Mais le Mossad n’était pas la seule menace qui planait sur La Baule. On peut même dire que dans le contexte que je m’apprête à révéler, sa présence devenait on ne peut plus logique.
Car, de toute façon, je me disais bien que quelque chose de particulièrement troublant planait dans l’air. Ça m’avait fait le même effet l’été où j’avais croisé pas mal de satanistes. Là, je sentais quelque chose d’encore plus diabolique…
Alors que je me promenais le long du remblai, à la hauteur du casino de La Baule, figurez-vous que je tombe sur des statues de grosses femmes voilées, soi-disant crées par Jimenez Deredia, un artiste sud-américain particulièrement dans le vent.
Casino, niqab, mon liquide céphalo-rachidien n’a fait qu’un tour. Si c’est pas la preuve de l’alliance entre les puissances de l’argent locales et les intérêts politiques arabo-musulmans, je ne sais pas ce qu’il vous faut.
Et oui devant moi se trouvait figurée de façon très artistique le grand complot eurabien (pour ceux qui n’y croient toujours pas, une preuve encore plus étayée se trouve ici).
Robert SpenSIL
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