérisable, y compris les révolutions. Aussi, voici les nouvelles icones révolutionnaires que porteront désormais sur leurs tee-shirts, nos prostestwitters, esprits rebelles, et autre facebookmakers de la géopolitique.

SILgueiro Maia 3.0





dimanche 30 janvier 2011

Private joke-box : Egypte "Ah les crocodiles, sur les bords du Nil, partiront-ils, parlons en un peu"



La géopolitique expliquée aux tout petits (c’est toujours mieux que les histoires à dormir debout de tonton Pascal Boniface, non ?) :

« Ah ! les cro, cro, cro… les cro, cro, cro… les crocodiles…
sur les bords du Nil… partiront-ils… parlons en un peu. »

NaSILreddin Hodja

samedi 29 janvier 2011

L’avenir du printemps des peuples arabes joué à la roulette maure : rien ne va plus (tyrannie, théocratie ou démocratie)


Au Maghreb comme au Machrek, des populations ont décidé de jouer leur avenir à la roulette arabe. Beaucoup de cases tyrannie et théocratie ; une seule pour la démocratie. Pourvu que la maison des peuples rafle la mise.

Faites vos jeux... les jeux sont faits... rien ne va plus…

NaSILreddin Hodja

Tunisie : des hommes d’honneur et de justice ?


Espérons que le général Rachid Ammar (ci-dessous), en se portant « garant de la révolution » du peuple tunisien devienne ainsi le Fernando Salgueiro Maia de Tunisie, un homme d’honneur au service de la démocratie.

SILgueiro Maia

vendredi 28 janvier 2011

Georges Clemenceau et la liberté d’expression : « Le droit d'injurier les membres du gouvernement doit être mis hors de toute atteinte »


A l’heure où un Nicolas Bedos se fait tancer par la ministre Nathalie Kosciusko-Morizet, pour avoir commis un sketch où notre président était traité de « VRP cocaïne », et celle de la victoire d’un Stéphane Guillon devant le conseil des prud’hommes, en son temps remercié pour excès de caricature, rappelons les sages propos d’un Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, tenus à l’occasion du procès Charlie Hebdo versus islamistes&Co, à savoir « je préfère un excès de caricature à une absence de caricature », mais aussi ces paroles de Georges Clemenceau, Président du Conseil, prononcées en 1917, en pleine guerre mondiale, alors qu’il venait d’être attaqué férocement dans un article de presse: « Le droit d'injurier les membres du gouvernement doit être mis hors de toute atteinte ». Nous sommes bien d’accord.

ClemenSIL

jeudi 27 janvier 2011

Mariage homosexuel : oui aux mariages théosexuels et à tous les droits qui vont avec


Dieux que c’est beau la modernité, sniff, sniff ! Excusez-moi mais j’écris les yeux emplis de larmes. Ce n’est pas très pratique pour tapoter sur mon clavier, mais là c’est irrépressible. Cela m’arrive parfois. Par exemple lorsque je me dis « dieux que c’est beau la modernité, absolument toute la modernité, et plus particulièrement ces jolies petites fuites en avant égocentriques ou autres acquis sociétaux que nous accordent sans discuter nos si permissifs papa-Etats modernes ». Je parle par exemple du mariage homosexuel qui après avoir été accordé dernièrement aux Portugays vient de l’être tout récemment par l’Argentine, en attendant chez nous. J’en suis tout ému car je vais pouvoir faire progresser mes droits et plus globalement celui des hominidés dans et de mon genre. Je vais me gêner, tiens ! Après tout, il n’y a pas de raison que je cède encore une fois à ma dignité maladive, en ne réclamant pas mon dû, mon droit, ne serait-ce qu’au nom de l’égalité des droits. Allons-y. Taïaut ! Taïaut !

Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, je ne tape que dans la déesse. Non, non, il ne s’agit en rien d’une variété particulièrement délirante d’érotomanie mais bien d’un fait. Je ne sors qu’avec des déesses. C’est comme ça. Un peu de tolérance, je vous prie. Après tout chacun ses goûts, qu’ils soient naturels ou surnaturels. Et puis que voulez-vous, les déesses sont les seules à savoir me prendre, à pouvoir me comprendre, les seules à apprécier toute la complexité, subtilité, et puissance de mon essence. Mais je sens que je vous perds, que vous ne voulez pas entendre cela, voir cette aveuglante réalité en face, en vils réactionnaires théophilophobes que vous êtes. Dieux que c’est laid !

En tout cas, que vous soyez en mesure d’admettre un tel genre ou pas, le fait est que je vis depuis de nombreuses années une magnifique histoire d’amour avec la déesse Athéna. Une passion entrecoupée de coups de folie qui me poussent parfois à aller voir du côté des mortelles, mais qui ne m’empêchent pas pour autant d’affirmer qu’entre Athéna et moi, il s’agit bien là d’une affaire qui roule.

« Pourquoi de tels coups de folie quand on a la chance d’être aimé par la déesse de la sagesse ? » me demanderont les meilleurs d’entre vous. C’est pourtant simple, très chers simples mortels. L’impossibilité de voir notre union reconnue par la société, ainsi que celle concomitante de toute parentalité, crée une certaine instabilité dans notre couple.

Ce que les choses seraient bien plus simples et merveilleuses si nous pouvions nous marier en Mairie et adopter des petits Athéniens. La cérémonie serait magnifique. Mes amis théophiles verraient à quel point ma déesse est belle dans sa robe hellène tissée de ses propres mains. Ils pourraient assister à l’impensable, une déesse disant oui et jurant fidélité non pas devant les dieux mais devant les hommes. Énorme, non ? Quant aux invités les plus primitifs, incapables de percevoir cette divine présence, ils auraient droit à celle d’une magnifique statue taillée pour l’occasion. Sans compter que nos enfants adoptifs ou conçus par voie de mère porteuse, seraient élevés dans la sagesse, la raison, le goût des sciences et de l’art du self-défense, mais aussi de la spiritualité. Quelle atmosphère plus saine peut-on rêver pour des enfants ?

Aussi je demande aux pouvoirs publics d’adapter le code civil à cette très raisonnable supplique. C’est qu’il en va de la sauvegarde de notre civilisation. Mais si voyons !

Allez, je saurai me montrer grand prince. Je vous accorde six mois pour le faire, histoire que pour les prochaines panathénées, fêtes dédiées à ma déesse, je puisse convoler en justes noces. Et puis de vous à moi, Athéna m’a promis sa divine virginité si jamais j’accomplissais un tel exploit. Mais chut, cela reste entre nous. Allez dites oui bon sang !

SILruy

Pour des arguments un peu plus sérieux mais aussi réellement progressistes sur cette question homoparentale, prière de lire le précédent mais non moins excellent billet « pro-vie, putain les homos aussi ». Profitez-en, je suis encore un peu de gauche, alors c’est gratuit.



mercredi 26 janvier 2011

Harry Brown : là où l’état de droit se délite, la vendetta fait son lit



là où l’état de droit se délite,
la vendetta fait son lit
.

Maitre SILger

Nous savons bien que les moyens alloués à la justice y sont pour beaucoup dans la façon de gérer nos criminels.

Cependant, il ne faudra pas s’étonner un jour que des parents de victimes de multirécidivistes se fassent non seulement justice eux-mêmes mais demandent également des comptes aux juges responsables de cet état de fait.

Qui sait, verra-t-on peut-être même, malheureusement, des parents désespérés de douleur alpaguer des juges pour taper sur des criminels ou des criminels pour taper sur des juges…

A Voir : Laëtitia « Grosse colère » de la famille de la disparue de Pornic.

Addendum cinématographique : je n’ai pas encore vu le film « Harry Brown » mais des gens en qui j'ai toute confiance m’en ont dit le plus grand bien. Aussi, je vous le conseille... Voilà, voilà, ça c'est fait.

mardi 25 janvier 2011

Z-day : alors que la nuit tombe sur l’Egypte, les zombies de l’islam sortent (the muslimummies attack)


Soudain, un cri horrible réveilla la nuit. Tel l’appel du grand loup des enfers, retentissait un « allahouuuuuuuuuuuuu Akbar ».

S’en suivi une sorte de rumeur grandissante depuis laquelle on finit par distinguer une multitude de grommelants « moubarak-rak-rak, moubarak-rak-rak »…

Extraits de « l’appel de Cth’allahu » par SILovecraft

lundi 24 janvier 2011

Oui à la « marche pour la vie » mais en catholiquettes.


En bon petit gars ouvert aux vifs débats, aux ébats vivaces ainsi qu’aux dialogues approfondis et féconds, j’informe mes amis catholiques que je veux bien participer à la prochaine « marche pour la vie » si elle se fait en catho-liquettes

C’est plutôt honnête comme marché, non ?

De quoi augmenter, en plus, de façon considérable, le nombre de marcheurs, non ?

Moi, dès que je peux rendre service…

Saint SILpeace grand marcheur devant l'Eternel

Addendum : je précise que j’accepte de venir, y compris, si les catholiquettes ressemblent plutôt à celles visibles ci-dessous que ci-dessus. Je crois que plus ouvert et tolérant que ça, c’est difficilement concevable, n’est-ce pas ?






dimanche 23 janvier 2011

Marche pour la vie à Paris : Pro-vie danse… mort de rire.


Aucun souci, les soi-disant pro-vie peuvent exprimer leurs convictions, nourrir le débat, et défiler à loisir dans les rues de notre belle capitale car en plus de mon côté pro-choix d’expression, je partage l’avis du président Chirac au sujet des boulevards parisiens suffisamment larges pour permettre les manifestations en tout genre. Toutefois, qu’ils souffrent en retour le fait qu’une réaction proportionnelle au nombre de manifestants (deux fois plus que l'année dernière) soit tout aussi légitime.

Or moi, en bon réactionnaire libéral de gauche, je ne peux que réagir vivement à la vue de tous ces milliers de très estimables agités du ciboire et autre hydrocéphales bénis qui défilaient ce dimanche en scandant « défends la vie », « jamais plus l'avortement » et patati et patata. Une forme de réponse de la bergère aux bons bergers dans laquelle je leur expliquerai ma façon de voir leur conception de la vie, le tout muni d’une mâchoire d’âne.

Soutenus par une demi-douzaine d’évêques, accompagnés d’une escouade de curetons, des phalangettes de fafounets habituels, a donc eu lieu ce dimanche 23 janvier 2011, la manifestation annuelle anti-avortement dite « marche pour la vie ».

Un spectacle amusant car de vous à moi, je trouve que les « pro-vie » sont en général des gens aussi mignons que drôles. Des gens que j’adore. Voyez-vous, les « pro-vie » sont pour la vie mais en même temps, très majoritairement, pour la peine de mort. S’il leur importe tant de sauver d’inconscients fœtus innocents, il leur importe peu que de conscientes vies innocentes puissent être supprimées à cause d'erreurs judiciaires. Les « pro-vie », des gens mortels.

Mortels y compris pour l’éternité. Car comme il y a chez nous des évêques pour soutenir les anti-avortement, il y avait des évêques au Portugal, pendant la campagne référendaire 2007 sur le droit à l’avortement, pour menacer d’excommunication mais aussi des enfers, tout fidèle qui serait suspecté d’avoir voté oui. « Pro-vie », c’est un ordre !

Un argumentaire sensiblement analogue qui a été utilisé par le curé du village de mes Portugais de parents. Un argumentaire qui a fait mouche puisque les pécores du coin ont voté massivement en faveur des conceptions pro-vie de leur curé et donc contre le droit à l’avortement. C’est qu’il aime la vie leur curé. Trop belle, même, sa pro-vie.

Comme le dit mon père « chez nous les curetons débarquent célibataires en bicyclette et repartent polygames en BMW ». Que voulez-vous, le marché captifs de l’après-vie, ça rapporte suffisamment pour en mener une très belle ici. La providence veille à tout et comme le dirait l’autre, il n’y a pas de petits pro-fits.

Cela étant dit, histoire de contrarier un peu les propos anticléricaux de mon paternel, si sa voiture et sa maison dans une station balnéaire un peu plus loin, sont effectivement très jolies, prouvant ainsi sa capacité à gérer sa pro-vie matérielle, le curé du village de mes parents a un peu de mal avec sa pro-vie affective. Que voulez-vous, ce sont-là les incertitudes de la pro-vie.

Il paraîtrait qu’il y a quelque temps, sa régulière, chez qui ne semble plus couler la pro-vie avec la même intensité qu’avant, informée qu’une concurrente beaucoup plus jeune aurait été introduite dans le saint des saints, serait tombée sur celle-ci, dans le lieu de pro-villégiature de notre bon curé, qui plein de vie et de sève s’apprêtait à partager son corps, son sang et sa foi en l’amour avec sa jeune ouaille-aïe-aïe. N’osant pas cogner son infidèle curé, la vieille bonne mis tout de même les points sur les i de la jeune victuaille-aïe-aïe du cureton. Et oui, tout se sait dans les villages et la pro-vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille.

Des scrupules que n’eut pas mon grand-père maternel puisque ce genre de pratiques ne date pas d’aujourd’hui. Figurez-vous que le curé d’alors était très pro-vies lui aussi, de préférence très, très jeunes. C’est ainsi qu’il demanda à ma tante, pendant sa confesse, et qui n’était alors qu’une enfant, qu’étant donné l’étendu de ses péchés, il serait bon qu’elle vienne en confession privée, chez lui, afin de travailler à assurer sa pro-vie éternelle. Manque de bol, ma tante demanda la permission de s’y rendre à son père, qui comprenant que de pro-vie à pro-vice, un tout petit pas sépare, s’en alla expliquer à ce « mon Père » que sa vie terrestre s’arrêterait net le jour où il toucherait ne serait-ce qu’un seul cheveu de sa fille. Tabernacle ! Inquiet sans doute bien plus pour celle-ci que pour l’autre, notre bon curé cessa sa politique pro-vie pourrie.

Vous me direz que le village de mes parents n’a vraiment pas de chance avec ses officiants pro-vie, cependant toujours au rayon pro-vie de merde qui déborde souvent chez ces gens-là, il y eut aussi le curé qui refusa de baptiser les nourrissons de la cousine de mon père qui étaient sur le point de mourir. Mon père choisi pour parrain en toute urgence, supplia le cureton d’abréger sa cérémonie payante en mémoire d’un quelconque défunt afin qu’il puisse donner le premier et le dernier sacrement aux petits jumeaux qui allaient bientôt mourir. Rien n’y fit. Sous prétexte que ces enfants avaient été conçus hors mariage, priorité était donnée aux morts « en bons catholiques » et non à ceux qui allaient décéder en « fruits du péché ». Ben, oui, chez ces salopards on est pro-vie mais dans les règles. Pro-vie infernale, oui !

C’est important les règles, toutes les règles. Saviez-vous que ces pharisiens ont tellement d’influence dans le très catholique Portugal, que dans biens des hôpitaux, y compris dans les grandes villes, on ne propose toujours pas de péridurale aux femmes qui vont accoucher et ce au nom du sacro-saint « tu enfanteras dans la douleur ». Alors l’avortement, vous n’y pensez pas ma petite dame. Une pro-vie de souffrances ça fait des clients.

Enfin, les règles, l’excommunication, l’enfer, c’est surtout bon pour les autres. Les petites bonnes des curés se font avorter en Espagne. Quant à ceux qui violent des enfants, ils expieront par la prière au nom de conceptions pro-vie qui m’échappent totalement. Une pro-vie de divines injustices qui ne pousse pas toutes ces bonnes âmes à défiler dans la rue.

Je sais ce que vous allez me dire. Que ces anecdotes n’ont rien à voir avec le mouvement pro-vie. Peut-être mes amis. Sans doute même. Par contre, en bon Saint-Thomas, pour avoir vu et appris ce qu’ont donné au pouvoir ce genre d’idées au Portugal, en Espagne ou ailleurs, vous comprendrez que je ne veux pas que mon Pays à moi ressemble de près ou de loin à celui que mes parents ont dû quitter. Un pays très catholique où je vois encore trop de vies non pas sur les chemins de la libération mais soumises à l’ignorance, la souffrance, le fatalisme ou le fanatisme ; des vies soumises à tous les dogmes qui sous-tendent vos mouvements pro-vie de merde…

Aussi sans être dans cet extrême inverse faisant de l’avortement un acte « anodin », une forme de contraception irresponsable, vous comprendrez que je vous taperai systématiquement sur la calotte pour que mes filles et mes garçons puissent continuer à exercer ce droit sur leur vies et par conséquent continuer d’exercer aussi leur droit et leur devoir de donner la vie en conscience et en amour.

SIL bon vivant.

samedi 22 janvier 2011

Maghreb, Machrek : comment aider la démocratie et les démocrates ?


Jeudi soir, chez dame Chabot, j’entendais ces deux astres de la diplomatie à la française, que sont Hubert Védrine et Dominique de Villepin, se demander ce qu’il faudrait faire pour aider le processus de démocratisation au Maghreb, sans verser dans un bavardage oiseux aussi égocentrique qu’autosatisfait ou bien dans la distribution de leçons aussi paternalistes qu’ingérentes.

C’est pourtant élémentaire mes chers Watson. Et si au lieu de jouer les directeurs vous endossiez enfin le rôle de serviteurs. « Comment ça ? » Il faut vraiment tout vous dire, ma parole.

Il est tout à fait vrai que l’on se contrefiche de vos petits laïus. Aussi, lâchez les microphones et donnez donc la parole aux libéraux et aux démocrates du Maghreb. Tendez-leur nos porte-voix médiatiques, politiques et culturels. Mettez-vous, ainsi que vos relations, à leur service. Ça vous changera, ça nous changera et ça changera surtout pas mal de choses.

En effet, puisque l’on ne peut pas compter sur les pouvoirs en place au Maghreb et au Machrek pour faire émerger peu à peu la seule forme d’opposition susceptible d’offrir un futur à leurs pays, jouons enfin ce rôle, au lieu d’accueillir et d’ouvrir nos tribunes aux sempiternelles pourritures d’extrême-gauche ou d’extrême-droite panarabe et islamique.

C’est que les libéraux, refugiés chez nous ou qui œuvrent là-bas, sont les seuls à pouvoir offrir un avenir à ces pays. Mais si, voyons !

Ce sont les seuls en mesure de comprendre qu’une alliance est possible
avec la royauté marocaine, principale source de stabilité du pays. « La présence d'un roi est le meilleur moyen d’éviter l’installation d’un tyran », comme le reconnaissent les libéraux anglais en parlant de leur propre monarque.

Les seuls à pouvoir offrir en Algérie un avenir apaisé aux différentes composantes ethniques, linguistiques et religieuses, de ce pays. Les seuls à pouvoir continuer la libéralisation politique, économique, religieuse et sociétale en Tunisie.

Par conséquent au boulot. Au lieu de parler à leur place, tendez-leur les micros. Les libéraux et démocrates maghrébins ne demandent qu’à parler et à être entendus. En tout cas, je veux les entendre et je ne suis pas le seul…

SILibéral

jeudi 20 janvier 2011

Un jeudi très Candide


Selon Voltaire, il convient de cultiver son jardin.

C’est ce que j’ai fait aujourd’hui, dans mon lit.
j’ai cultivé ma flore intestinale et arraché des bactéries.

Saloperie de Rotavirus…


ColibaSIL

mercredi 19 janvier 2011

Tunisie : mieux que la révolution du jasmin, la révolution en bikini


Dans la perspective du retour au pays de ce très gentil Khomeini tunisien qu'est Rached Ghannouchi, des Tunisiennes ont décidé d’ouvrir un groupe facebook dans le dessein de l’accueillir à l’aéroport comme il se doit : Toutes Les Tunisiennes En Bikini Pour Accueillir Ghannouchi À L’aéroport.

Vive la Tunisie ! Vive les Tunisiennes !

SILidim le Magnifique

mardi 18 janvier 2011

Printemps tunisien : « La révolution du jasmin » sent bien plus le sapin que les œillets (pourvu que je me plante)


Ce n’est pas que je sois mécontent de voir une dictature tomber. Bien au contraire. Vive les Tunisiens ! De même ce n’est pas que je rechigne à partager la joie du peuple tunisien mais voilà, l’espoir et la liesse ne parviennent pas à me faire oublier les réalités suivantes.

Le renversement du régime Ben Ali n’est pas le fait d’une armée qui aurait juré fidélité au Peuple et à la démocratie, comme cela s’est produit avec la révolution portugaise, dite « des œillets », en 1974. Aussi nous ne savons pas, dans quel camp elle basculera, où si elle ne jouera pas la carte de ses propres intérêts comme en Algérie. Si encore, elle pouvait offrir aux Tunisiens, comme ce fut le cas au Portugal, pendant une dizaine d’années, un facteur de stabilité et de démocratisation, ce ne serait pas trop mal, mais est-ce seulement possible ?

Les caciques du gouvernement d’union nationale qui s’apprêtent à prendre en main la révolution du jasmin, ont bien plus des têtes d’embaumeurs que d’accoucheurs de la démocratie.

Mais surtout, il n’est pas dit, mais alors pas dit du tout que l’installation d’une démocratie en Tunisie plaise à ses voisins. Certes, l’installation d’un état barbu ne serait sans doute pas vu d’un meilleur œil, cependant que ce soit ces fiottes de Tunisiens qui aient fait la révolution les premiers, n’en demeure pas moins inacceptable. Quant à sa poursuite et réussite, vous n’y songez pas, tout de même ?

Plus sérieusement, voyez-vous les régimes d’Alger ou de Tripoli laisser Tunis devenir le phare démocratique et progressiste de la région. Ils feront tout, c’est certain, pour participer au sabotage de la nouvelle Carthage. Et quand bien même, celle-ci deviendrait une réalité, que des difficultés viendraient avec. Le délicieux cocktail développement + démocratie ne manquerait pas d’attirer des foules de migrants de tous les pays environnants, ce qui ferait tanguer cette jeune démocratie. Par conséquent, soit la démocratie s’installe simultanément tout autour de la Tunisie, soit elle ne s’installera pas du tout. Désolé !

En outre la situation régionale se caractérise actuellement, bien plus, par de forts avis de tempêtes, que par le calme. Le Liban connaît un regain de tensions avec les récentes manœuvres du Hezbollah ; le feu islamiste ne baisse pas sous la cocotte égyptienne ; la partition du Soudan se précise en même temps qu’elle ne se fera pas dans la joie et la bonne humeur (le nord du Soudan arabo-islamique a beaucoup trop à perdre).

Ce feu tunisien, point de fixation des semaines à venir, est une trop bonne occasion pour que nos barbus ne la laissent passer. Avec des départs de feu plus ou moins simultanés ici (Liban) et là (Egypte), la communauté internationale sera débordée. De toute façon, on imagine mal cette même communauté se porter garant du processus démocratique tunisien, dépêchant ce qu’il faut de casques bleus pour protéger la population et le pays. L’ingérence, ce n’est bon que pour l’Afrique noire, pas pour l’Afrique blanche, encore moins si elle fait partie du monde islamique.

En définitive, le printemps du peuple tunisien risque de connaître, du fait de températures particulièrement douces, une germination beaucoup trop précoce du jasmin pour que ses jeunes pousses puissent résister à des giboulées de mars qui s’annoncent particulièrement sévères.

Cela étant, j’espère, très sincèrement, me planter en beauté, ne serait-ce que pour pouvoir assister, de nouveau, au merveilleux spectacle d’un désert en fleurs. Vive la Tunisie ! Vive les Tunisiennes !

SILgueiro Maia, porteur d’œillets et non d’œillères

vendredi 14 janvier 2011

Petit oxymore facétieux pour fêter le nouvel an berbère (bonne libération à tous)


Alors que j’échangeais avec des cousins kabyles les « Assaggwas amaggaz » (Bonne année) d’usage pour cette 2961e année du calendrier berbère, une idée venue d’on ne sait où, m’a traversé l’esprit.

« Bon sang, mais c’est bien sûr », me suis-je dit.

Si le terme « Amazigh », que les Berbères emploient pour se désigner eux-mêmes, signifie « homme libre », y accoler alors le qualificatif de « musulman », qui signifie « soumis», n’est-ce pas là fabriquer un oxymore ? C'est que « musulman » est l'antonyme parfait de « amazigh ».

MasSILnissa

jeudi 13 janvier 2011

Kevin-Olivier : « ce que je ne peux pas avoir, les autres ne l’auront pas non plus, na ! »


Ah, ce que je peux aimer ces moments où les Kévins d’extrême-drauche, me déposent un petit commentaire, sur les coups de 10 heures, celle de leur récréation, m’invitant à me pencher sur mes propres contradictions.

A l’évidence, Kevin-Olivier n’a pas aimé que je rappelle tout récemment le fait que la plupart de ses camarades et cadres de parti ne sont que des révolutionnaires à deux balles qui appellent à détruire la démocratie libérale-bourgeoise depuis leurs petits fauteuils installés contre les radiateurs de la fonction publique d’un Etat libéral-bourgeois ou bien ceux d’un monde associatif subventionné par ce même genre d’Etat.

S’étranglant de colère, il me rétorque « que fais-tu de ces universitaires, chantres du libéralisme et du capitalisme, qui ne prennent pas trop de risques depuis leurs chaires et qui ne s’illustrent pas vraiment par des réussites entrepreneuriales ou financières ? »

Ce que j’en fais, et bien je m’en sers pour démontrer, encore une fois (j’adore ça), à quel point vous autres, petits Kévins d’extrême-drauche, pouvez être aussi cons que puérils.

Alors comme ça, un intellectuel, choisirait de défendre et de promouvoir les démocraties libérales au sein de l’une des nos universités, en ayant l’honnêteté de reconnaître qu’il n’est pas fait pour les affaires, mais aussi la maturité nécessaire pour appeler à ne pas ponctionner d’une façon confiscatoire le fruit des effort des esprits moteurs de nos économies, et ce serait faire preuve d’incohérence. En voilà une idée saugrenue ?

Quoi qu’au fond, non ! Tout bien considéré, Il n’y a rien d’étonnant à ce que ces petites boules de pus confites dans leur bile, manifestent encore et toujours leur refus de voir les autres vivre différemment d’eux, réussir autrement qu’eux, s’enrichir plus que ceux-ci en récoltant le fruit de leurs prises de risques, avoir ce qu’ils ne se sont pas donnés la peine de vouloir.

Et oui, petit Kévin-Olivier, un libéral n’est pas comme toi, un vulgaire trou du cul totalitaire dilaté à l’extrême par le fruit pourri de ses digestions idéologique, qui rêve d’un monde à sa seule image. Un libéral n’est pas foncièrement jaloux, aigri, puéril. A l’instar de Boris Vian, ce qui l’intéresse n’est pas l’illusoire bonheur de tous les hommes mais celui de chacun. Un libéral accepte et se réjouit de la diversité d’ambitions, d’intérêts, de forme de réussite, dans un cadre collectif où la cohésion demeure assurée par l’état de droit. Un libéral accepte et milite en faveur de tout cela…

SILibéral

mercredi 12 janvier 2011

Présidentielle 2012 : and the winner is… « mon Nic à moi, il me parle d’aventure »



« Il va y avoir du sport mais moi je reste tranquille » sera la bande originale de la campagne présidentielle 2012, car du sport, je peux vous jurer qu’il y en aura. Les coups vont pleuvoir de toutes parts et il faudra une forme olympique pour affronter une campagne qui s’annonce homérique. Après tout, cela correspond bien à l’air du temps. Les nuages s’amoncellent. Il neige. Il vente. Il grêle. Les temps sont durs. Par conséquent il nous faudra un président ou une présidente qui paraîtra à la hauteur des défis, tout en demeurant suffisamment tranquille pour ne pas nous faire flipper. Ce même côté sportif et tranquille qui me pousse à parier d’ores et déjà sur le prochain vainqueur.

Que voulez-vous, en matière politique je suis un incurable turfiste (assez bon d’ailleurs : voir Sarkozy 2007, Obama 2009, Fillon 2010) qui ne résiste jamais à l’envie de miser sur une course polhippique. Or là, sur celle de 2012, j’ai tout misé sur notre Nicolas national, ce qui me permettra de vérifier par la même occasion si celui dont parle Nostradamus (moi) flirte bien mieux avec les astres que cette starlette de l’astrologie qu’est Elisabeth Tessier. Celle-ci donne vainqueur mon bon DSK qui d’après bibi ne passera, malheureusement, même pas les pools de qualification.

Comme je le disais en introduction, la campagne se jouera sur des problématiques de couilles et d’ovaires. Or ce n’est pas tant que notre brave Dominique ne soit pas majestueusement membré, mais malheureusement, ce qui se trouve à la base du mat semble quelque peu vermoulu pour ne pas dire éventré. Ah cette manie de toujours tout donner. Ne dit-on pas « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise ».

Plus sérieusement, les appétits sont à ce point exacerbés à gauche qu’il se fera croquer de toutes parts. Alors que son courant demeure tout aussi faiblement minoritaire qu’en 2007, Dominique Strauss-Khan sera diabolisé bien plus encore qu’en 2007 par l’aile gauche du parti socialiste, mais aussi par les quadras de l’aile droite qui chercheront à s’en démarquer dans la perspective d’après 2012, sans oublier les mammouths du PS qui ne lui feront pas de cadeaux. Son meilleur espoir serait des primaires ouvertes où les sympathisants de gauche viendraient voter en masse pour lui mais c’est oublier l’usine à gaz que seront ces primaires socialistes, les difficultés d’organisation, sans compter que les belles intentions des sympathisants ne se traduiront pas en actes concrets. Comme d’habitude, dans ce pays, ils auront mieux à faire ou à glander le jour venu. Et quand bien même, il passerait les primaires, il lui faudrait alors produire des efforts titanesques pour corriger ses travers. Tout en jouant les big boss d’un FMI qui a sauvé le monde de la crise financière (en espérant toutefois que la reprise soit là fin 2011), il faudrait qu’il accepte d’avoir l’air moins prof, qu’il joue de son passé de maire de Sarcelles pour faire plus populaire, et qu’il utilise ses histoires de cul pour se rendre plus sympathique aux yeux de Gaulois si friands de ce genre de grivoiseries. En est-il capable ? En a-t-il l’envie ? J’en doute.

Ceux qui par contre démontrent envie et capacités, sont les membres de l’ex-couple Royal-Hollande. Ségolène semble avoir pris de la bouteille depuis 2007, tout en ayant gardé une ambition intacte voire même plus dévorante encore. La voilà qui joue déjà des coudes à droite comme à gauche, qui se présente comme l’héritière de François Mitterrand. L’échappée s’annonce belle. Mais voilà, plus ça va, plus elle devient irritante et insupportable. Son autoritarisme et son égotisme transpirent à grosses goûtes. On sent même que ces élections sont pour elle bien plus une forme de thérapie, de revanche personnelle, qu’un désir de servir notre pays. Un autre qui, sans le dire, se présente comme Mitterrand, n’est autre que son François d’ex-mari. J’ai en effet remarqué que François Hollande imitait depuis quelques temps certains gestes, poses, intonations de mon Mitterrand adoré, ce qui jure avec la bonhomie de ce personnage, certes intelligent et que je tiens en grande estime, quelque peu périmé, historiquement comme politiquement parlant.

Au fond, la seule chance à gauche s’appelle Martine Aubry. « Pourquoi pas Mélenchon ? » Parce que Mélenchon est un guignol autoritaire doublé d’un bouffon populiste qui, de billevesée en sottise, se tire balle sur balle dans les trottignolles. Non, Martine, que je n’apprécie pas pour autant, loin de là même, semble plus apte. Plus intelligente, plus compétente, dotée d’un caractère certain, elle ne manquerait pas de donner du fil à retordre à Nicolas Sarkozy. Mais voilà, on sent que son énergie n’est pas une constante, qu’il y a quelque chose de cyclothymique chez elle, ce qui donne à ses affirmations de caractère des allures de sautes d’humeurs, mais aussi quelque chose de déprimant à son enthousiasme. Mais surtout, à la différence de Nicolas Sarkozy, ça se sent et ça se voit qu’elle ne croit pas à ses promesses. Sans oublier qu’il n’y a rien de tranquille ou de funky chez Martine Aubry.

Au centre, les prétendants ne manqueront pas non plus, mais là aussi, là surtout, les couilles paraîtront bien molles et les ovaires particulièrement stériles. Le centre donnera la pleine mesure de sa vacuité. « Paroles, paroles, paroles », comme le chantait Dalida. Paroles mais aussi pipeau et cornemuse.

Pour mon bon François Bayrou, que j’aime, ce ne seront que belles paroles et puis c’est tout. Pour le Borloo que je n’aime pas, ce sera le pipeau dont on coupera très vite le sifflet lorsque l’on se demandera de quel droit cet ancien avocat d’affaires, qui s’est enrichi avec son ami Bernard Tapie en dépeçant des entreprises, se donne des grands airs d’éminence sociale. La cornemuse sera pour notre brave Villepin. Normal pour cette grande baudruche. Il fera avec celle-ci moult tapage, faisant même illusion pendant un temps. Le temps nécessaire pour que le candidat Sarkozy apprenne la méthode que les Galiciens emploient pour couvrir le vacarme d’une gaita (nom que l’on donne à la cornemuse dans ma Galice) : envoyer une troupe de tamboureurs battre le tambour tout autour du gaiteiro (joueur de cornemuse) jusqu’à ce que le biniou se soit dégonflé.

« Que fais-je de l’extrême droite ? » me demanderez-vous. Sans la sous-estimer, j’en rigole. Oh, elle fera comme d’habitude son petit numéro qui trouvera au début pas mal de clients. Mais voilà, les harangues de la poissonnière de Saint-Cloud auront beau attirer le chaland, celles-ci ne cacheront pas l’odeur de la marchandise frontiste. Leur poiscaille politique pue encore et toujours. Et puis la murène, c’est immangeable. Sans compter que la voix de baryton de notre murène nationale, oups, de la Marine, ne couvrira pas bien longtemps son incompétence et sa nullité. Je crois même qu’elle va passer toute la campagne à répondre aux nombreux procès en incompétence crasse et en nullité absolue. On va rire.

Non, même si ce ne sera pas facile, sauf événement imprévisible, je donne Sarkozy vainqueur par K.O. Au-delà de son énergie et de son volontarisme, malgré ses mensonges, exagérations, et des défauts de tranquillité sur lesquels il continuera de travailler, c’est le seul qui croit suffisamment à ses promesses pour réussir à les vendre au plus grand nombre. Son talent né de commercial est incontestable. Ce gars-là vendrait une Rolex à un RMIste. Or ça, ça change tout.

En fait, histoire de conclure en musique, notre Nico National me fait penser à une chanson de Patricia Kaas, « mon mec à moi » : « Mon Nic à moi, il me parle d’aventure, et quand il brille dans ses yeux, je pourrais y passer la nuit, il parle politique comme il parle des voitures, et… » Rendez-vous dans un an et demi, oh oui !

SILmaril

mardi 11 janvier 2011

La citation du jour : « le politique respecte l'ensemble des religions » par Alain Juppé


Alain Juppé a tout à fait raison de dire, sur l’antenne de Sud-Radio, que « la laïcité doit être une des valeurs clés de la campagne pour la présidentielle de 2012 (…) elle doit l'être, et je ferai tout pour qu'elle le soit parce que c'est vraiment le pilier de nos valeurs républicaines ».

Il fait très bien également de rappeler que la « laïcité, cela veut dire que le politique a la primauté sur le religieux (…) ce n'est pas la religion qui gouverne ».

Là où je ne le suis plus tout à fait c’est lorsqu’il tient à contrebalancer son propos par un « (mais) bien entendu, le politique respecte l'ensemble des religions ».

Qu’un conservateur le pense ou qu’un politique de quelque bord que ce soit préfère y réfléchir à deux fois avant de s’attaquer au domaine religieux pour éviter de générer des fractures dans nos sociétés, soit. Qu’il préfère laisser aux intellectuels cette tache aussi délicate qu’ardue, je le conçois aussi.

Je rappellerai cependant que les exemples ne manquent pas de politiques ayant bouffé de la religion et son clergé. Cela correspondait même à une certaine tradition républicaine et surtout de Gauche, avant que la plupart des représentants de ces traditions ne rejoignent le vaste club des nouveaux dévots islamophiles.

Mais, surtout trêve d’hypocrisie. Chez nous, même le politique le plus favorable à une « laïcité positive » ou plutôt poussive ne « respecte pas l’ensemble des religions ». Je n’en connais pas qui témoigne un quelconque respect pour les différentes sectes évangéliques, mais aussi pour la scientologie, le mouvement raëlien, le aumisme, ou encore le Satanisme, toutes moins délétères à ce jour que la secte islamique. Force est plutôt de constater que le pouvoir politique s’attaque même à certaines d’entre elles.

Aussi, pour quelle raison, les sectes qui ont réussi seraient-elles les seules à bénéficier d’un quelconque respect, y compris lorsqu’elles se montrent aussi irrespectueuses que peu respectables. N’est-ce pas là une façon de favoriser les visées monopolistiques de dogmes ayant pignon sur rue et d’empêcher cette concurrence libre et non faussée qui a toujours bien plu au libéral-spirituel que je suis.

Plus sérieusement, quel que soit son avis sur les religions, la principale chose que doit respecter le domaine politique, ainsi que tout politique attaché aux libertés, c’est la liberté de culte, le droit des croyants à croire et à se doter de lieux de culte avec les seuls moyens de la communauté religieuse en question.

L’autre obligation du politique est de veiller à ce que ces sectes, grandes ou petites, ne commettent rien d’illégal. Par exemple, si dans sa grande mansuétude, l’homme politique ne fait pas retirer de la vente ce livre infâme qu’est le coran, pour la bonne raison qu’il ne s’agit après tout que d’une vulgaire œuvre de fiction, il doit cependant veiller à ce que pas mal de passages haineux, morbides et suprémacistes ne soient pas présentés et déclamés par les officiants de l’islam comme des enseignements à suivre.

Le reste fait partie du débat d’idées qui doit demeurer plein et entier.

ClemenSIL

dimanche 9 janvier 2011

Private joke-box : L’année 2+0+1+1+tous ceux qui le veulent, un peu de tendresse dans ce monde de brutes à barbe épaisse



« Je veux te voir des étoiles dans les yeux
Je veux nous voir insoumis et heureux
»

Grégoire est le premier artiste produit par le grand public en France, à travers le site internet My Major Company.

samedi 8 janvier 2011

Benoît Hamon et ces bonnes âmes qui confondent encore et toujours les musulmans avec islam (prêchi-prêcha gauchiste)



Ce très saint inquisiteur du socialisme qu’est Benoît Hamon, si naturellement prompt à vouloir remettre sur « le droit chemin » ses petits camarades suspectés d’hérésie, mais aussi tous les pauvres pécheurs que nous sommes, nous somme de ne pas stigmatiser l’islam au motif que « des centaines de milliers de nos compatriotes pratiquent cette religion sereinement, tranquillement », concluant très benoîtement sur un « il y a beaucoup de confusion dans les esprits » (« Le 19H », BFM TV, 5 janvier 2011). Tu l’as dit bouffi !

En gros, un coup il détermine qui est un bon socialiste en fonction de la fidélité de chacun au dogme socialiste actuellement en vigueur, celui d’après il détermine le dogme islamique en fonction du comportement d’un certain nombre de musulmans. Confusion, n’est-ce pas ?

Plus sérieusement, qu’il soit dans son rôle politique, de travailler au comblement du fossé qui se creuse entre les populations de ce pays grâce, pour partie, aux rêveries internationalistes et autre romantismes multiculturels propres à sa famille politique, soit ! Mais qu’il raconte n’importe quoi, non ! Qu’il réfléchisse et trouve d’autres moyens de combler ce fossé. Car avancer de tels propos, c’est aussi con que de dire « il ne faut pas stigmatiser le fascisme (le communisme, le racisme, etc) au motif que nombreux sont les fascistes (etc) qui pratiquent le fascisme (etc) très sereinement », ou encore « il ne faut pas stigmatiser le socialisme vu qu’il y a en son sein un certain nombre de Manuel Valls qui en pratiquent une forme ouverte, tranquille, modérée …»

De plus, que je sache, dans notre beau pays, on n’a jamais hésité à stigmatiser les idéologies d’inspiration pseudo divines, telles que le christianisme, le judaïsme, la scientologie… mais aussi celles plus modestement humaines que sont le capitalisme, le libéralisme, le socialisme, le fascisme, et j’en passe, dans l’espoir de convaincre les tenants, partisans ou sympathisants de ces idéologies de s’en détacher. C’est même, me semble-t-il, un sport national. Alors pourquoi en irait-il autrement avec l’islam, si ce n’est par une sorte de populisme suburbain, de peur, de condescendance ou tout autre scrupule mal placé ?

Mais surtout, histoire de revenir à ce très énervant amalgame entre islam et musulmans qu’il nous sert ici, il serait bon d’arrêter de définir le dogme islamique au travers des pratiques plus ou moins cultuelles, culturelles, proches ou éloignées, de ce que l’on désigne par cette réalité humaine aussi complexe que vaste.

Personnellement, tout comme pas mal de membres de la chrétienté, j’appartiens à ce groupe humain par ma naissance dans une famille chrétienne, par mon baptême, ma culture, mes pratiques culturelles (cérémonies, fêtes…). Est-ce pour autant que j’appartiens au christianisme, ou que ma pratique extrêmement distante et quasiment nulle saurait définir le christianisme ? Sûrement pas ! Ce en quoi le clergé sera d’accord avec moi. De toute façon, il en va de même pour pas mal de chrétiens qui se disent pratiquants. Le nombre de ceux que je vois, à l’instar de leur messie, pardonner « 7 fois 77 fois » ou « tendre la joue droite quand on leur gifle la joue gauche », est extrêmement faible.

Alors pourquoi en irait-il autrement des musulmans qui, pas plus que vous et moi, ont choisi de naître en terre d’islam ou dans des familles musulmanes ? Pourquoi voulez-vous qu’ils soient majoritairement voués à imiter ce terrorisme et ces autres perversions chères à leur prophète Mahomet ? C’est qu’ils sont tout aussi doués de raison que n’importe quel chrétien. Ils savent même faire, comme vous et moi, la part des choses, du passé et du présent, du religieux et du culturel, du spirituel et du bassement matériel. Ils savent, eux aussi, pratiquer tout ça, de loin, s’attachant à ce qui leur paraît essentiel, la communion, la foi. Par conséquent, on peut appartenir à l’Islam (monde musulman) sans appartenir à l’islam (la religion). Le nier ou ne pas s’en rendre compte me paraît pour le moins étonnant.

Cela étant dit, dans sa prière, frère Benoît n’est pas loin de la lumière car si bon nombre de musulmans pratiquent cette religion tranquillement, c’est aussi grâce au regard critique et aux réflexions qu’ils portent sur cette religion. De quoi encourager la critique et « la stigmatisation de l’islam », histoire qu’ils puissent continuer de la pratiquer ainsi. Après tout, c’est comme ça que nous avons fait au sein de la chrétienté. Bien plus qu’à la Réforme protestante c’est grâce aux violents coups de boutoir que les Voltaire et autres esprits laïques ont portés contre le christianisme, que la chrétienté n’est plus vraiment synonyme de christianisme mais de Liberté.

SILidim le Magnifique

vendredi 7 janvier 2011

Exemple de titre dans la presse soumise : «Une sorte de paranoïa se développe chez les coptes mais elle est de plus en plus justifiée»


Dans la série : Quand Soumission, oups, Libération (soupir) enquête ça donne ça

Ces gens de chez Soumission, pardon, Libération (gros soupir) sont vraiment formidables. Voici qu’ils rencontrent une spécialiste des coptes, Laure Guirguis, qui explique des choses plutôt sensées et équilibrées, et la principale chose qu’ils retiennent afin d’en faire un titre c’est la phrase la moins adroite de l’interview (à lire ci-après). « Une sorte de paranoïa se développe chez les coptes mais elle est de plus en plus justifiée », est en effet une formulation un peu gauche. Un peu comme si paranoïa il y avait, mais que celle-ci serait acceptable à l’aune des événements récents. « Paranoïa », c’est cela même, oui !

Voici, une population autochtone, descendante directe des Egyptiens d’avant la conquête arabo-islamique, qui passe en 14 siècles de 100% à 10% de la population totale, après une arabisation et une islamisation à coups de persécutions sympathiques, de massacres amicaux, de conversions enthousiastes, de rapts romantiques, et autres manifestations de cette très mythique tolérance islamique envers « les gens du Livre » (la Bible), et qui ne manifesterait pas une crainte ou une hostilité des plus légitimes mais plutôt de la vulgaire paranoïa, une peur irrationnelle fondée sur des fantasmes. Plutôt gauche, non ?

Au passage, que nos esprits ouverts à la pénétration islamique, méditent cet exemple, au lieu de faire dans la psychologie de comptoir, mais aussi celui, plus proche de nous, de la capitale européenne, où ce type de pénétration accompagnée de ces premiers effets logiques tient du fulgurant grâce au même type d’aveuglements que ceux qui prévalent encore chez nos collabos de la soumission. Mais tout cela est à ne pas en douter, de la « paranoïa », n’est-ce pas ? Enfin, après tout, comme on dit chez moi, « on n’amène pas boire un âne qui n’a pas soif ». Tristes tropiques du Scorpion !

SILévi Strauss

«Une sorte de paranoïa se développe chez les coptes mais elle est de plus en plus justifiée» par Elodie AUFFRAY (lire aux-fraises)

Quatre jours après l’attentat qui a frappé une église copte d’Alexandrie, en Egypte, douze organisations égyptiennes de défense des droits de l’homme ont dénoncé mardi l’attitude du pouvoir.

«La mauvaise gestion des tensions confessionnelles et de la violence par l’Etat crée un terrain fertile et un environnement propice pour que ce genre d’événement se produise», écrivent ces ONG dans un communiqué. Le pouvoir, lui, dénonce des «mains étrangères» derrière cet attentat, qui a fait 21 morts et 79 blessés la nuit du Nouvel An.

L’attaque a déclenché dans la communauté copte d’Egypte des manifestations de colère, réprimées par le pouvoir. Pour les organisations égyptiennes des droits de l’homme, «il est temps pour les responsables gouvernementaux de cesser de nier qu’il existe une réelle crise confessionnelle» dans le pays, dont 6 à 10% de la population est copte.

Une analyse que partage Laure Guirguis, chercheur en études politiques à l’Ecole des hautes études en sciences sociales et spécialiste des coptes.

Dans quelles conditions vivent les coptes d’Egypte?

Il existe de nombreuses discriminations au quotidien. Deux discriminations sont inscrites dans la loi. D’une part, celle concernant la construction des lieux de cultes: il faut une autorisation, après vérification que l’emplacement choisi remplit un certain nombre de condition, notamment une distance minimale d’avec une mosquée.

D’autre part, l’existence d’un «statut personnel» différent pour les chrétiens et les musulmans fait qu’un chrétien ne peut pas épouser une musulmane, sauf s’il se convertit. Toute relation amoureuse entre deux jeunes de religions différentes provoque des tensions, voire des violences. De nombreuses histoires, imaginées ou réelles, circulent sur des enlèvements de jeunes filles, forcées de se convertir, etc. Une sorte de paranoïa se développe chez les coptes, mais elle est de plus en plus justifiée, car cela devient insupportable au quotidien.

Les rapports entre chrétiens et musulmans ont-ils toujours été aussi difficiles?

Ils se sont beaucoup dégradés depuis les années 1970, et de manière accélérée encore au cours des dix dernières années. Les relations cordiales qui pouvaient exister jusque dans les années 1960 n’existent plus. De plus, les violences ont beaucoup augmenté et s’étendent à des régions qui en étaient exemptes. Certes, depuis cinq ans, avec la recrudescence des violences, les médias ont beaucoup parlé des coptes. Mais cela n’a conduit qu’à une instrumentalisation de la question par les politiques.

Comment analysez-vous la gestion de la crise par les autorités égyptiennes?

Le régime de Moubarak a toujours eu tendance à nier les tensions interconfessionnelles, à reporter l’origine des violences sur une main étrangère. Ça ne peut plus continuer comme ça. Mais dans le cas présent, encore, l’accent est fortement mis sur le fait que les auteurs de l’attentat seraient des étrangers. Il est vrai aussi que l’intervention des réseaux islamistes radicaux transnationaux, si elle est avérée, serait inquiétante.

Que peut faire le pouvoir égyptien pour apaiser les tensions?

A court terme, il est important de donner des signes forts aux coptes, pour leur montrer qu’ils font partie intégrante de l’Egypte. Unifier la loi sur la construction des lieux de culte serait un tel signe. Sur le long terme, la question est un gouffre sans fond dès lors que le communautarisme a gagné toutes les dimensions de la société, tous les esprits et toutes les pratiques. La tendance à nier les problèmes des coptes, l’islamisation des discours et des pratiques depuis les années 70 a aussi accru le communautarisme chez les coptes. L’Eglise est devenue beaucoup forte, elle est présente dans toute la vie sociale.

jeudi 6 janvier 2011

Les avocatins de la ripoublique gbagbienne : 1 million d’euros chacun pour tutoyer le pontife ivoirien ? (tiers-mondaines)


Un million d'euros chacun
pour tutoyer le pontife ivoirien
...

SILka SILou

Rectification : se defendant de ce qui se disait ici ou là, nos deux fringants avocats ont juré sur l'antenne de France-info n’avoir reçu aucun honoraire pour cette mission ivoirienne. Je les crois. Par conséquent :

Un mars™ chacun
pour tutoyer le pontife ivoirien...


SILka SILou

mercredi 5 janvier 2011

L'allegorie de la caverne islamique


L’allégorie de la caverne est cette célèbre parabole exposée par Platon mettant en scène des hommes enchaînés dans une demeure souterraine. Ces hommes tournent le dos à l’entrée et ne voient, projetées sur les murs, que leurs ombres où celles d’objets situés derrières eux. Des sons, ils ne perçoivent que les échos.

L’un d’entre eux se libère de ses chaînes et remonte jusqu’à la sortie. Là, il se trouve ébloui par toute cette lumière. Après avoir résisté à l’envie de retourner dans l’ombre douillette de sa grotte, il s’habitue à la lumière et se rend compte à quel point sa condition intellectuelle précédente était misérable. Pris par l’envie de libérer ses anciens camarades, il redescend alors dans la grotte et leur expose ce qu’il a vu. Ceux-ci, incapables d’imaginer une telle chose, refusent de le croire et finissent par le tuer.

Cette allégorie expose ainsi la pénible accession des hommes à la connaissance de la réalité ainsi que la difficile transmission de cette connaissance. Il en va de même pour la réalité islamique. Point de réalité pour certains penseurs. Ils se trouvent enchaînés au fond d’une caverne talibane observant des ombres et abrutis d’échos.

Pour avoir trop longtemps tourné le dos à la réalité, enchaînés au fond de leur grotte idéologique, certains dispensateurs d’ombres et d’échos, ne peuvent appréhender la réalité islamique que progressivement. Cette lumière leur brûle les yeux. Elle leur brûle les yeux parce qu’elle leur arrive trop vive, trop brûlante et bien trop éruptive depuis cette source d’incandescence que sont toutes ces explosions bien réelles.

Celles qui ont lieu ces temps-ci en Egypte, au Nigeria ou en Irak…

Celles qui ont eu lieu dans les rues de Lockerbie, Glasgow, Londres, Paris, Madrid, Cologne, Amsterdam, Stockholm, Moscou, Essentouki (Russie), Beslan (Ossétie du Nord), New-York, Washington, Buenos Aires, Casablanca, Alger, Tizi-Ouzou (Kabylie), Djerba, Louxor, Le Caire, Charm el Cheikh (Egypte), Nairobi (Kenya), Mombasa (Kenya), Dar es Salam (Tanzanie), Jérusalem, Tell Aviv, Beyrouth, Aman, Damas, Ankara, Istanbul, Riyadh, Al-Khobar (Arabie Saoudite), Bagdad, Kaboul, Islamabad, Karachi (Pakistan), Delhi, Calcutta, Bali (Indonésie), Davao (Philippines) etc...etc…etc…

Oui, vraiment beaucoup trop d’éclats de lumières d’un coup. Attendez, ça va passer. Toutefois, si les troubles devaient persister, n’hésitez pas à chausser le même modèle de lunettes de soleil que moi. Ça aide à y voir clair tout en permettant de cacher les larmes…

SILamproclès

mardi 4 janvier 2011

Mes très résolues résolutions pour 2011


Les récits mythiques anciens abordent parfois ces moments de lassitude que rencontrent bien des héros, ces moments où ils en ont marre de recevoir sur la nuque des cascades entières de conneries bien humaines. Grands dieux ce que je les comprends car je connais ça, moi aussi, parfois. Cependant cela ne dure jamais bien longtemps car en bon chevalier du dragon, un entraînement particulièrement poussé a fait de votre serviteur l’un des rares héros à espérer pouvoir inverser un jour le cours d’une cascade niagaresque. Mais si ! Mais si !

C’est ainsi que je poursuivrai tous les jours mon entraînement, en continuant à me disputer avec les tenants des idéologies les plus funestes que l’esprit humain a su créer ; avec tous ces gens un peu rouges, verts ou bruns, qui tachent tout ce qu’ils touchent ; avec tous ces frustrés de révolutionnaires à deux balles, très souvent collés aux radiateurs d’une fonction publique ou semi-privée, juste bons à destiner les autres au casse-pipe, tous ces jean-foutre de bourgeois médiocres aussi idiots qu’inutiles qui ne savent rien faire d’autre qu’inviter les gosses de l’immigration ou du petit peuple d’ici à vomir sur ce pays, ses valeurs, ses réussites et les acteurs de celles-ci, des mauvais conseils qui n’ont jamais aidé quiconque à s’intégrer ou à se hisser socialement.

C’est ainsi également que je continuerai de recevoir sur la nuque des cascades de leçons de morale par des dépravés ; des leçons de vie par des irresponsables même pas foutus de s’occuper d’eux-mêmes ; des leçons d’éducation par des immatures qui ne veulent pas d’enfants ; des cours de grandeur par des foutriquets, de courage par des couards ou de solidarité par des petits égoïstes qui vont jusqu’à se briquer le nombril en ânonnant le mot « gauche » à longueur de journée ; mais encore d’intelligence par des demeurés chez qui l’imagination tient lieu de réflexion et l’opinion d’imagination (un beau bordel) ; et pour finir, de créativité par des gens totalement stériles ; par des gens qui ne savent faire les choses qu’avec la langue, la seule caisse à outils dont ils disposent…

Comble de l’obstination, je me coltinerai même ceux, qui par je ne sais quel prodige, parviennent à être tout cela à la fois. Si, si, j’en connais.

Allez « Rozan Sho Ryû Ha »

SILryu en stage du côté d’Iguaçu

lundi 3 janvier 2011

Allah une, Allah deux, Allah trois : Boom Année


Jaloux de toutes ces festivités du Nouvel An (petit tour du monde en images), bien trop tournées, à leur goût, vers la vie, des serviteurs d’Allah ont travaillé d’arrache pied-jambes-bras, dès cette année, à Alexandrie et Abuja, au développement d’un concept d’alter-festivités tot’halalement tournées vers un amour de la mort inspiré par un dieu particulièrement mortel.

Attendez voir le programme 2022, d’ores et déjà visible ci-après. Un spectacle pyrotechnique du feu de dieu. Vous allez adorer…

SILidim le Magnifique







dimanche 2 janvier 2011

Private joke-box : mes bonnes résolutions babtou-bantoues



Voici quelques bonnes résolutions bantoues, déclamées par le comédien franco-camerounais Saïdou Abatcha, qui plaisent bien au babtou de sang africain que je suis aussi.

SILka SILou

samedi 1 janvier 2011

Mes vœux les plus chaleureux pour l’année 2011


Malgré un réchauffement climatique en rade,
Je vous souhaite une chaleureuse année 2011,
Ou du moins plus douce que celle de 2010.

SILs Olav