jeudi 28 février 2013

Antisémitisme et antisionisme : c'est kif-kif bourricot !


Comme vous allez vous en rendre compte, je pourrais faire de la brillante analyse qui suit un petit essai de 50 pages qui ne manquerait pas de me rapporter quelques pépètes, mais voilà, non seulement je n’ai pas le temps, et surtout un simple billet suffira pour démontrer qu’antisémite et antisioniste c’est kif-kif bourricot. Pour l’essai, un auteur aussi désœuvré que dans le besoin n’aura qu’à développer le petit canevas qui va suivre. Je lui demanderai juste de signer un petit chèque de remerciement à l’ordre de ma femme. Comprenez, les soldes l'ont mise à sec !

Voyez-vous, comme dans toute pathologie de ce genre, ce ne sont pas les faits qui comptent, mais les fantasmes. Aussi, peu importe que pendant 2000 ans, la diaspora israélite, ne soit restée qu’une minorité, qu’elle n’ait à aucun moment cherché à disposer d’un Etat à elle au sein de nos nations européennes, n’ait jamais commis d’exactions militaires sur ses voisins, ou même qu’aucun Juif n’ait jamais régné sur aucune de nos nations, imposant l’hébreu pour langue, le judaïsme pour religion d’Etat et la guerre ou la colonisation pour politique d’expansion. Peu importe que les terres, les châteaux de la Loire et autres réels symboles de richesse ou puissance n’aient jamais été juifs. Peu importe. Dans cette maladie qu’est l’antisémitisme, ce qui a toujours compté, c’est le délire. Celui voulant que le Juif soit un assassin par nature pour la sainte raison que des Juifs aient condamné à mort un autre Juif du nom de Jésus ; mais aussi cette autre folie poussant certains à accuser les Juifs d’empoisonner les puits des Chrétiens, de manger les enfants chrétiens pour pessah ou d’être les propagateurs de la peste noire ; ou encore ce fantasme qui ferait du Juif l’unique ou principal vecteur de la corruption et ruine de ce bas monde. Ah, la fixette juive. Toutes choses, qui dans la tête de nos malades, justifierait l’annihilation du Juif.

La fixette et le fantasme, exactement les mêmes symptômes que l’on retrouve dans l’antisionisme. Là aussi, peu importent les faits, seul compte le délire. Peu importe qu’Israël soit effectivement le berceau national du peuple hébreu, et que ce peuple dispose d’un recueil de chroniques nationales, la bible, relatant cela en long et en large. Peu importe que les voisins d’Israël aient cherché dès la déclaration d’indépendance de 1947 à annihiler à plusieurs reprises l’état hébreu voire le cherchent encore ; que les Israéliens demeurent une minorité dans ce médiocre-orient sous domination arabo-musulmane ; que malgré tout cela, les Israéliens arabes disposent des mêmes droits politiques que les autres Israéliens et de bien plus de liberté que dans les pays arabes. Peu importe l’évidence. Ce qui compte c’est de fantasmer. De prétendre qu’Israël est raciste, et n’a pas le droit comme bien des Etats, d’être le foyer d’un peuple identifié depuis des millénaires. De prétendre que l’existence d’Israël empêche non seulement la paix dans la région mais menace également celle du monde. Peu importent les dizaines ou centaines de milliers de victimes en Algérie, au Darfour, au Congo, au Tibet et ailleurs. Seul compte le prétendu « génocide » que perpétrait Israël sur ses voisins arabes. Un Etat d’Israël qui n’hésiterait pas à user d’armes et de méthodes diaboliques, un peu à l’image du vieux mythe du Juif empoisonnant les puits chrétiens ou rependant la peste. Une entité israélienne qui aurait pour vocation celle de s’étendre et de s’enrichir à l’infini. Il est vrai qu’Israël est à ce point riche qu’elle en éclipse par sa splendeur celle des monarchies arabes. Que ne les voyez-vous pas toutes ces tours dorées où s’affairent des légions de serfs philippins aux passeports confisqués. Un Etat d’Israël qui serait le principal vecteur de la corruption et ruine de ce monde. Ce qui dans la tête de nos malades justifierait son annihilation.

CQFD, antisémite, antisioniste, c’est kif-kif bourricot !

Que fais-je des Israéliens ou des Juifs antisionistes, alors ? C’est simple, je ne m’en étonne pas et je les traite de bourricots. Ne m’en étonne pas car tout comme il y avait des Juifs antisémites, des kapos (gardiens de camps de concentration) juifs, quoi de plus logique qu’il y ait des Juifs ou des Israéliens antisionistes, des Juifs ou des Israéliens touchés par la haine ou le mépris de soi, tout simplement parce qu’ils confondent saine autocritique et légitimation des délires véhiculés par leurs bourreaux ou ennemis. Bourricots donc !

Tous antisémites alors ? Pas vraiment. Bourricots surtout. Dans toute cette triste histoire, il y aura toujours plus d’ignorants, d’imbéciles, d’idiots utiles, de lâches, de suiveurs et d’opportunistes que d’antisémites ou d’antisionistes aussi engagés qu'enragés. Bourricots donc !

SILomon qui s’en va rendre à Samson sa mâchoire d’âne…


mercredi 27 février 2013

Stéphane Hessel au Panthéon : voici l’éloge funèbre en exclusivité


Puisqu’un hommage s’impose, voici un éloge à la Malraux :

Entre ici Stéphane Hessel, toi l’antisémite qui auras résisté au national-socialisme allemand pour mieux collaborer avec le national-socialisme arabo-palestinien…

SILgueiro Maia 

mardi 26 février 2013

Plus terrible que le « Da Vinci Code », le Jesus Gay Code


Alors que d’aucuns apprennent avec surprise qu’une confrérie homosexuelle secrète œuvre depuis des siècles au sein du Vatican, il est temps de révéler au monde entier, et au-delà, la vérité sur l’identité sexuelle, non pas des anges, mais du petit Jésus.

Un secret qui ne surprendra pas grand monde, étant donné les questions légitimes qui pesaient depuis longtemps sur ses orientations sexuelles. Car force est de constater que la vie de ce petit gars, toujours célibataire à 30 ans, beau comme un cœur, cheveux longs et soyeux, si intelligent et si sensible, inaccessible à la ribambelle de greluches qui le poursuivaient toute la sainte journée, qui partageait avec sa bande de potes, les Zapôtres, une histoire d’amour totale, où il s’agissait de « s’aimer les uns les autres comme je vous ai aimé », en même temps qu’il vivait une relation fusionnelle avec le principe masculin du Père… que la vie de ce petit gars redis-je n’allait pas sans susciter quelques interrogations légitimes sur son hétérosexualité.

C’est vrai quoi ! En vérité, n’aimait-il pas avoir mal, avoir mal aux joues (une parabole) ? Pourquoi pas au cul ? En vérité ne partageait-il pas son corps entre ses potes ? « Ceci est mon corps ». Ben tiens ! Tu veux la voir ma parabole ?

Pourquoi sa mère le suivait-il de prés, inquiète qu’elle fût pour son devenir ? Pourquoi son père terrestre refusait-il de le voir ? Père qui ne fut même pas présent le jour de sa crucifixion. Pourquoi suscita-t-il à ce point, le courroux mortel des mêmes orthodoxes qui, y compris en usant du couteau et autres menaces, refusent chaque année de voir défiler la Gay Pride à Jérusalem ?

D’ailleurs en parlant de couteaux, pourquoi Jésus dit-il dans sa parabole de l’épée que son message d’amour était si radical qu’il en trancherait même les liens familiaux ? Un peu comme quand un fils ou une fille annonce son homosexualité à ses parents. Ça pour être radical et tranchant, c’est radical et tranchant.

Pourquoi Judas l’embrassa-t-il une dernière fois sur la bouche, si ce n’est pour manifester l’un de ces dépits amoureux capables de toutes les vilenies passionnelles ? Pourquoi des passants dirent-ils à Pierre, le « roc » préféré de Jésus, le soir de la trahison, « toi aussi t’en es, ça se voit à ta façon de parler et de t’habiller » ? Si c’est pas un Signe ça, de se faire traiter de folasse par la populace…

Pourquoi Saint Paul, qui travestit une grande partie du message du doux Jésus, pour ne pas l’avoir fréquenté de près, se sentit-il obligé dans l’épître aux corinthiens (6:9-10) de condamner certaines déviances sexuelles présentes chez ces premières communautés chrétiennes qui comme par hasard trouvèrent dans le monde grec leur principal lieu d’épanouissement ? Comme par hasard…

En vérité je vous le dis, je crois que c’est clair, non ?!?

C’est que je mets d’ailleurs au défi quiconque d’invalider catégoriquement cette hypothèse d’un Jésus Gay.

Quoique après tout, j’interdis qu’on le fasse car voyez-vous, tout cela me fut révélé, à l’instar de Saint Paul, par Jésus lui-même, qui m’apparut l’autre jour comme ça subrepticement. À moins que ce soit le Père ou le Saint Esprit, je ne sais plus vraiment. Ils se ressemblent tellement, à vrai dire, tous ces barbus de mauricos célestes.

Figurez-vous que des cousins du 9-4 m’ont invité, il y a quelques semaines, à un after-réveillon dans un futur ex-bar à chicha ou à chichon, je ne sais plus. En tout cas, le fait est qu’en allant uriner, sur ce parking de Villeneuve Saint-Georges, contre une carriole de marque coréenne, délicatement tunée aux couleurs du Portugal, vert décrépis à l’extérieur, grenade à l’intérieur, par l’un des rejetons mal intégré de cette communauté puisque n’ayant toujours pas assimilé le bon goût français, Jésus de Sousa ou de Nazareth, je ne sais plus, m’apparut.

« Quel con, je lui ai dit, t’aurais pas pu attendre que je finisse de pisser. Tu m’as fait dégueulasser mes Le-Coq-pensif toutes neuves. »

« Calme-toi, qu’il me dit ce bouffon, j’ai une bonne nouvelle à t’apporter, The bonne nouvelle ».

« Elle a intérêt à être plutôt bonne, ta blague, parce que sinon je te jure que j’te fais me laver les pieds mais aussi mes groles », que je lui ai répondu. Elle était bonne. Il a de la chance.

Pour ceux qui se refuseraient à cette lumière, je les invite à observer de prés, voir à toucher cette icône, on ne peut plus orthodoxe, que j’ai placé en illustration. Avouez-le, ne suscite-t-elle pas en vous comme une éruption de pensées jusque-là inavouables, de pulsions jusque-là latentes ? Oui, n’est-ce pas… « Doux Jésus ! »… Je veux bien le croire.

SIL de Nazaré

lundi 25 février 2013

Qui a dit que Barack n'était qu'un manche ?


Ce mec est vraiment incroyable. Epuisé par sa lecture de prompteur lors, non pas, du discours sur l’état de l’Union, mais plutôt de son programme de campagne électorale visant à effacer les républicains de la Chambre des représentants, au cours duquel il promit une hausse du SMIC digne d’un Mélenchon mais aussi de rattacher l’Europe à l’Amérique et de sauver le climat, ce qui a fait dire au président républicain de la dite Chambre, John Boehner, que « Barack Obama se prend pour un Père Noel qui présentera plus tard la note aux bénéficiaires de ses cadeaux »… épuisé, disais-je, par tout cela, il a jugé indispensable d’envoyer la mère Michelle et les filles faire du ski dans le Colorado et de se payer un petit week-end entre potes golfeurs.

A l’évidence, il avait besoin de tenir, tout le week-end durant, le long manche de son club, et d’envoyer des petites balles dures comme des glands de priapiques dans toute une série de petits trous, loin de sa femme. Une forme d’exutoire, sans doute lié à sa de plus en plus manifeste impuissance politique et aux très casse-couilles, pour ne pas dire castratrices, velléités de la mère Michelle. Sans oublier son impopularité croissante. Je comprends.

A l’inverse de la presse américaine qui n’a pas du tout compris et apprécié que Barack s’isole de celle-ci pour s’adonner à son petit plaisir solitaire. « Frustration » était le mot. Voilà qui est triste. Triste que des gens n’aient toujours pas compris à leur âge que la bienséance exige que l’on s’isole des regards pour s’adonner aux plaisirs solitaires.

Oui, je comprends que cette passion puisse le dévorer de plus en plus, au point que cet ami des classes populaires et moyenne tienne à se payer 8 heures de cours privés à 1000 dollars de l’heure, à mobiliser toute la logistique présidentielle, pour un coût global d’un million de dollars, afin de se disputer des trous, dans l’un des plus luxueux complexes de golf du pays, en compagnie de cet autre queutard notoire qu’est Tiger Woods.

Enfin, il y a tout de même un petit truc que je n’ai pas bien compris. S’il aime manier le manche pourquoi ressent-il le besoin de faire porter ses clubs par d’autres, comme ici sur la photo où l’on voit un brave fonctionnaire de la Maison Blanche ployant sous la charge présidentielle. Il a vraiment besoin qu’on la lui tienne ou qu’on le soutienne à ce point, le Barack ? Suis-je bête ! Bien sûr que non ! C’est là une façon de signifier à quel point ses sacs de golfe sont lourdement chargés. Fanfaron, va !

Petite question en passant : Eh ! Barack ! As-tu battu Tiger Woods ?

Silgmund

dimanche 24 février 2013

Comme une envie de sentimentalisme "neigeux"



" Étoile des neiges
                                                          Mon coeur amoureux
                                                           S'est pris au piège
       De tes grands yeux..."

Dendrite SILiforme

samedi 23 février 2013

Comment le social-étatisme corrompt le Peuple...


D’un côté il promet à la moitié du peuple dont il veut les voix pour parvenir au pouvoir, qu’il lui versera toujours plus d’argent qu’il prendra dans les poches de l’autre moitié.

De l’autre il cherche à rassurer cette dernière moitié en lui expliquant qu’il prendra cet argent de préférence dans les poches du haut du panier voire, si possible, dans des portefeuilles étrangers, ceux des entreprises et des investisseurs venus d’ailleurs…

SILibéral

vendredi 22 février 2013

Iran : Allah contre Bouddha


Après avoir contré de façon glorieuse la très néfaste influence occidentale en bannissant les poupées Barbie du sol iranien, le journal britannique The Guardian nous apprend que le régime barbu de Téhéran a décidé de repousser les menaçantes influences venues d’Orient, en confisquant les diverses statues de Bouddha qui envahissent depuis quelques temps les échoppes d’ameublement, et dont certains Iraniens se servent pour décorer leurs appartements.

Boudiou ! Il a vraiment peur de tout et n’importe quoi le petit Allah…

En l’occurrence, il a surtout peur que les Iraniens se rappelent qu’avant son invasion de la Perse, celle-ci avait connu l’influence du bouddhisme et l’avait influencée elle-même à travers l’iconographie. Le mélange d’élément grecs et perses ayant donné l’art gréco-bouddhique dit du Ghandara (image ci-dessus).

SILddharta

jeudi 21 février 2013

Des nouvelles cloches pour Notre Dame : les Femen


Soyons clairs ! Je n’ai rien contre le féminisme bouffeur de curés (eux non plus d’ailleurs vu que certains d’entre eux rêvent de se faire bouffer par de jolies féministes) et légèrement casse-noisettes. Par contre le gaminisme tendance canal hystérique, intrusif et bouffeur de couilles, loin de la léchouille agréable, tend de son côté à me courir sur le haricot.

C’est que je n’ai pas du tout apprécié, à l’image du Maire de Paris et autres personnalités de gauche comme de droite qui ont condamné l’invasion de la cathédrale Notre-Dame par des Femen à poil, cette forme de viol des convictions et de l’intimité spirituelle de gens venus dans cette maison chercher un moment de paix et non le conflit de quelque ordre que ce soit.

Tout comme j’ai fort peu gouté la plaidoirie de Caroline Fourest qui, en plus d’une très puérile façon d’attendre que les catholiques réagissent pour savoir quoi penser de cette affaire (l’exact opposé des catholiques, forcément), démontre une mauvaise foi suffisamment sacrée (façon de parler) pour qu’on lui sonne les cloches.

«Je l’avoue. Je ne savais pas quoi penser de l’initiative des FEMEN à Notre-Dame… à voir le déluge de réactions outrées, voire de vierges effarouchées, qui pleut à droite comme à gauche, on se dit que cet esprit frondeur reste décidément nécessaire, même dans notre pays… Nous avons plus que jamais besoin de blasphémateurs. Qu’ils se nomment Charlie Hebdo, Taslima Nasreen ou FEMEN.» (plus)

Caroline, ma jolie petite Caroline, à ton âge (le même que le mien à deux ans près), tu devrais tout de même savoir qu’il est une chose d’exposer des caricatures et des propos blasphématoires dans une livre et magazine que tout le monde n’est pas obligé de lire, et une autre d’aller les placarder sur la porte ou dans le salon de personnes qui n’ont pas envie de lire cela. Tout comme il est une chose de se balader à poil dans des lieux autorisés et un autre de rentrer tout nu chez des gens, de surcroit pudiques, en vociférant des insanités. C’est que nous n’avons plus 16 ans, Caroline, voyons !

De plus, chères Femen et Caroline chérie, en principe, l’intrusivité outrageante, le viol de la sphère physique ou spirituelle de l’autre, une féministe digne de ce nom devrait y être sensible, non ?

Aussi, que les Femen manifestent, en partageant avec nous leur joli sein des seins, et prêchent pour leur paroisse autant qu’elles le souhaitent, selon les modalités autorisées par la loi, mais de grâce qu’elles évitent de sombrer dans l’hystérie inquisitrice. Au mieux ça fait pitié, au pire c’est blessant !

Au passage, je remarque que nous ne les avons toujours pas vu faire leur petit numéro devant des prières de rue ou à la mosquée de Paris. Courageuses avec les brebis catholiques mais pas téméraires face aux boucs à barbe, n’est-ce pas ? Cela étant dit, qu’elles ne prennent surtout pas cette remarque pour une invitation. C’est que je tiens à leur intégrité physique moi !

Maurice de SILly 

mercredi 20 février 2013

Série "La rombière s’amuse"


J’ai cherché des photos de la copine de notre pésident, prises à l’occasion de sa récente visite officielle en Inde. Je me suis dit que le surclassement «en première dame» offert par les autorités indiennes avaient dû lui donner le sourire ou l’amuser un peu.

En fait non ! Comme à son habitude Valérie Trierweiler fait plus ou moins la gueule. De toute façon, même quand elle sourit, elle fait la gueule.

D’ailleurs je comprends mieux pourquoi elle avait prévenu qu’elle refuserait de jouer les premières dames traditionnelles, rôle qu’elle qualifiait de « potiche ».

C’était une forme d’honnêteté. De toute évidence, elle ne saurait incarner ce rôle. Un air coincé et balourd aggravé pas une absence totale de photogénie…

Capitaine MerSIL Stubing

mardi 19 février 2013

Petit message pour les scénaristes de la série "Castle"


Bon, les gars, il faut que je vous parle. Ou plutôt, suite au dernier épisode de la saison 4 de la série « Castle » diffusé lundi soir sur France 2, il faut que je fasse état d’une petite réclamation.

Non pas, bien évidemment, d’avoir enfin assisté à un échange aussi charnel que fusionnel entre la désarmante détective Kate Beckett, interprétée par la superbe Stana Katic, et l’écrivain Rick Castle

Depuis le temps que je pestais pour que Kate cesse de tergiverser et finisse par lui sauter au cou, j’ai accueilli leur fougueux baiser avec un soupir de soulagement. De vous à moi j’ai même failli cesser de regarder la série tant cette attente devenait aussi frustrante qu’agaçante.

Non, ma réclamation portera sur la scène où cette passionnante inspectrice a failli tomber du toit-terrasse d’un immeuble après une bagarre avec le vilain méchant qui veut sa peau, non pas pour clavier mais pour tapis de bain de sang.

Sur cette scène en question, on a vu Kate accrochée au rebord du toit, ne parvenant pas à se hisser ou à se déplacer latéralement en direction d’un balcon qui aurait pu rattraper sa chute. Or c’est impossible. Pourquoi ? Demander à l'autre incompétent de script-girl !

En fait, même si je sais bien que les jeans moulants qui lui vont à ravir ne sont pas ce qui se fait de plus adapté pour pratiquer l’escalade, et qu’une femme peut difficilement se hisser à bout de bras pour des raisons anatomiques, il se trouve que Kate Beckett possède dans son appartement des barres de traction. Or on la voit, au moins dans un épisode, faire de l’exercice physique à l’aide de cela. Par conséquent, elle était parfaitement en mesure de se déplacer latéralement en direction de la plateforme de réception, au lieu de se voir rattraper in extremis par ses collègues.

Cela m’aurait évité d’assister à une scène où j’ai craint le pire, et à mon taux de cortisol d’augmenter dans le sang de façon dramatique pour rien. Non mais !

SIL Castle


lundi 18 février 2013

« et si on lui laissait sa chance »


Samedi soir j’écoutais l’imam Hassen Chalghoumi ainsi que David Pujadas dans l’émission « On n’est pas couché » de Laurent Ruquier.

Parmi toutes les gentilles banalités bien de chez nous, David Pujadas nous a servi, avec toute l’autorité du speakerin de JT, qu’il « fallait laisser leur chance aux islamistes modérés » au motif « que l’exercice du pouvoir les amènera peut-être à la raison ».

Que Pujadas se rassure. Il n’est pas le seul à nous servir cette doucereuse tarte à la crème. Voilà en effet, bientôt une décennie que j’entends de très brillants esprits, aussi bien de gauche que de droite, nous jouer le couplet du « et si on leur donnait leur chance », que ce soit aux « islamistes modérés » de Turquie, de Gaza, d’Egypte, de Tunisie et d’ailleurs…

Par contre, en écoutant Pujadas, je me suis dit quelque chose de plus inédit. Jamais, au grand jamais, je n’ai entendu ces très tolérants donneurs de chances à des fascistes, qu’ils aiment à qualifier de modérés, affirmer qu’il fallait donner sa chance de gouverner à cette finalement très modérée fasciste qu’est Marine Le Pen.

Que l’on ne s’y trompe pas. Je demeure cohérent. Je continuerai de mettre tous les bâtons dans les roues que je peux aux tyranneaux antilibéraux de tout poil, d’ici comme d’ailleurs. Je demande juste que les Pujadas et autres sémillants politologues en fassent autant, en suivant leur désopilante logique jusqu’au bout, et en commençant par faire preuve de la même mansuétude à l’égard de Marine Le Pen (cette dernière pourra toujours me remercier avec une petite photo dédicacée :-) )…

SILgueiro Maia

dimanche 17 février 2013

Comme une envie de sentimentalisme "additionnel"


"Toi plus moi ; plus eux ; plus tous ceux qui le veulent..."

Histoire d'aider ce bon vieil Albert à peaufiner ses calculs, là où il est, pour la prochaine Saint Valentin...

SILbert Schrodinguer

samedi 16 février 2013

Oural : chute de météorite ou bombardement cinétique ?


Si l'on en croit certains esprits particulièrement "clairvoyants", ce que les médias mondiaux ont présenté hier comme étant une chute de météorite en Russie n’en serait pas une.

Vladimir Zhirinovsky, le célèbre leader nationaliste russe et tare de toutes les Russies, affirme, en effet, que cette chute de météorite au-dessus de l’Oural n'est rien d'autre que le résultat de tests d’une nouvelle arme américaine.

Sans doute un bombardement cinétique, consistant à envoyer depuis l’espace des corps inertes à très grande vitesse sur des cibles terrestres.

Un bombardement cinétique qui n’a pas fait beaucoup plus de victimes grâce à l’interception de celui-ci par les forces aériennes russes, d’après les déclarations d’autres « témoins ».

En fait, les théories alternatives à l’évidence météoritique n’ont pas tardé à pleuvoir elles aussi

Thierry MeysSIL

vendredi 15 février 2013

Obama consulte : il a le mauvais oeil !


- Bonjour Monsieur le Président, que puis-je faire pour vous ?
- Depuis que cette satanée mouche s’est posée sur mon troisième oeil, je ne suis pas certain d’avoir bon pied, bon œil.

- Ah bon, quels symptômes vous poussent à croire cela ?
- Et bien par exemple, hier, j’ai beau leur en avoir mis plein la vue avec mon discours sur l’état de l’Union, truffé de clins d’œil et autres appels du pied, en veux-tu en voilà, ils n’ont même pas daigné regarder ma prestation à la télévision. L’un des plus mauvais scores de l’histoire récente. Sans compter que c’était déjà plus ou moins le cas pour ma cérémonie d’investiture. A croire que les Américains ne peuvent plus me voir en pâture.

- Vu comme ça, en effet, il y a quelque chose de trouble à éclaircir. Et c’est tout ?
- Non, docteur ! Autre exemple. J’ai beau faire les yeux doux à tous les ennemis de l’Amérique, depuis l’Iran et les Frères musulmans, jusqu’à la Corée du Nord, et bien ceux-ci ne m’en crachent pas moins au visage…

- Monsieur le président, seriez-vous en train de me dire que vous vous êtes fourré le doigt dans l’œil ?
- Comment ça docteur ?

- Est-ce que cela vous fait mal au niveau de l’os occipital, pardon, à l’arrière du crâne ?
- Oui, en effet, pourquoi ?

- C’est bien ça, vous vous êtes fourré le doigt dans l’œil, bien profondément, sans doute pendant votre sommeil.
- Vous croyez ? Et que dois-je faire pour que ma vision politique se remette d’aplomb ?

- (soupir discret suivi d’un raclement de gorge) Vous allez commencer par me lire les lettres sous le chiffre 9 du clavier de votre téléphone, puis celles sous le chiffre 5 et 3 en commençant pas celles du chiffre 3 et en finissant par celles du chiffre 5 mais à l’envers… le tout en buvant un peu d’eau entre les deux séries de lettes 9 et 5…
- (lecture des lettres, désaltération, lecture des lettres) Voilà docteur.

- Comment vous sentez-vous ?
- Beaucoup mieux docteur. J’y vois beaucoup plus clair. Comment avez-vous fait ?

- Disons, Monsieur le président, qu’il suffit de poser le bon diagnostic. N’hésitez pas à me rappeler si le besoin se faisait sentir.
- Merci beaucoup docteur et à bientôt… Michelle ! Viens voir. Ça va beaucoup mieux. Ton « eagle eyed » (regard d’aigle) chéri est de retour ;-)

John Portuguese SIL-lips

jeudi 14 février 2013

Saint Valentin : "tout est relatif"


Ce bon vieil Albert a raison. Il n’est pas toujours facile de comprendre les femmes ou de savoir comment leur faire plaisir pour la Saint Valentin.

Remarquez, Einstein n’avait pas forcement choisi la bonne théorie pour modéliser le « sexe faible ». Non pas que la théorie de la relativité ne permette pas d’aborder la question de façon convenable, vu tout ce qui peut s’avérer relatif chez la femme, mais elle n’explique pas tout et surtout ne dévoile pas toutes les inconnues de l’équation féminine.

En vérité, Einstein aurait dû essayer avec la théorie du chaos et autre modèles issus de la physique quantique. Car force est de constater que la femelle sapienne-sapienne est l’un des rares êtres à pouvoir se trouver dans deux états opposés en même temps :

Solide et gazeuse, triste et joyeuse, sincère et menteuse, comblée et insatisfaite, calme et prise de tête, belle et moche (ou plutôt, bien que belle, elle ne s’en trouve pas moins moche), géniale et cruche, folle et sage, volcanique et glaciale, amoureuse et tueuse…

SILbert Schrodinger

mercredi 13 février 2013

Parce que c'est ainsi qu'Allah est grand



Parce que Cupidon fiche toujours autant la trouille au petit Allah, nous aurons droit cette année encore aux mêmes manifestations hystériques contre la Saint Valentin de la part des serviteurs de la divinité désertique susvisée :

Des étudiants pakistanais manifesteront contre cette fête au nom de « la décence » ; des islamistes indonésiens stigmatiseront « cette culture des infidèles » ; des Salafistes égyptiens édicteront une fatwa contre la Saint-Valentin et appelleront au boycott ; et nouveauté 2013, des « soldat d’Allah » pirateront le site de la Commission scolaire catholique d’Ottawa pour y inscrire un joli message d’Amour, de Tolérance et de Paix islamique, « Fuck la St Valentin ». Charmant !

Toutes choses qui n’empecheront pas un nombre conséquent d’amoureux du monde musulman de fêter l’Aïd de l’Amour, y compris en se servant d’Internet pour le faire

Que voulez-vous, l’amour trouve toujours son chemin…

SILove Symbol

mardi 12 février 2013

Astrologie chinoise : l'année du serpent nucléaire



Essai d’une bombe atomique « miniaturisée et légère » d’environ « 7 kilotonnes » (la moitié de la puissance de celle qui a détruit Hiroshima), qui au passage risque de donner des ailes au programme nucléaire iranien, pour répondre à une soi-disante "agressivité américaine" , le tout accompagné de la mise en alerte des  forces militaires du pays, leur demandant de se préparer "à combattre l’ennemi et à accomplir l’oeuvre historique de réunification du pays" …

Et si 2013 était celle du serpent nucléaire nord-coréen ? Voilà en tout cas, une année du serpent qui ne commence pas vraiment sous les meilleurs auspices…

SILao Tseu

lundi 11 février 2013

Nom de Zeus !


Parmi les toutes dernières réactions à la renonciation de Benoit XVI, la plus attendue d’entre elles, celle du Ciel, ne s'est pas faite attendre. Boudiou !

De fait, la foudre s’est abattue sur le dôme de la basilique Saint Pierre de Rome au Vatican témoignant ainsi d'une humeur celeste quelque peu orageuse. 

Frère SILas

En bonus : la question qui agite le landerneau : La foudre est-elle vraiment tombée sur Saint-Pierre de Rome hier soir ?

dimanche 10 février 2013

Comme une envie de sentimentalisme cosmique




"Ne partez pas sans moi... laissez-moi vous suivre... 
vous qui volez vers d'autres vies... 
sur des soleils et des planètes d'Amour..."

SILine Dion

samedi 9 février 2013

La privatisation de la conquête spatiale est en marche



Si la conquête spatiale, à l’image des premières campagnes de découvertes du Nouveau monde, nécessitera pendant quelques temps encore l’appui et le financement d’Etats puissants pour des raisons liées à l’aspect hasardeux de ce genre d’expéditions, j’apprends avec bonheur que l’aspect hasardeux s’estompe suffisamment pour que des compagnies privées telles que Boeing et d’autres projettent de repousser nos frontières et d’exploiter les ressources spatiales…

1) La célèbre compagnie d’aviation Boeing vient de dévoiler ses projets de vaisseaux spatiaux destinés à l’exploration de la planète Mars : les vaisseaux Boeing combineraient la capacité de levage des fusées SLS, l’essor des technologies de champs électriques de propulsion, et des modules d’habitat gonflables. Eh Serge (Dassault) quand est-ce que tu te (nous) lances ?!

2) La société Deep Space Industries (DSI), créée fin janvier 2013, a annoncé son intention de donner vie à l’une de mes rêveries spatiales, celle d’envoyer des unités robotisées extraire des métaux et autres matériaux sur des astéroïdes. L’entreprise a en effet révélé son intention d’utiliser les ressources exploitées afin d’améliorer et enrichir la vie sur Terre et de poursuivre l’exploration humaine de l’espace.

Et ce n’est qu’un début. Attendez de voir Total ou d’autres firmes industrielles installer des raffineries géantes sur Titan, cette lune de Saturne recouverte d’océans d’hydrocarbures…

Sinon au rayon rêveries cosmiques, figurez-vous que lorsque je regarde l’image ci-dessous de notre galaxie, et que je tiens compte du fait que dans l’espace, le chemin le plus court n’est pas forcément une droite mais une courbe, je rêve de canons galactiques capables de propulser de façon plus ou moins "balistique" et à la vitesse du feu de Dieu des vaisseaux en tous points de la galaxie par-dessus l’axe horizontal de la Voie lactée afin d’échapper aux forces gravitationnelles qui grouillent la dessous… pour ceux qui voient ce que je veux dire. Par conséquent, si une armada d’ingénieurs pouvait plancher sur le sujet, ce serait sympa !

SILuc Skywalker



vendredi 8 février 2013

Pendant ce temps-là en Antarctique : les dents de la mer



- Ah ouais ! Quand même…
- Je vous l’avais bien dit, docteur Manchot, que j’avais mal. Je crois que j’ai abusé des crevettes. C’est tellement doux.


- Par toutes les dents de la mer, il est vrai que nous voilà devant un très beau cas. Je comprends mieux votre rage.
- Vous pensez pouvoir faire quelque chose, Docteur Manchot ?

- Disons Monsieur Léopard que vous avez toutes les molaires cariées. Ça va être difficile de tout arracher d’un coup. Il faudrait que l’on s’y mette à plusieurs. Sans même compter qu’une telle opération risque de vous couter un bras.
- Plusieurs. Très bonne idée, ça, docteur Machot. Je vous attends là…


SILs Olav

jeudi 7 février 2013

Tiger Lily : desperate bobogirls



Il n’y avait rien de bien à la télé hier soir. Il n’y avait surtout pas de nouvel épisode de mon « unforgettable » nouvelle héroïne interprétée par Poppy Montgomery (découverte dans « FBI portés disparus). Et comme je n’avais pas envie de me taper la trogne d’acteur de film d’horreur du sieur Ribery pendant 90 minutes, avec ma femme nous nous sommes laissés porter par la curiosité. Nous avons décidé de plier le linge des marmots devant un épisode de la nouvelle série made in redevance, la susnommée « Tiger lily » : les petites histoires de quatre anciennes acolytes d’un groupe rock des années 80.

Tu parles d’une découverte. Il ne nous a pas fallu 30 minutes pour nous rendre compte qu’il s’agissait d’une pâle copie à la sauce franchouillarde de la série culte américaine «Desperate Housewives ». De moins du côté personnages :

Une rouquine, genre bcbg, aimant le tir sportif, engoncée dans une vie familiale qui l’insupporte avec un mari aux tendances sado-masos ; bonjour le copier-coller de l’inoubliable Bree Van de Kamp ! Une Lio au visage bien plus fado que rock ‘n’ roll, campant le rôle d’une exécutive woman lesbienne à l’âge du bilan, un peu comme si on avait mélangé Lynette Scavo et Gabrielle Solis. Mais aussi une espèce de Susan décolorée aussi immature que la Susan en question. Et un personnage plus original ou plutôt bien de chez nous, celui de la vieille grosse adolescente qui n’arrive pas à sortir de sa coquille de rebelle à deux balles.

Côté narration, on peut dire par contre que la comparaison avec la série américaine n’y est vraiment pas.

C’est lent, chiant, poussif. L’intrigue est inexistante et la qualité des images est déplorable. On dirait un film amateur tourné au caméscope VHS (une référence pour les plus de 30 ans). Sans même parler des personnages secondaires, et surtout masculins, tous plus ternes et ridicules les uns que les autres…

J’oubliais. Il y a bien une autre différence entre Tiger Lily et Desperate Housewives. Je n’ai jamais eu à débourser le moindre centime pour regarder l’excellente série américaine à la télévision alors que de toute évidence j’ai financé via la redevance cette série B que je n’ai pas l’intention de regarder de nouveau. Du coup I want my money back !

SILily le Tigrou

mercredi 6 février 2013

Le « Printemps arabe » demande du temps



C’est pas faux… à ceci près qu’à l’époque, il n’y avait aucun pays en avance sur nous… les avancées c’etait nous qui les faisions… au fur et à mesure… alors, de grâce, ne perdez pas de temps…

SILimalikoum mes soeurs et mes frères

mardi 5 février 2013

La tyrannie enflée du cul de Débile Duflot



Considérant que de faire l’effort de parler correctement à certains déchets humains non recyclables, revient à donner de la confiture à des cochons, mais pire, constitue une forme d’insulte pour tous les humains méritants à qui on réserve un banal langage « normal », je propose de parler de Cécile Duflot de la seule façon qui convient à ce genre de petite fafounette de gauche.

Figurez-vous que j’apprends coup sur coup que cette sombre courge bio propose deux mesures aussi mesurées que sa cervelle pour l’intelligence de celles-ci, et que son derche pour la dimension de l’enflure d’icelles.

Dans la première, chiée il y a de ça quelques semaines, elle demandait à ce que les gens dénoncent les propriétaires dont les logements demeurent vacants, histoire de pouvoir établir des listes de biens à réquisitionner. Sans parler, comme certains, d’un retour aux heures les plus sombres de notre histoire, je me contenterai de constater que pour ces cajots à compost, la fin justifie tous les moyens à leurs portée.

Dans la seconde, sous prétexte que l’on confisque les véhicules des chauffards coupables de délits de très grande vitesse, elle envisage la confiscation des biens immobiliers des « propriétaires voyous » qui louent des logements insalubres à des prix exorbitants.

Car bien évidemment, très méprisable Débile Duflot, un appartement est susceptible de devenir une arme par destination ou capable de tuer involontairement si utilisé imprudemment.

Car bien évidemment, c’est de la faute de ces propriétaires, aussi indélicats que méprisables, qui exploitent la pénurie, si des gens ne trouvent pas à se loger, et non du fait de politiques du logement inadéquates, sans oublier ce foutoir migratoire, cher aux internationalistes rouges et verts, qui fait entrer chez nous des centaines de milliers de personnes que nous ne sommes pas en mesure de loger décemment.

Moralité les idées de Débile Duflot sont bien à son image. Boudiou ce qu'elle est laide !

Sinon, je constate également que les velléités tyranniques de cet immonde ectoplasme escrologiste qu’est Duflot n’appellent pas le moindre recadrage de la part du Premier ministre ou de notre président. « Normal » quoi !

Je sais bien qu’à force de les voir déverser des torrents de bouse conceptuelle, on finit par ne plus trop faire attention aux dégueulis de ces boules de pus, mais enfin tout de même…

Sil de la Tourette

lundi 4 février 2013

Le Triomphe de Franciscus Batavus Germanicus Opulentus Malius



Reprenant le slogan de sa royale ex-femme, voici notre président volant de victoire en victoire.

C’est qu’en à peine six mois de leadership, l’imperator Franciscus Batavus a défait les velléités hégémoniques du Saint Empire Germanique ; est parvenu à bouter les riches hors de France et vient d'effectuer une entrée triomphale à Tombouctou où le premier des nouveaux mausolées reconstruit sera dédié à ses premières reliques : des bouts d’ongles, une dent de sagesse arrachée pour l’occasion et deux trois cors au pied qui trainaient.

« Rendez-vous est pris pour de nouvelles victoires… »

Caius SILlustius Crispus

dimanche 3 février 2013

Comme une envie de sentimentalisme "toutes voiles dehors"




"Sailing... Takes me away... 
To where I've always heard it could be...
Just a dream and the wind to carry me...
And soon I will be free..."

Mais aussi :




samedi 2 février 2013

Vendée Globe 2013 : et pourquoi pas un tour d’honneur



Je profite de l’arrivée à bon port, demain, du vainqueur du Vendée Globe (François Gabart ci-dessus), pour aborder un point qui ne saurait rester plongé plus longtemps dans le monde du silence.

Dans le milieu maritime, il y a deux écoles, celle de l’argent et celle de l’honneur. Du moins si l’on en croit ce célèbre échange entre Surcouf (1773-1827), intrépide marin français ayant fait fortune dans la course, et un officier de la marine anglaise. « Enfin, Monsieur, avouez que vous, Français, vous battiez pour l’argent tandis que nous, Anglais, nous battions pour l’honneur… » Réponse de Surcouf : « Certes, Monsieur, mais chacun se bat pour acquérir ce qu’il n’a pas. »

Or comme ce ne sont sûrement pas les modestes sommes promises à nos vaillants concurrents qui attesteront l’appât du gain chez nos marins d’eau lourde, bien que certains s’en plaignent un peu, il est évident qu’ils risquent leur vie dans ces courses pour l’honneur ou les honneurs. C’est là qu’il y a un problème.

Dans tous les sports honorables, le vainqueur se doit d’offrir au public un tour d’honneur. Que l’on ne le réclame pas aux concurrents du Tour de France pour les raisons d’honorabilité susvisées et afin de leur éviter une surconsommation de produits aux effets stupéfiants, je le conçois. Ce qui n’est pas le cas s’agissant des concurrents du Vendée Globe. En effet, je ne vois vraiment pas ce qui les autorise à déroger à ce code de l’honneur sportif.

Alors, Monsieur François Gabart, puisque c’est vous le vainqueur, il vous revient de nous offrir une petite circumnavigation d’honneur. Rassurez-vous, personne ne vous demande de battre un quelconque record. N’allez pas risquer votre peau et la coque de votre voilier en or MACIF en fonçant tel un poisson volant. Nous vous autorisons à faire toutes les escales publicitaires qui vous permettront d’honorer les engagements commerciaux pris envers votre sponsor. Une bonne façon de susciter des vocations de mécènes, et donc celle aussi d’intrépides marins, pas assez honorés à mon goût, et ce même s’il m’arrive de faire beaucoup mieux qu’eux ;-)

Aussi, je vous laisse jusqu’à l’arrivée du dernier concurrent pour vous dégourdir les jambes, honorer votre femme, et vous préparer à ce dernier devoir…

René Robert Cavelier de La SIL