lundi 30 juillet 2012

Parce que nous détenons toutes les clés du pays



Puisque le locataire de l’Elysée se refuse à me nommer ministre, je me permets de lui rappeler, gentiment mais fermement, que les clés des appartements les plus en vue de ce pays (et de bien d’autres aussi) sont détenues par l’armée de concierges portugaises qui occupent le rez-de-chaussée de la plupart des grandes villes françaises, à commencer par les beaux quartiers parisiens.

N’oubliez pas qu’elles ouvrent et lisent également une partie assez conséquente du courrier qu’elles distribuent (mais si, mais si) et que par  conséquent ces agents de l’Empire lusitanien détiennent des informations particulièrement sensibles… si vous voyez ce que je veux dire…

OSSil 117

dimanche 29 juillet 2012

Délégation Française aux JO : la photo à laquelle vous avez échappé de justesse



Esprit Olympique-assiettes : 


Bonne nouvelle pour les perdants. 
Les médailles des vainqueurs seront redistribuées, 
surtout celles en or qui seront taxées à hauteur de 75%...

Taïaut ! Taïaut avec Lucenzo




Bravo Lucenzo ! Bravo pour cette artillerie sonore mega-lourde ! Si après ça on devait ne  pas décrocher un ministère ou deux, c’est que nous sommes maudits. 


Allez, encore une salve : « moruenitaaaa !!!! moruenitaaaa !!!! »

Navy SIL

samedi 28 juillet 2012

Les Portugais selon Timsit, Dieu et moi




L’Etat lusophobe français n’ayant pas daigné répondre positivement à mes légitimes exigences dans le délai imparti, il ne me reste plus qu’à m’attaquer de la façon la plus résolue qui soit à tous ceux qui véhiculent une image beaucoup trop avantageuse des Portugais pour qu’ils puissent bénéficier de mesures de discrimination positive. Et je commencerai en vilipendant un sketch de Patrick Timsit dont le caractère mielleux dépasse tout entendement. Un sketch où il s’attaque aux Portugais d’une façon insupportablement condescendante et gentillette.

Ecoutez-moi ça. Tout en commentant l’œuvre de Dieu, Monsieur Timsit oppose la très design Ibiza aux très peu design Portugais. « Ils le savent bien qu’ils ne sont pas design, les Portugais. Vous avez déjà entendu un Portugais prétendre qu’il est design », précise-t-il avant d’enchaîner sur le fait que Dieu aurait pu s’appliquer, utiliser un niveau, un fil à plomb. S’appliquer au lieu de se contenter de placer deux gros panards sous son œuvre afin qu’elle tienne debout. Concluant sur le fait qu’il trouve les Portugais « courageux » ; courageux de croire en Dieu après ce qu’Il leur a fait.

C’est immonde comme approche, n’est-ce pas ? Se montrer aussi gentil dans la méchanceté, c’est dégueulasse, non ? Peut-être est-ce sa bonne tête de Tos, sans parler de sa petite taille et son allure de sac à patates, qui le font se sentir obligé d’exprimer une certaine empathie à notre égard. Mais non, putain ! Sois méchant, bordel ! Quand est-ce que l’on nous montrera un peu de respect, en nous égratignant pour de vrai, merde à la fin ! C’est que j’en ai marre de toute cette condescendance. Après tout, je suis non seulement génial mais aussi particulièrement design comme Portugaulois. Par conséquent que l’on me rentre dans le lard au lieu de faire référence à notre talent de constructeurs et à notre courage culturel. Sérieux, ce que j’en ai marre…

Par exemple, j’ai appris récemment que la CIA, lors de « la révolution des œillets », en 1974, n’avait jamais cru un seul instant que le Portugal basculerait dans le camp soviétique, se contentant de conseiller des distributions d’œillets afin que les fusils ne servent à rien d’autre qu’à faire joli dans les livres d’histoire. « Filez leur des œillets ; ils seraient capables de se faire mal, sinon ; dans un malentendu, un coup de feu, c’est si vite parti ». Si ce n’est pas dégradant, ce mépris Anglo-saxon ?

Merde, respectez nous ! Détestez nous, enfin. C’est que nous sommes détestables, caralho ! Si, si’ch ! Vous avez vu ce que nous avons fait aux Indiens d’Amérique, le coup de la grippe espagnole. Même pas fichus d’assumer la paternité de cette très vile attaque bactériologique. Si ce n’est pas de l’infamie, je ne sais pas ce qu’il vous faut.

Peut-être ce que nous avons fait en Afrique, alors. Le fait de reprendre aux Arabes l’idée de la traite des Noirs, c’est vilain, ça non ? Avec pour circonstance aggravante le fait que ce ne soit même pas les hommes portugais qui aient planifié ce crime contre l’humanité mais leurs bonnes femmes. Elles prétendaient que nous n’étions pas assez courageux, gentils, attentionnés, qu’il leur fallait du Noir dont la réputation leur était parvenu aux oreilles avec les invasions islamiques et leur téléphone arabe. Elles rêvaient du « grand nègre ». Elles ont été déçues. Depuis, au-delà d’un certain âge, elles en portent la couleur. Ne dit-on pas d’ailleurs que le Portugal est « le pays où le noir est couleur » ? Celle du deuil des illusions.

Ah, la femelle portugaise. Une sainte horreur, à quelques rares exceptions près : ma mère et encore ; ma sœur selon les jours ; mes tantes et pas toutes ; mes cousines du moins les plus jolies. Sans trop m’étendre, et pour cause, sur son côté aussi peu enclin au romantisme ou à la passion amoureuse que sa cousine basque l’est en matière de sensualité, je me contenterai d’insister sur son côté capricieux, versatile, matérialiste, jamais satisfait de rien.

Pour tout vous dire, cela ne m’étonne pas que ce soit les femelles portugaises qui aient poussé les hommes à émigrer au même titre qu’elles les avaient déjà poussés à la reconquête de la péninsule Ibérique puis à la colonisation du monde. Sans pour autant accepter de se rendre n’importe où.

À titre d’exemple, si le Brésil, terre d’Eldorado, semblait digne de leurs rêveries, il s’est avéré impossible de les embarquer vers le très désolé archipel du Cap-Vert. Même les putes de Lisbonne refusèrent d’y aller. A tel point que les pauvres colons portugais furent obligés d’aller supplier sur le continent que des gentilles demoiselles africaines acceptent de fonder quelque chose de joliment mélancolique sur cet archipel particulièrement déshérité. Ils n’ont pas été déçus. L’Africaine étant aussi civilisée qu’aimable, cela a rendu le Cap-Vert possible. Encore heureux car dans le cas contraire, cela serait resté une sorte de Myconos tos, réservé aux marins homosexuels lusitaniens aimant le fado. Un truc pas très design.

Vous trouvez que j’exagère. L’expression de votre ignorance de l’histoire portugaise, sans doute. Je ne vous en veux pas. Tout le monde s’en fiche de l’histoire portugaise de toute façon.

Bref, pourquoi d’après vous, Alphonse de Albuquerque, gouverneur des Indes portugaises à partir de 1514, a-t-il, tout en défiant les consignes racistes de l’Eglise, organisé une politique de mariages systématiques entre Portugais et femmes indigènes, avec pour but de créer un peuple luso-indien ? La réponse est on ne peut plus claire. Les Portugaises sont des casse-couilles de la pire espèce. À côté de celles-ci, leurs cousines Amazighes, pourtant pas du genre commodes, passent pour des geishas particulièrement soumises. Des casse-colhoes susceptibles de vous donner des envies de métissage, loin, très très loin de la mère patrie.

D’ailleurs, histoire de rester dans la colonisation portugaise et son partage du monde, signalons que bonnes raisons ou pas de s’en aller coloniser ailleurs, cela n’a pas empêché les Portugais d’être parfaitement ridicules. Un autre sujet de gausserie.

En 1494, Portugais et Espagnols signent sous la bénédiction papale le traité de Tordesillas. Par celui-ci, ils se partagent le Globe terrestre en deux. Passons sur l’aspect délirant que deux peuples, somme toute assez médiocres, décident de se partager ni plus ni plus que le monde, et que j’ai déjà abordé dans un ancien billet au sujet du traité de Tordesillas, pour nous attarder sur les détails de ce traité. Le détail s’appelle le Brésil, qu’ils ont réussi à obtenir de justesse en déplaçant de 200 milles vers l’Ouest la ligne de partage du nouveau monde. Une bonne idée car s’ils s’en étaient tenus au premier découpage, celui effectué en 1493 par le pape Alexandre VI, les Portugais se seraient retrouvés à régner sur une Afrique qu’ils savaient déjà impossible à conquérir et surtout, les Océans. Un empire de poiscaille. Et oui, les sujets du roi portugais se seraient réduits aux fidèles cabillauds, sardines, et autres morues. Ridicule, non ?

Mais les Espagnols n’ont pas été les seuls à vouloir berner les Portugais. Les Anglo-saxons pour bien les connaître, « very old alliance » oblige, se fichaient déjà pas mal des Guesh. À chaque fois que les Lusitaniens bâtissaient un fort sur une route commerciale particulièrement intéressante, les voilà qui débarquaient quelques années plus tard, admiraient le travail et finissaient par leur dire. « Très joli ce fort ; du beau travail ; yes, yes ; dites-nous les Hobbitos, puisque vous aimez bâtir, vous ne voudriez pas aller en bâtir un autre quelques centaines de milles plus loin et nous laisser celui-là ; merci, vous êtes bien gentils et courageux ; on viendra vous voir quand vous aurez terminé ». Tu m’étonnes que les Anglo-saxons n’aient rien eu à craindre de « la révolution des œillets » si ce n’est que les Tos se fassent mal. Quelle nation de losers, je te jure ; losers au point d’appeler le stade de la capitale, « le stade de la Luz » (prononcer lose).

Enfin, ce n’est pas une raison pour mépriser ainsi les Lositaniens, en faisant de l’humour prétendument méchant, alors qu’à l’évidence, les vannes sont gentillettes. Non, mon bon Timsit, en matière d’humour, un peuple cela se respecte en se foutant de sa gueule aussi frontalement que méchamment. À moins que tout ça ne soit encore la preuve de la fourberie juive. Après tout, t’es Juif donc fourbe, non ? Tu prétends faire de l’humour méchant mais en fait, humanisme hébreu oblige, tu ne peux t’empêcher de dissimuler une forme de bienveillance. C’est condescendant et c’est nul, mon petit Patrick ! Aussi, t’es prié de faire plus méchant la prochaine fois, faute de quoi je te collerai un procès pour incitation au mépris racial. En plus, tu n’auras aucune excuse. Je viens de te montrer brillamment comment faire…

SILusiadas

vendredi 27 juillet 2012

Pourquoi il n’y aura pas de Tos au gouvernement : trop bien intégrés (c’est dégueulasse)



Voilà, je viens de recevoir la réponse à ma récente demande de discrimination positive. Rédigée et signée par un quelconque blanc-bec consanguin du cabinet diversité de Matignon, elle me laisse sans voix ou presque. Apparemment, les rejetons de l’immigration portugaise ne seraient « pas assez visibles », « pas assez boutefeux » et seraient « trop bien intégrés » pour bénéficier de mesures discriminatoirement positives. C’est dégueulasse et surtout tout ce qu’il y a de plus inexact.

« Pas assez visibles ». S’il est vrai que la plupart des Portugaulois font des Français on ne peut plus quelconques, sont souvent pas assez grands pour être remarquables, j’en connais toutefois un assez grand nombre qui non seulement avoisinent les 180 cm, mais qui arborent également des gueules de bougnoules tout ce qu’il y a de plus visible. D’ailleurs, personnellement, non seulement je fais un bon mètre quatre-vingt, mais aussi un bon Berbère ou un très bel Arabe quand je reviens de vacances ensoleillées. Exit donc l’invisibilité.  

« Trop bien intégrés ». Là aussi, c’est très exagéré. Vous trouvez que c’est une preuve d’intégration que de s’inscrire massivement dans des groupes de danses folkloriques aussi ridicules que portugaises,  de polluer l’air du voisinage en braisant des sardines lusitaniennes à la fenêtre ou  de tuner sa voiture de façon aussi éloignée que possible du bon goût français ? Bien sûr que non ! Signalons pour finir que toute cette engeance ibérique aussi endogame que fanatiquement communautariste s’est déjà haineusement illustrée en sifflant la marseillaise lors de rencontres footballistiques entre le Portugal et la France. Si ce n’est pas la preuve d’une volonté manifeste de faire sécession, je ne sais pas ce qu’il vous faut d’autre. Exit aussi l’intégration.

« Pas assez boutefeux ». Mais détrompez-vous là aussi. Les Portugais-en-France savent eux aussi, semer le foutoir dans ce beau pays, le tout  de la façon la plus détestable qui soit. Sournoisement, lâchement. Vous ne voyez pas où je veux en venir. Et bien je parle du chanteur et parolier du groupe NTM, Bruno Lopes alias Kool Shen, originaire de la même ville que moi, Viana do Castelo, qui, en bon agent de l’empire portugais, avec ses chansons, et notamment son « qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu », a distillé la violence et la haine de la France dans tous les esprits de banlieue et participé à pervertir toute une génération. Ah ! Ah ! Vous n’y aviez pas pensé, à celle-là, n’est-ce pas ? Sans oublier que, musicalement parlant, nous avons d’autres moyens de pourrir ce pays. Après Linda de Suza, Lio, voici Lucenzo qui depuis quelques temps corrompt les oreilles, les cervelles et les corps de la vaillante jeunesse française.

Alors voilà, c’est donnant-donnant. Soit vous répondez positivement à mes très légitimes exigences dans les prochaines 24 heures, soit je lance un blitz lusitanien sur les intérêts français.

Remarquez, si vous deviez estimer que nous demeurons vraiment les champions de l’intégration, vous pouvez toujours me nommer, pour commencer, président du Haut Conseil à l’Intégration ou à la tête d’un secrétariat d’Etat dédié à l’intégration. 

Voilà ! Voilà ! Ça, c’est fait. Et  si avec ça, je ne décroche pas un truc, ce sera à désespérer d’être né d’origine portugaise dans un pays où il n’y en a que pour les Noirs et les Maghrébins…

Kool SIL

jeudi 26 juillet 2012

Tranche de vie à Pyongyang : Nathalie Arthaud réagit à la présentation de Ri Sol-ju



Alors que le leader de la Corée du nord vient d’imiter l’ancien président Sarkozy en présentant sa nouvelle épouse dans le cadre d’une sortie récréative dans le tout nouveau Communistic-Parc de la capitale Pyongyang, Nathalie Arthaud, qui dirige le parti communiste Lutte Ouvrière, et à qui Kim Jong-un aurait promis un temps le titre d’impératrice rouge, a tenu à réagir.

Visiblement, elle en a fait une jaunisse, s’abaissant à des attaques politiques particulièrement calomnieuses envers cette communiste pur jus qu’est, non pas Marisol Touraine, mais bien Ri Sol-ju

Kim Jong-SIL


mercredi 25 juillet 2012

Pakistan : les enfants kamikazes d’Allah




Parce que les premières et principales victimes de l’islam et des islamistes sont les musulmans, hommes, femmes et enfants…

Où sont nos putains d’indignés professionnels et subventionnés ?!?

SILimalikoum mes frères

mardi 24 juillet 2012

Indignez-vous : Stéphane Hessel, The French Asshole



Des millions d’esclaves dans le monde musulman…
Des centaines de Syriens qui tombent quotidiennement sous les coups d’un Assad qui met à l’abri ses armes chimiques…
Des enfants kamikazes au Pakistan…
Les fascistes de l’islam qui referment leur piège sur des pays musulmans…

Et nos putains d’indignés professionnels et subventionnés qui ne s’indignent toujours pas !
La constipation serait-elle de saison chez ces très franchouillards trous-du-cul ?

Sil Fernandes


lundi 23 juillet 2012

Ramadan Cup 2012 : et c’est parti mon mumuzz



A’y’est, le coup d’envoi de l’une des plus grande épreuves mystico-sportives est lancé. Pendant un mois, près de 70 % des musulmans de France s’adonneront à un jeûne extrêmement éprouvant sous des conditions non moins extrêmes, le tout agrémenté d’épreuves annexes particulièrement truculentes comme par exemple le tabassage de mauvaises musulmanes.

Vivez ce grand moment sur le Republicoin. Nos commentateurs et nos envoyés spéciaux colleront au plus près de l’événement pour vous faire vivre ce moment eXceptionnel…

Léon SILtrone

dimanche 22 juillet 2012

Sentimentalisme de saison : "Here comes the rain again"




En attendant que le Soleil prenne enfin ses quartiers d’été au coeur de la saison des amours, voici un peu de sentimentalisme pluvieux avec le très années 80  « here comes the rain again » du groupe Eurythmics :

« Voici la pluie, encore ; tombant sur ma tête comme un souvenir ;
 tombant sur ma tête telle une nouvelle émotion.
 Je veux me laisser emporter par le vent ;  je veux parler comme les amants le font ;
 je veux plonger dans ton océan. Pleut-il là où tu es ?
Alors chéri(e) parle-moi,comme les amants le font ; Marche avec moi, Comme les amants le font ; Parle-moi… »

Sinon, dans un genre bien plus kitch, voici également ce bon vieux et incontournable « when the rain begins to fall » de Jermaine Jackson et Pia Zadora :


« Et quand il commence à pleuvoir, tu enfourches mon arc-en-ciel. 
Et je t'attraperai si tu tombes ; 
sans que tu n’aies à me demander pourquoi.

 Et quand il commence à pleuvoir 
je serai le Soleil dans ta vie.
 Tu sais que nous pouvons tout avoir ; et que tout ira bien… »

SILennox

samedi 21 juillet 2012

Fièvre saturnale avec Lana Del Rey : l’appel du grand noir





En visionnant le nouveau clip de Lana Del Rey, « national anthem », dans lequel la chanteuse semble camper le rôle d’une Jackie kennedy aux pieds et au chevet d’un président noir, je me suis pris d’une envie de remercier le président Barack Obama.

Merci beaucoup Monsieur le Président de n’avoir jamais versé dans cette caricature de rastaquouère hip-pop-présidentiel qui semble plaire et tant faire fantasmer cette petite oie blanche en mal d’encanaillement qu’est visiblement la Lana Del Rey.

Vous avez certes pas mal de défauts politiques mais au moins, vous avez vraiment de la classe. Pas comme l’idole de l’autre très caricaturale courgeasse…

John Portuguese Sillips

vendredi 20 juillet 2012

Tuerie d'Aurora : héros et antihéros américains



Avec la tuerie d'Aurora, dans le banlieue de Denver, nous voilà partis pour un tour de poncifs et autres billevesées sur une Amérique malade des armes, des jeux vidéo et autres poisons capitalistes ou libéraux…

Pourtant la Suisse aux citoyens-soldats lourdement armés et le Japon à la jeunesse totalement uploadée ne connaissent pas ce genre de phénomène. De plus, la culture américaine ne manque pas de valeurs morales et religieuses tournées vers la responsabilité et la solidarité. Alors pourquoi cet introverti sans histoires s'est-il soudain transformé en Joker ?

Serait-ce une façon pour des déments de conquérir facilement une certaine forme d’immortalité ? 

Après tout, alors que le nom de ce Taré n° XXXX s’apprête à faire le tour du monde, qui se souvient de celui de Steve St Bernard, l’habitant de Brooklyn qui sauva cette semaine une fillette d’une chute de trois étages en priant « s’il vous plaît faites que je l’attrape Seigneur, s’il vous plaît faites que je l’attrape » (vidéo à voir ici).


Comme le dit la chanson : "On se souviendra… De ceux qui commettent un crime… Un jour… De tous ces chasseurs de primes… Et puis D’oublier la vie… D’un homme extraordinaire…"

Et moi de rêver, encore une fois, en vain, que le nom de ces crevures soit effacé du registre des vivants mais aussi de tous les écrans afin que l’oubli et le néant soient leur unique récompense…

John Portuguese Sillips

jeudi 19 juillet 2012

Tranche de vie hollandaise : François et l’éphèbe de Washington



- Tu tires ou tu pointes ?
- Tiens, salut François. Comment vas-tu depuis le diner d’hier soir ? « Tu tires ou tu pointes », mais encore…

- Rien, il s’agissait d’une petite plaisanterie provençale en rapport avec le jeu de boules. Sinon, je vais très bien merci. Je tenais d’ailleurs à te remercier pour la qualité de ton accueil. C’est pour cette raison que je suis venu te voir. Le service du protocole m’a indiqué que je pourrais  te trouver ici. Mais que fais-tu exactement ?
- Je fais plaisir à ma femme. Vu que je rongeais mon frein en attendant la décision de la Cour suprême qui doit tomber dans les prochaines heures au sujet de ma reforme de sécurité sociale, Michelle m’a demandé d’aller me détendre en posant pour le sculpteur qui se trouve à côté de toi. Elle trouve que cela sera du plus bel effet dans les jardins de la Maison blanche.

- Le bel effet de l’éphèbe de Marathon, ou plutôt de celui de Washington, en effet, oui…
- Peut-être, mais non seulement cela ne me détend pas vraiment, mais surtout je commence à avoir très soif.

- Je peux aller te prendre quelque chose à boire dans les distributeurs du stade, si tu veux ?
- Ce serait bien aimable à toi. Je ne sais pas où est passé mon service de sécurité.

- Fichtre ! J’ai oublié ma Carte bleue-blanche-rouge officielle dans le sac à main de Valérie.
- Tu n’as qu’à emprunter la mienne. Elle est dans la poche arrière gauche de mon pantalon. Prends-là toi-même. Mike Angel ne veut pas que je relâche la pose.

- D’accord. Et pour le code…
- c’est 8888.

- Comme l’infini ?
- Yes ou presque, ah ! Ah ! Ah !

- Tu m’en tiendrais rigueur, si je me prenais également, au passage, quelque chose à boire ?
- Bien sûr que non, voyons. Fais-toi plaisir. C’est le Congrès qui régale…

 SILarose l’important

mercredi 18 juillet 2012

Monde musulman : 3 millions d’esclaves à l’heure actuelle




Malek Chebel nous apprend (ou plutôt à ceux qui ne le savaient pas encore) que « l’esclavage en terre d’islam » a duré beaucoup plus longtemps que dans le monde occidental, dure encore ; a concerné 22 millions d’individus (destinés à la mort sans descendance : voir « le génocide voilé » de Tidiane N’Diaye), et concerne encore 3 millions de personnes. Je suppose qu’une telle horreur laisse sans voix Madame Taubira ainsi que nos indignés professionnels et que c’est pour cette raison qu’on ne les entend pas.

Selon Malek Chebel, cet esclavage en terre d’islam, pratiqué à travers tout le monde musulman, serait néanmoins étranger à l’islam, au motif qu’on « fait dire tout en n’importe quoi au coran ».

Ce qui me fait dire que Malek Chebel, dont je comprends et soutiens la volonté réformatrice du monde musulman, même si c’est en dépit ou par-dessus le dogme islamique, va devoir trouver des arguments un peu plus solides pour nous convaincre, et surtout pour convaincre la plupart des musulmans, que si l’esclavage, inscrit dans le coran et permis voire encouragé par Allah à maintes occasions, est pratiqué à travers tout le monde musulman, c’est parce qu’ils comprennent tous la doctrine islamique de travers, à l‘exception de Malek Chebel et de quelques autres rares courageux réformateurs.

Si je dis ça, c’est sans la moindre ironie, mais pour lui rendre service, à lui, et à nous tous. Bon courage à vous, Monsieur Chebel, et que Dieu vous garde, puisque vous êtes croyant…

SILimalikoum

mardi 17 juillet 2012

Tranche de vie hollandaise : réunion à G8 clos



Angela Merkel : François, si tu as quelque chose à me dire, tu me le dis en face, d’accord ! Allez, un peu de courage, einmal !
François Hollande : J’ai déjà dit que je ne serai pas le président de l’austérité et de l’égoïsme, mais celui de la croissance et de la solidarité entre pays européens.
Angela Merkel : Ja, le président de la croissance de la dette, et de la solidarité avec mon chéquier…

Conseiller de François Hollande : Monsieur le Président, et si nous plaidions en faveur d’une déclaration de principes autour de ces questions.
François Hollande : Bonne idée ! Nous pourrons ainsi afficher notre réussite, et faire reposer sur les récalcitrants la responsabilité d’un éventuel échec futur.

David Cameron : Pour ma part, je ne reviendrai pas sur le fait qu’il est hors de question que la Grande Bretagne dépense le moindre penny pour supporter les Grecs ou pour endetter le pays. I want my money back ou plutôt in my pocket !
Barack Obama : Pense à l’avenir du monde libre, David. Il n’en va pas seulement du sort de la Grèce.
David Cameron : justement, n’en déplaise à ton sort personnel, j’y pense tous les jours, au sort du monde libre…

Dmitri Medvedev : (ouh là là, si Obama se lève pour peser sur la négociation, il faut que j’en fasse de même ; il en va de la grandeur de la Russie. A la une, à la deux, à la…)

Yoshihiko Noda : (je ne comprends strictement rien à leur histoire de Grèce. Renseignons-nous). Qu’en pensez-vous cher Monsieur Monti ?
Mario Monti : Que je vous remercie infiniment, cher monsieur Noda, de me permettre de reprendre vos notes. J’ai un peu de mal à suivre. Sans doute le fait du repas de midi…

José Manuel Barroso : t’en penses quoi, de tout ça, Herman ?
Herman Van Rompuy : Que j’ai un poil dans la main qui me démange horriblement. Ça m’arrive de plus en plus souvent. T’as pas un truc contre ça ?
José Manuel Barroso : l’épilation à la pince. Le problème c’est que je fais parfois des furoncles après l’épilation…

SILarose l’important

lundi 16 juillet 2012

Polémique Onfray-Soler : chiens de pavlov versus singes hurleurs



Oui, mon bon FOG, trêve de pétitions-pilori, que je déteste, et de plaisanteries, que d’ordinaire j’adore. Comme vous le rappelez si bien dans votre édito, vive la liberté de pensée, y compris celle des antisémites ou des idiots qui tiennent des propos antisémites à l’insu de leur plein gré. Après tout, nombreux sont ceux qui ont écrit ou qui versent dans le pamphlet antisémite sans le faire exprès. Tout comme la plupart de ceux qui agressent de plus en plus de Juifs, se défendent eux aussi de tout antisémitisme. Aussi, évitons, en effet, les procès d’intention. Le mot « antisémitisme » n’étant, de toute façon, comme tout le monde le sait, qu’un vilain mot juif inventé pour terroriser les honnêtes gens. Quelle bande de terroristes que ces Juifs ! C’est d’ailleurs fou ce que ces honnêtes gens tremblent devant ce mot. Des tremblements qui les portent à écrire n’importe quoi ou à bastonner du Juif. CQFD, ce n’est pas de leur faute. Passons à autre chose.

Plus sérieusement, je comprends bien que mon bon FOG soit très embêté par cette affaire initié dans son journal, ce qui le pousse sans doute à montrer les crocs à ceux qui, comme moi, aboient sur ce pauvre petit Onfray-dans-son-froc. Cependant, comment ne pas voir que la thèse de Soler semble bien plus judéophobe qu’iconoclaste, et que quelqu’un qui reproduit les propos ci-dessous, sans la moindre critique ou distanciation mais avec admiration, pue bel et bien, que FOG le veuille ou non, la merde antisémite de canisette ramenée sous les godasses :

Selon Jean Soler, le monothéisme devient une arme de guerre forgée tardivement pour permettre au peuple juif d’être et de durer, fût-ce au détriment des autres peuples. Il suppose une violence intrinsèque exterminatrice, intolérante, qui dure jusqu’aujourd’hui. (… ) les juifs inventent le génocide – le premier en date dans la littérature mondial.

Cher Franz-Olivier, si l’odeur ne vous agresse pas assez le nez, remplacez donc « peuple juif » par n’importe quoi d’autre et peut-être que le fumet vous paraitra alors moins parfumé…

Sil Fernandes, chien de berger à ses heures

« Michel Onfray et les chiens de Pavlov » Par FRANZ-OLIVIER GIESBERT

Ivan Petrovitch Pavlov (1849-1936) est un physiologiste russe qui a mis en évidence les réflexes conditionnés en établissant que les chiens peuvent saliver aussi bien devant la nourriture qu’au stimulus sonore qui lui est associé. (pour lire la suite de son édito...)

dimanche 15 juillet 2012

Morpion électoral : la donne a changé



Avertissement important : Ce texte est à lire avec l’accent sud-américain, faute de quoi vous ne comprendrez rien au génie de cette œuvre. Question créativité, que tu sois chorégraphe, peintre ou que sais-je encore, j’ai en effet remarqué que tes idées paraîtront forcément géniales si tu les expliques avec l’accent sud-américain, et ce même si c’est de la merde :

Ce samedi 14 juillet, je me suis soudainement rendu compte que je n’avais pas encore modifié la disposition de mon œuvre politique majeure. Le Morb’art. Une œuvre picturale que m’avait inspiré, en 2007, le comportement électoral de mes concitoyens.

Il s’agit de 9 toiles, au format variable (ici 30X30cm) porteuses de trois croix, de trois ronds et des trois autres cases permettant d’y faire figurer les couleurs de chaque pays visé. Ce Morbaque représente ce jeu télévisé géant que sont devenues bien des démocraties. Des peuples, non plus éclairés par leur Raison mais plutôt par les faisandeurs d’opinion ou encore leur humeur, et qui jouent l’intérêt général sur les tables de leurs caprices électoraux, en espérant gagner gros à court terme.

Cette œuvre est évolutive. Quand la Gauche est au pouvoir, on place, comme ci-dessus, les ronds en mode gagnant. Le rond parce que le rond c’est doux comme semble l'être la Gauche et parce que la pensée de Gauche tourne en rond depuis pas mal d’années. Quand la Droite est au pouvoir, ce sont les croix qui gagnent (ci-dessous). En cas de cohabitation, vous disposerez les tableaux en match nul. Si d’aventure, pour rire, c’était le Centre qui remportait ce jeu, vous n’aurez qu’à mettre en ligne gagnante les couleurs du pays, non pas que je sois passé au Modem mais histoire de faire plaisir à tous les Modems qui m’entourent de très près ainsi qu’à mes tendance extrême-centristes.

La mise à prix de cette œuvre, adaptable à chaque pays et à tout format, est fixée à 15 000 euros (dites-le avec l’accent sud-américain, ça passera mieux).

Sil Fernandes, artiste engagé (entre autres) du côté démocrate, républicain et antitotalitaire.

P.S : Ne vous amusez pas à me piquer cette idée. Elle est déposée à l’INPI. Je vous connais bande de copieurs…


Paris sous les Ponts



Gavroche est de retour à Paris. Je l’ai retrouvé sous un pont, pas loin de l’Assemblée. Il y côtoyait un Libertin qui avait jeté ses amarres le temps d’accrocher un cadenas sur le pont des Arts…


samedi 14 juillet 2012

Défilé du 14 juillet : toujours pas la Légion d’honneur



Ce fut un bien beau défilé. Je tiens d’ailleurs à remercier nos petits gars du Génie pour être parvenus à retarder, le temps du défilé, cette satanée pluie qui semble coller au plastron de notre président normal depuis le début de son mandat : ‘Avec moi le déluge‘.

Toutefois, je tiens à signaler qu’il manque encore et toujours, un corps à ce grand défilé du 14 juillet. Celui de la Légion d’honneur que je rêve de voir un jour marcher au pas. Pas loin de 100 000 légionnaires, ce n’est pas négligeable, en matière de défense. Aussi honorons ce vaillant corps en faisant défiler l’une de ses unités d’élite.

Comment ça, « il n’y en a pas » ?!? Que l’on me nomme alors fissa commandeur, histoire que je forme cette troupe de légionnaires au combat et au sens du sacrifice pour la patrie.

SILégionnaire de plomb

vendredi 13 juillet 2012

Le nouveau jeu du foulard en banlieue : se donner l’air le plus débil’halal possible



Voilà quelques temps que j’observe un nouveau jeu du foulard dans ma coulée verte. Quand je dis « coulée verte », je ne parle pas de ces avenues végétales le long desquelles des Parisiens en mal de verdure peuvent se dégourdir les jambes et les bronches, mais plutôt des zones halales qui s’étendent de plus en plus autour de Paris.

Je disais donc que dans mes zones halales, j’observe de plus en plus de petites joueuses pratiquant une nouvelle version du jeu du foulard. Une version qui consiste, grâce à une voilure basse décapotable, à la remonter le plus haut possible dès qu’un contrôle de police se fait moins probable.

C’est ce que vous pourrez voir sur ces photos prises par votre serviteur dans un bus de banlieue : Sur celle du haut voici nos deux petites prosélytes qui montent dans le bus avec un foulard réglementaire ; puis dès qu’elles se sentent à l’abri d’une verbalisation, l’une de nos petites islamistes équipée de l’option niqab-décapotable le remonte au nez et à la barbe du droit commun (photo ci-dessous).

Ainsi va la mode et le monde. Alors qu’en Iran et dans d’autres pays islamiques, des femmes se battent ou défient les autorités pour pouvoir se découvrir un peu plus, chez nous, des idiotes et autres fanatiques se démènent pour se couvrir le plus possible. Grands dieux ce que nos boudins halals peuvent être débiles…

SILidim le Magnifique


jeudi 12 juillet 2012

Sortie de route pour PSA



Quand PSA va dans le fossé, c’est toute la France qui pète une durite. Á commencer par notre super Ayrault national qui laissait entendre, hier à l’assemblée, que les plans sociaux avaient été retardés sous la pression de l’équipe précédente, ce qui serait surtout susceptible de démontrer que l’ancien président avait plus d’influence sur l’industrie que le nouveau, qui portant avait promis de faire mieux. Quel comique cet Ayrault !

De son côté, Philippe Poutou du Nouveau Parti Anticapitaliste, en bon lapin crétin, veut tout péter pour sauvegarder l’emploi, pendant que la Marinullarde Lepenulle, malgré son tout récent statut de « petite bourgeoise », entrave encore et toujours que dalle en matière économique, puisque non contente de suivre Jean-Marc Ayrault sur la piste des plans sociaux retardés en loucedé par le pouvoir précédent, accuse « l’ultralibéralisme et le refus de tout protectionnisme » d’être à l’origine des difficultés de PSA, proposant au passage « un plan national de soutien » pour y remédier. Un conseil qu’Arnaud Montebourg, notre protectionniste de gauche et très inutile ministre du redressement, a décidé de suivre. Des éléments troublants qui me font demander s’il n’y aurait pas un système, non pas UMPS, mais finalement FNPS (!)

Toutes choses, en tout cas, qui ne changeront rien aux problèmes de demande, plombée par une pression fiscale de plus en plus alourdie ; aux problèmes de coût du travail non réglés, voire aggravés ; et aux questions de stratégie industrielle et commerciale, domaines dans lesquels les cadres dirigeants de chez PSA semblent avoir démontré une parfaite incompétence.

En ça, j’espère d’ailleurs que ces messieurs assumeront leurs responsabilités en prenant la porte, histoire de les remplacer, peut-être, par des gens capables de gouverner une entreprise qui navigue dans un contexte mondialisé. Après tout, je ne vois pas pourquoi seuls les salariés en bout de chaine devraient assumer les conséquences désastreuses des choix calamiteux de quelques uns…

SIL Meier’s Tycoon

Accident industriel 

mercredi 11 juillet 2012

Tranche de vie Hollandaise : la marche de l’empereur



Tiens, pourquoi il rigole sous son casque celui-là ? Visiblement, l’impassibilité de la garde royale anglaise n'est plus ce qu'elle était. De toute façon, tout fout le camp de nos jours. Et celui-là, pourquoi sourit-il également ? J’ai un truc de travers, ma cravate, les boutons de mon veston ? Bizarre…

Mais c’est qu’il se marre tout autant, cet autre là. Non mais à quoi rime cette mascarade ? Ah, je crois que j’ai compris. Le grand con à mes côtés, ou bien l’autre emplumé derrière, doit se moquer de moi en douce. Je suis certain que ces salauds d’Anglais ont fait exprès de me faire défiler à côté de ce troll. Les journalistes anglo-saxons vont encore se payer ma pomme. Perfide Albion !

Remarquez, il est vrai que je dois avoir l’air d’un manchot défilant devant une armée de Lapons. On se les pèle en plus. Et même pas ma Valérie pour me réchauffer depuis qu’elle a décidé de faire l’huitre à Paris. Quelle boudeuse celle-là aussi.

Enfin, ça ne se passera pas comme ça. David Cameron me paiera cet affront. Dès que je le vois, je lui vole dans les plumes…

SILarose l’important


mardi 10 juillet 2012

Angela Merkel : notre chancelière de cœur



Juste un petit post fleuri pour remercier Angela Merkel, d’être ce qu’elle est, de ne pas lâcher grand chose face aux pays cancres de l’Europe, de ramener notre président des bisous à la réalité, en défendant notamment les intérêts du peuple allemand, mais aussi ceux, indirectement et à plus long terme, du peuple français, entre autres cousins germains européens.

Merci également pour avoir démontré la théorie libérale selon laquelle le meilleur moyen de défendre les intérêts du plus grand nombre consiste souvent à défendre tout d’abord ses propres intérêts…

SILgfried le Suève

lundi 9 juillet 2012

Egypte : découverte exceptionnelle



Le tout nouveau ministre égyptien de la culture a fait savoir aujourd’hui que des nouvelles fresques couvertes de hiéroglyphes d’un style jamais répertorié à ce jour, ou bien cachées volontairement par des chercheurs à la botte des régimes croisés occidentaux, avaient été découvertes dans la vallée des rois.

Ce style baptisé « dernier empire », prouverait clairement que l’Egypte était déjà en grande partie islamique du temps des pharaons.

Une exposition serait d’ailleurs en cours de préparation afin d’exposer cette découverte exceptionnelle à la vue du monde.

SILidim le Magnifique


Addendum sérieux : Egypte : premiers appels à la destruction des grandes pyramides (pour en savoir plus...)