samedi 12 mai 2012

"Oups, il faut que je rentre..."


Dans la serie "Trierweiler monte la garde" : Valérie chasse la presse, Valérie chasse le Dray, Valérie casse de la « potiche », et provoque la chasse d’un insolent… toutes choses qui ne manqueront pas de provoquer quelques frétillements chez le sieur Luca… et de nous faire bien rire. Ça promet…

1) 72 heures après l’élection de son compagnon à la présidence de la République, la nouvelle Première dame semble déjà dérangée par l’attention particulière dont elle fait l’objet. « Merci à mes consoeurs, confrères de respecter notre vie et nos voisins. Merci de ne pas camper devant notre domicile. Merci de le comprendre », écrit-elle sur son compte Twitter. Comprendre, probablement. S’exécuter, rien n’est moins sûr. Car au même titre que les ex-Premières dames, Valérie Trierweiler risque d’être épiée. (pour en savoir plus…) Que n’aurait-on dit si Carla Bruni avait osé faire ça ?

2) Surprise, hier matin, au QG de François Hollande, avenue de Ségur. Alors que l’équipe du candidat organisait son pot de fin de campagne, le député de l’Essonne Julien Dray s’est présenté devant l’entrée alors qu’il n’était pas invité. C’est la compagne du président élu, Valérie Trierweiler, qui s’est chargée elle-même de lui indiquer, fermement, la sortie. Elle ne lui pardonne pas d’avoir convié DSK à son anniversaire dans un restaurant de la rue Saint-Denis, à Paris, entre les deux tours, sans prévenir quiconque. Un épisode qui avait rendu Hollande furieux. (sourceQue n’aurait-on dit si Carla Bruni avait osé faire ça ?

3) «Je veux représenter l’image de la France, faire les sourires nécessaires, être bien habillée, mais (mon rôle) ne devrait pas s’arrêter à cela». Dans une interview accordée au «Times» mardi et publiée mercredi, Valérie Trierweiler affirme qu’elle «ne sera pas une potiche». Selon le quotidien britannique, la journaliste, qui déjà exprimé son intention de continuer à travailler une fois Première dame, se dit davantage inspirée par les exemples de Danielle Mitterrand et Hillary Clinton que par Carla Bruni-Sarkozy ou Bernadette Chirac. (sourceLes « potiches » apprécieront. Que n’aurait-on dit si Carla Bruni avait osé faire ça ?

4) Pierre Salviac devrait désormais réfléchir à deux fois avant de tweeter. Son tweet sur la première dame jugé «intolérable» par RTL lui a valu son renvoi de la radio sans autre forme de procès. «A toutes mes conseurs, je dis ‘baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première Dame de France’ ;-) » (pour en savoir plus…Que n’aurait-on dit si Carla Bruni avait été à l’origine de ça ?

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