vendredi 31 mai 2013

La semaine cannoise vue d'ici : encore un fabuleux festival de canneries


Maintenant que le film, « La vie d’Adèle« , mettant en scène l’un de mes fantasmes à remporter la palme d’or (vous ne saviez-pas que j’étais lesbienne ?) passons à ce qui aura vraiment marqué le festival de Cannes 2013.

Leonardo DiCaprio, campant le rôle principal dans Gatsby le Magnifique, n’aurait pas plu à Cara Delevingne, jeune porte-manteaux de son état, qui l’a trouvé trop vieux mais surtout trop insistant. Celui-ci a en effet passé une soirée à lui courir après sans succès. D’aucuns diront même que, malgré toutes ses techniques d’abordage et d’évitement, celle-ci s’est comportée comme un véritable iceberg. Résultat : touché coulé. En même temps, ce n’est pas faute de l’avoir prévenu qu’il avait pris un air un peu bouffi depuis son Inception. Décevant !

Afida Turner, l’une des taches de la télé réalité, s’est fait nettoyer comme une vulgaire bouse du tapis rouge du festival de Cannes sur lequel elle cherchait à faire briller sa parfaite insignifiance. Rendue furieuse par l’outrage, elle passe son temps, depuis, sur sa page facebook, à insulter et menacer tous ceux qui se gaussent, non pas en français mais plutôt dans la langue de volière. Même un singe, tapant au hasard sur un clavier, n’écrirait pas aussi mal.

Histoire de rester dans le règne animal, signalons que Myriam L’Aouffir, que certaines langues demi-mondaines ont traité de pouffe du PAF alors qu’elle en est plutôt l’une des meneuses de revue, a eu l’amabilité d’emmener promener « l’homme cochon », alias DSK, de toute évidence, de nouveau en rut, sur le tapis rouge du festival de Cannes. Il nous faut croire que la couleur fait autant d’effet sur les suidés que sur bovidés. Ceux qui connaissent Madame L’Aouffir ne seront pas vraiment surpris. Cela fait de nombreuses années qu’elle occupe son temps libre à des œuvres humanitaires, notamment en matière d’éducation en milieux rural ; ceci expliquant cela…

Toujours au chapitre grandes dames, ceux qui ne le savent pas encore, apprendront que dans un très élégant effort visant à sauver sa superbe robe d’un tapis gorgé d’eau, Eva Longoria a dévoilé son intimité à l’œil des cameras (image par ici). Voilà ce que l’on appelle le sens du sacrifice. Mais ce n’est pas tout puisque des yeux aussi exercés que pervers ont remarqué que l’extrémité de sa garniture menstruelle était tout aussi visible, ce qui n’a pas manqué de nourrir les sarcasmes de certaines vilaines jalouses. Or elles ne devraient pas. Car au risque de leur apprendre une dernière chose, il va de soi que les bombasses (mot entré dans le dictionnaire), grenades et autres beautés particulièrement explosives ne vont pas sans la goupille qui permet de les amorcer lorsqu’on tire dessus…

Les cahiers du SILnéma

mercredi 29 mai 2013

Climatologie : la thèse de l’exil solaire


La théorie de l’exil solaire causé par la politique fiscale de François Hollande : enfin une thèse scientifique une peu plus convaincante que celle du réchauffement climatique global d’origine anthropique…

Professeur TourneSIL

lundi 27 mai 2013

Festival de Cannes : la palme d’or va à ‘Flamby le magnifique’


Sans doute le film du moment, campant l’histoire des années folles, celles de l’étatisme débridé et du socialisme insouciant, qui précéderont la grande récession…

Les Cahiers du SILnéma 

dimanche 26 mai 2013

Comme une envie de sentimentalisme 'gayternel'


En ce jour où la "Manif pour Tour" manifeste contre la mariage homosexuel avec ses raisons (voici les miennes), je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée pour le pédé que le monde entier (moi y compris) aura sans doute le plus aimé (après Jesus bien sûr).

Freddy fais-tu danser les anges ?

vendredi 24 mai 2013

La semaine vue d’ici : trop vénère !



Dimanche 19 mai : Marine Le Pen se pète le fion. Malgré le froid ambiant, l’autre allumée du Front National, tout feu tout flamme, a voulu piquer une petite tête dans sa piscine, afin de se rafraichir les idées. Cul par-dessus tête, comme à son habitude, elle a finalement plongé le fessier en premier, dans une piscine à sec, nouvelle illustration, s’il en fallait, de ses capacités de discernement mais aussi de clairvoyance. Une vraie visionnaire ! Une chute qui aura finalement fait autant de dégâts que si elle avait plongé tête la première. Minimes. Signalons toutefois que certains voient dans le fait de se péter le fion le jour de la promulgation de la loi sur le mariage homosexuel, une forme d’acte manqué ou plutôt réussi, si vous me suivez, pendant que d’autres se demandent si le Front National est un parti bien articulé. Nabila, dont la poitrine plait beaucoup à Jean-Marie Le Pen, aurait contacté Marine pour lui dire « à l’eau ?! Non mais à l’eau quoi ! ».

Lundi 20 : je vais finir par croire que François Hollande est maudit des dieux. Après un an de présidence, il pleut encore et toujours, y compris en ce jour de pentecôte où l’on célèbre la descente du Saint-Esprit sur les apôtres sous la forme de langues de feu. Voilà des espoirs fraichement douchés.

Mardi 21 : trop vénère par un temps à se tirer une balle, le nationaliste Dominique Venner aurait décidé de fêter la pentecôte à la sauce païenne en se brûlant la cervelle dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. D’autres avancent la thèse selon laquelle ce national-marxisant, amateur d’Histoires blondes, se serait suicidé à la mode du troisième Reich. A force de vivre vénère, il aurait fini par entrer en Führer et par conséquent se terminer comme lui. Personnellement, il n’y a que le choix du bunker que je trouve déplacé.

Mercredi 22 : des Femen à poil ont de nouveau envahi la cathédrale Notre Dame, cette fois-ci pour maudire Dominique Venner et le vouer aux flammes de l’Enfer. Drôles d’inquisitrices. C’est devenu un vrai bordel cette cathédrale…

Jeudi 23 : pendant ce temps-là, le pape François, histoire sans doute de tenter de masquer son passé particulièrement conciliant à l’endroit de la très réelle dictature argentine, continue de conspuer la pseudo-dictature de l’argent. Certes, je sais bien que l’autre gauchiste galiléen qu’était le Christ a dit qu’il serait « plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume des cieux », cependant je me permettrai  de rappeler au petit François que pour tout bon catholique « la jalousie est un vilain défaut ». A moins que ce sud-américain ne soit possédé. Chavez, sors de ce corps !

Vendredi 24 : tiens, histoire de rester au rayon fascistes bien réels et de conclure avec, signalons que nos nouveaux-observateurs, naïfs comme peuvent l’être pas mal de gens de la ville un peu gauches, viennent d’inventorier une nouvelle espèce, celle du loup solitaire qui chasse en meute. Je parle des loups islamistes qui semblent s’être donné pour mot, celui de sortir du bois afin de s’attaquer à nos bergeries…

mercredi 22 mai 2013

Quand le racisme fait enfin des progrès


Il y a des jours comme ça où je demanderais volontiers à une fille belle et intelligente (#), du genre Claudie Haigneré ou Elisabeth Badinter, de bien vouloir personnifier la Science rien que pour pouvoir lui appliquer un baiser florentin aussi fougueux qu’attentionné. Ah la Science, cette si délicieuse coquine.

J'apprends en effet que le 7 mai 2010, la revue Science a publié une étude de l’Institut d’anthropologie Max Planck (Leipzig, Allemagne). Cette étude qui invalide d’autres recherches produites précédemment par le même institut affirme qu’il y aurait « quelque chose en nous de Neanderthalensis ». Entre 1 et 4% des gènes de l’homme actuel proviendraient de l’homme de Néandertal. Ce croisement se serait produit il y a 60 000 ans au Proche Orient, l’une des zones de peuplement du Néandertal (qui couvrait alors l’Europe et l’ouest de l’Asie), lors du « Out of Africa », la phase d’expansion et de sortie d’Afrique de nos ancêtres. 

Mais ce n’est pas tout. Des études génétiques comparatives permettent de retrouver ces traces néandertaliennes chez tous les sapiens-sapiens modernes, exception faite des Africains. Et c’est là que la science se fait coquine.

Car d’un point de vue raciste, nous pouvons donc considérer que l’Africain reste à ce jour le seul sapiens-sapiens de race pure et que le reste de l’humanité n’est qu’un vaste ramassis de métèques et autre batakweks. Avec une mention toute particulière pour les dégénérés de « race aryenne ». Quand on sait que le nom d’homme de Néandertal provient des premières découvertes de cet hominidé en Allemagne, il y a en effet de quoi leur faire perdre pas mal de places dans la hiérarchie raciale. 

Le plus drôle étant la découverte sur des sites d’extrême-droite de joyeux racistes (ancienne école) pour se féliciter de cette trouvaille scientifique. Comme quoi ce métissage plus ou moins désiré (« le rapt des Sabines », une vieille coutume humaine) expliquerait sans aucun doute la si belle et si pure supériorité raciale des Eurasiens. Mortus ridendo ! Voilà nos racistes devenus des puristes du métissage. Sacré Homo stupidus ! 

Homo sapiens-sapiens-neanderthalenSIL

(#) Je trouve, en passant, qu’il manque à ce jour un classement FHM, Vanity Fair ou autre, du type « les 100 plus belles femmes intelligentes du monde ». C’est vrai ça ! Pourquoi postériser essentiellement du postérieur de gourdasse alors que des femmes belles et intelligentes, donc doublement magnétiques, ce n’est pas ça qui manque ?

lundi 20 mai 2013

Islam-Occident : vos histoires de Blancs nous emmerdent profondément


Franchement, ce n’est pas toujours évident d’avoir une personnalité atypique. Je vous l’assure, les êtres complexes n’ont pas toujours une vie simple. Heureusement que je possède un Moi non dénué de caractère, qui écoute son Surmoi à peu près quand il le faut, sait mettre son Ça au pas, et organise comme il convient les prises de paroles au sein de mon génome. 

Sacré bordel que mon génome ! À titre d’exemple, mon sang marrane m’encourage souvent à m’enrôler dans Tsahal, surtout lorsqu’il tombe sur des photos de jolies Israéliennes en uniforme ; mon sang suève et wisigoth veut boire de la bière, ce que mes globules made in Macao ne supportent pas ; mon génome galicien ne pense lui qu’à bouffer du Romain ou mettre les voiles sur les côtes irlandaises ; et aujourd’hui c’est une autre partie de moi-même qui réclame la parole. Soi-disant qu’on l’entend rarement (la dernière fois, c'etait ici). 

Ah mes pleurnichages africains…

Oui, c’est de mon sang noir dont il s’agit. C’est que je suis un Babtou au sang bantou, moi ! Sachez en effet que les Portugaliciens font partie des peuples européens possédant le plus fort taux de gènes subsahariens. « Le Portugal, le pays où le noir est couleur ». De quoi expliquer notre petit cul musclé. Le petit cul seulement puisque la proéminence du vit africain est en fait un cadeau des Portugaliciens, offert dans le cadre de nos échanges cuculturels et autres effets positifs de la colonisation… 

Comment ça je « divague ». 

Apprenez messieurs dames que les toutes dernières recherches anthropologiques menées au sein de l’université de Tombouctou viennent de mettre fin à un angoissant mystère. L’ouverture des archives de la célèbre mosquée Djingareyber de Tombouctou, où s’y trouvent conservés de précieux parchemins datant des premières incursions musulmanes au Mali, a notamment permis l’accès aux données anthropomorphiques compilées par les négriers arabes. Figurez-vous que ceux-ci avaient effectué plusieurs recensements des tribus africaines par taille pénienne. Nos négriers voulaient des esclaves noirs certes, mais avec un membre central pas trop grand, histoire que même émasculé, il ne leur fiche pas la honte par la taille de l’appendice qui subsistait. Or il apparaît, d’après ce catalogage effectué courant XIVe siècle, que les hommes des tribus des côtes de Guinée disposaient alors d’un membre mesurant en moyenne 13 centimètres. Ces données ayant été perdues un temps, suite à une tempête de sable, une nouvelle enquête fut conduite au XVIe siècle par le célèbre explorateur Ibn Bitoun. Et là, étonnamment la moyenne pénienne chez les mêmes tribus côtières était passée à 18 centimètres. Une étrangeté pour les universitaires actuels. Un mystère qui vient d’être levé après qu’un chercheur particulièrement brillant a eu l’idée de superposer la carte des pénis avec celle des comptoirs portugaliciens. Bingo ! Là où les Portugais s’étaient installés, la taille de zizis locaux avait connu une très forte croissance. Voilà pour la petite, que dis-je, pour cette grande histoire.

Bref, mon sang noir réclame la parole. Il la réclame pour vous faire savoir qu’il en a marre. Car après mûre réflexion, celui-ci vient de se rendre compte que finalement Européens et Arabes, malgré les quelques décalages temporels et spatiaux, c’est kif kif. Les Arabes ont beau afficher un teint plus hâlé, il n’en reste pas moins que tout ça c’est blanc tout pareil. Blanc bonnet et bonnet blanc. Blanc tout pareil avec le même genre d’ambitions universalistes à la con.

L’universalisme chrétien puis un autre dit « civilisateur » du côté des Européens. De l’autre, 14 siècles d’un universalisme arabo-musulman, devenu depuis quelque temps de plus en plus agressif, ce qui se passe au Darfour étant un exemple parmi d’autres. 

L’islam, encore une idée de Blancs, servant d’excuse pour nous coloniser, nous assimiler chez nous, nous faire abandonner nos langues pour l’Arabe. Des Arablancs qui encore une fois nous enjoignent d’admettre leur vérité pour seule vérité et exigent que nous nous tournions vers leur capitale, cinq fois par jour, face contre terre, afin de remercier leur divinité psychopathe, chose que même les Européens n’avaient ni exigé ni obtenu de nous. 

Donc, oui, messieurs les Blancs, Arabes et autres, Arabes surtout, les autres nous foutant la paix depuis quelques temps, vous nous emmerdez profondément. À plus forte raison que vos délires universalisto-galactico-mégalos vous mèneront encore une fois vers une confrontation généralisée entre Blancs et à laquelle nous serons priés de participer. En somme, encore une guerre de Blancs qui va virer au conflit mondial. Sincèrement, on ne vous remercie pas. 

Sérieux, vous ne voudriez pas nous foutre un peu la paix, hein ; nous laissez nous faire coloniser par quelque chose d’un peu plus exotique que du Blanc-cassé. Par du Chinois par exemple. Oui, je sais, cette manie que nous avons de nous faire coloniser c’est un brin stupide, je vous l’accorde. Cependant ce n’est pas une raison par vous incruster encore et toujours. C’est que beaucoup d’entre nous sont désormais favorables à la colonisation choisie plutôt que subie. Donc, tenez-vous le pour dit. Les seuls Blancs que nous acceptons volontiers sont les Berbères, nos Blancs à nous, nos Blancs autochtones d’Afrique du Nord, ainsi que les Blancs d’Afrique du Sud, des Blancs qui acceptent enfin d’être gouvernés par des Noirs. Les colons arabes sont donc priés de faire comme les Européens en leur temps, c’est-à-dire retourner dans leur métropole d’origine, l’Arabie. Oui Messieurs les Blancs, laissez-nous avec les Chinois. La colonisation chinoise, ça c’est l’avenir. 

SILka SILou

vendredi 17 mai 2013

La semaine vue d’ici : même pas peur d'abord !


Dimanche 12 mai : toi d’abord ! Face au martyre que rencontrent les populations chrétiennes dans un monde musulman sous poussée islamiste, le pape François a décidé d’adresser un message particulièrement fort. Il a canonisé 800 martyrs chrétiens halallement dépecés par les troupes ottomanes en 1480 pour avoir refusé de se convertir à l’islam. Faute d’envoyer ses gardes suisses protéger ou entrainer les minorités chrétiennes à la guérilla, le mieux est de leur promettre le paradis. C’est déjà ça… Tiens ! Je suis étonné de voir que les autorités musulmanes n’ont pas hurlé à l’islamophobie. Preuve que son message est sans doute resté parfaitement inaudible. Ce qui n’est pas plus mal. Je préfère que les chrétiens d’Orient s’exilent en Amérique plutôt qu’ils ne nourrissent les vers des terres islamiques.

Lundi 13 mai : sans peur et sans reproches. Je me suis levé de très bonne humeur ce lundi matin. Surtout après avoir entendu ce repris de justice qu’est Harlem Désir défendre l’honneur du parti Socialiste en condamnant la sortie de Jérôme Cahuzac dans son fief, qui tâtait le terrain en vue de la législative partielle qui approche. Qu’il est fendard d’écouter Désir parler de lucidité, d’honneur, et plus encore. Un peu comme si Marc Dutroux faisait la leçon à DSK en matière de vertu sexuelle….

Mardi 14 mai : Paris a peur. Malgré des images on ne peut plus claires ou plutôt foncées, certains socialistes, estiment que les cranes râpés de banlieue que l’on voyait tout casser ce lundi au Trocadéro étaient plutôt des crânes rasés d’extrême-droite instrumentalisés par la droite parlementaire. Je sais bien que le réchauffement climatique est à l’œuvre, en ce très glacial mois de mai, aussi bien pour chauffer les esprits que pour bronzer nos fafounets de souche, mais tout de même, faudrait pas exagérer. Encore que, à force de revoir et écouter les images, il m’a semblé percevoir un accent marseillais dans le son que produisaient les bris de vitrines. Ce qui m’a fait penser la chose suivant. Et si, plutôt que d’un complot de droite, nous avions assisté à une conjuration ourdie depuis la cité phocéenne. Après tout, leur cri de guerre, n’est-il pas «Paris ! Paris ! On t’enculeuh !». Voilà qui est fait.

Mercredi 15 mai : N’ayez pas peur ! Un curé avignonnais s’est fait tabasser par quatre racailles du coin dans l’enceinte de son centre paroissial. Bien plus inquiets pour l’état de l’image de leur religion (ils ne devraient pas ; elle peut difficilement être plus défigurée) que par l’état de santé du curé en question, les autorités musulmanes ont fait savoir que rien ne permet de conclure à une agression christianophobe d’obédience islamique et que le premier qui serait tenté de le faire se verrait trainer devant les tribunaux pour islamophobie. Euh, et si, à tout bien considérer, dans un sens, ils avaient raison. Après tout, rien ne nous permet d’affirmer que ces jeunes racailles élevées de façon amateure dans la haine islamique de tout ce qui est infidèle ont commis cette agression infidélophobe dans les règles de l’art islamique. Gageons que leur passage par la case prison leur permettra de bénéficier d’un endoctrinement islamique d’une bien meilleure qualité, histoire de nous permettre enfin de qualifier leurs prochaines exactions d’authentiquement islamiques.

Jeudi 16 mai : Peur de l’argent. Le pape FranChe, pardon, François, s’est de nouveau illustré, en se lançant dans un discours gauchiste contre « la dictature économique et le fétichisme de l’argent ». Ah ces François… encore un qui préfère le fétichisme du pouvoir suprême au fétichisme de l’argent ; qui se paye de mots faute de s’illustrer par des actes utiles ; qui vomit la seule chose qui arrache très concrètement toujours plus de gens de cette pauvreté qui assure une partie du pouvoir de son «Saint-Siège» (« saint siège » : si c’est pas du fétichisme, ça!) ; et qui verse dans la haine démagogique des riches pour mieux masquer son impuissance. Va donc multiplier des petits pains, du côté d’Alep, avec tes belles parole et sans pognon ; ils ont besoin de toi là-bas, tocard ! Non mais c’est qu’il commence sérieusement à me plaire celui-là, d’où quelques familiarités…

Vendredi 17 mai : bête à faire peur. Je suis tombé sur des images de Valérie Trierweiler au Mali, chemisier ouvert et lunettes de soleil en guise de serre tête. J’ai commencé par croire qu’elle avait mis sa tenue la plus sexy pour soutenir nos soldats. J’ai vite compris qu’elle venait faire du tourisme humanitaire. Si l’on en croit ses propos elle aurait enfin compris ce que les Français attendaient d’elle. Qu’elle se rende utile. En fait, non ! De toute évidence, elle n’a pas compris ce que les Français attendent d’elle. Ils n’attendent rien ou plutôt surtout de ne pas la voir sur leurs écrans de télévision et encore moins de l’entendre. En effet, quoi qu’elle dise et quoi qu’elle fasse, elle agace le Français. Le mieux c’est qu’elle se cache. Certes, personnellement j’avoue avoir nourri, un temps, les mêmes attentes envers elle que celles que je nourris à l’endroit de Nabila. Mais c’était avant de la voir en tenue de plage avec son présidentiel copain, l’été dernier. A l’évidence, le microcosme parisien a beaucoup exagéré la qualité de ce qu’elle cachait sous le bonnet. Encore que avec une bonne prise en main, il y aurait moyen de resculpter tout ça. De quoi lui permettre de parader en bikini lors de son prochain déplacement humanitaire, à Haïti. C’est que nous approchons de la saison des cyclones et des tremblements de terre. Sinon, toujours au rayon péronnelles, j’ai appris que Christine Boutin s’est fendue d’un tweet particulièrement décalé lorsqu’elle a appris qu’Angelina Jolie avait subi une double mastectomie. Tout ça « pour ressembler aux hommes » a-t-elle twitté. Je sais bien que Christine Boutin n’a pas vu d’homme depuis longtemps mais enfin tout de même. Puisque même avec une bite à la place du clitoris, Angelina Jolie ressemblera toujours plus à une femme que l’autre Boutin. A moins que l’explication de ce dérapage réside dans sa récente agression aux gaz lacrymogène par des CRS lors de la grande « Manif pour tous » du 24 mars dernier. D’aucuns prétendent que le gaz lui a fait pleurer toutes les humeurs qu’elle avait dans la boite crânienne. La bonne nouvelle étant qu’elle ne risque plus le moindre cancer du cerveau…


mercredi 15 mai 2013

Nationalisme arabe : Nakbas les pattes tas d’arafafs !


Au chapitre continuation de la guerre par d'autres moyens :

Pour l’ouverture du festival de Cannes, les «Palestiniens» nous ont encore joué leur petit spectacle de rue aussi nationaliste qu’habituel, qu’ils aiment offrir à l’occasion de ce qu’ils appellent la Nakba (« catastrophe »), en référence à la création de l’Etat d’Israël et à l’exode de centaines de milliers d’Arabes à la suite de leur première défaite militaire contre l’Etat hébreu.

Or non seulement je n’ai jamais apprécié leur cinéma mais pire, il me gave profondément, me poussant à nourrir des envies de leur jeter des tomates ainsi que des œufs pourris.

Ras-le-bol que les descendants de ceux qui ont voulu jeter les Juifs d’Israël à la mer à plusieurs reprises nous fassent encore et toujours le coup des pauvres victimes. Ramassis de pervers !

Pour rappel, des exodes suite à des guerres, ce n’est pas ça qui a manqué. La partition indo-pakistanaise s’est traduite sous Gandhi par des transferts de populations se comptant en millions d’habitants. La fin de la Seconde Guerre mondiale a donné lieu également à de tels transferts. A titre d’exemple plus de deux millions d’Allemands ont dû quitter la Prusse-Orientale après huit siècles de présence germanique dans ce territoire partagé depuis entre la Pologne et l’URSS. Les Juifs eux-mêmes ont quitté le monde musulman en direction d’Israël par centaines de milliers.

Or assiste-ton, tous les ans, à la commémoration d’un quelconque exode allemand, hindou, pakistanais, juif ou autres ? Non, même les fachos les plus délirants de ces peuples ne revendiquent pas le moindre droit au retour. Il n’y a que les nationalistes arabes et leurs idiots utiles pour nous faire leur petit cinéma revanchard au lieu de refaire leur vie dans la nation où ils se trouvent où dans la nation arabe dont ils relevaient avant. Le tout dans le but de détruire Israel d'une façon ou d'une autre...

Signalons en effet que les Cisjordaniens étaient de nationalité jordanienne avant la prise de contrôle de la Cisjordanie par Israël en 1967.

Signalons également, qu’à mon sens, la plus grosse erreur commise par Israël a été de ne pas avoir expulsé vers la Jordanie tous les jordaniens de Cisjordanie et vers l’Egypte tous les Egyptiens de Gaza. Au lieu de ça, ces couillons de Juifs israéliens, maladivement humanistes, ont préféré se la jouer compatissants avec ceux qui ne voulaient pas partir, à moins qu’ils n’aient cherché à imiter les Polonais en conservant ce que certains estimaient être des Juifs arabisés. Les Polonais ont en effet expulsé de Prusse-Orientale tous les Allemands sauf les Mazures qu’ils considéraient comme des Polonais germanisés.

Tout ça pour dire, Nakbas les pates sur Israël tas de nationalistes arabes…

SILomon

vendredi 10 mai 2013

10 mai : vers l’abolition de l’esclavage


Parce que les Carthaginois comme les Romains puis les marchands arabes ponctionnèrent ma Galice de pas mal de mes vaillants ancêtres ; parce que je porte le nom du seigneur wisigoth qui asservit mes ancêtres suevo-celtibères ; parce que coule dans mes veines la sueur comme le sang des serfs d’antan, le sang des belles mauresques que mes grands-pères allaient ravir au sud de Coimbra et le sang des noirs que mes pères ramenèrent au Portugal d’Afrique dés le 15e siècle ; pour toutes ces raisons, je commémore aujourd’hui l’abolition de l’esclavage.

Comme par ailleurs, en plus du sang noir, je dois bien avoir en moi un peu de sang négrier et puisqu’il s’agit de faire en sorte que celui-ci reste bien silencieux, je commémore chaque année le 10 mai.
Je commémore, non pas une victoire de la repentance mais la fierté de nos pères qui, après avoir hérité de ce crime contre l’humanité, ont trouvé, eux, les moyens de l’abolir et de le condamner. Je commémore ce progrès qu’ont su accomplir nos seuls pères puisque en dehors du monde qu’ils nous ont bâti, l’esclavage reste endémique aussi bien en Afrique noire ou arabe qu’en Asie. Je commémore ainsi la défaite de la pensée esclavagiste, la victoire des Lumières, comme le refus de toute nouvelle soumission.

D’ailleurs, chaque 10 mai est pour moi l’occasion de plaider pour sa commémoration à l’échelle mondiale puisqu’il s’agit d’une question mondiale. J’ai même quelques idées de dates à condition que les historiens s’attèlent à préciser la chronologie des révoltes suivantes.

Par exemple celle des Zandj en 689 dans l’Irak Abbasside, la toute première révolte d’esclaves noirs. Certes, il nous faudra avant cela convaincre le monde musulman de reconnaître son côté précurseur dans les traites négrières passées et persévérant dans celles présentes ( au Soudan entre autres). Mais ce n’est pas près d’arriver.

Pour cela, il faudrait qu’ils arrachent à pleines poignées, les pages de leur code de conduite sacré, téléfaxé paraît-il depuis un quelconque « paradis à l’ombre des épées », le malsain coran. Ou du moins qu’ils acceptent les travaux sur l’esclavage arabo-islamique sans proférer des menaces de mort telles que celles qui pesaient sur la tête d’Olivier Pétré-Grenouilleau ou qui pourraient peser sur la tête de Malek Chebel, l’auteur du récent ouvrage « l’esclavage en terre d’Islam » (voir vidéo sur Youtube), ou encore sur celle du professeur Tidiane N’diaye, l’auteur de l’excellent ouvrage « le génocide voilé » et dont je vous propose par ici une très instructive entrevue de 10 minutes.

Si l’on veut faire plus simple, on n’aurait qu’à fixer la date à chaque Pessah, la fête commémorant la sortie des esclaves hébreux d’Egypte. La plus ancienne fête célébrant un affranchissement. Aïe, j’oubliais que pas mal d’entre vous détestent les jujus, les juijuis, les sionistes.

Bon, ben, puisque tous les chemins mènent à Rome, on n’a qu’à prendre comme date commémorative mondiale, le jour où débuta la révolte de Spartacus. C’est bon comme ça ? Ils sont contents mes bwanas ?!? Allez, la lutte continue…

SILex Haley 

mercredi 8 mai 2013

8 Mai : je ne comprendrai jamais certaines coutumes hominidiennes


Samedi 6 juin 2009, à Colleville sur Mer, le président Sarkozy avait eu ces très belles paroles :
« Ils étaient 135 000 sur des milliers de bateaux. Ils formaient deux armées : l’une américaine, l’autre britannique et canadienne. Quelques heures plus tôt, Eisenhower leur avait souhaité « Bonne chance ! ». Tous se taisaient. A quoi pensaient-ils ces jeunes soldats le regard fixé sur la mince bande noire de la côte qui émergeait peu à peu de la brume ? A leur vie si courte ? Aux baisers que leurs mères déposaient tendrement sur leur front quand ils étaient enfants ? Aux larmes retenues de leurs pères quand ils étaient partis ? A celles qui les attendaient de l’autre côté de la mer ? A quoi pensaient-ils ces jeunes soldats dont le destin avait mis entre les mains le sort de tant de peuples, sinon qu’à 20 ans il est bien tôt pour mourir ? Leur silence était comme une prière. »
Oui leur silence était une prière mais je crois aussi, pour partie, l’expression d’une incompréhension.

Oui, je n’ai jamais compris pourquoi c’est à des gamins de faire la guerre. Je sais bien qu’il en est ainsi chez pas mal d’espèces animales, la notre y compris, qu’il s’agit là d’une forme de canalisation de cette violence intrinsèque à la jeunesse, mais non, non, je ne comprendrai jamais pourquoi il revient à des enfants de se sacrifier pour leurs parents. Ça n’a aucun sens, au sens humain, je l’entends. Pas le moindre !

Non, cela devrait être interdit. On devrait interdire la guerre aux moins de 35 ans, à tous ceux qui n’ont pas encore eu d’enfants. Instruction militaire ou martiale oui, mais la guerre non !

Et moi, si un jour ça devait péter de nouveau, je vous jure que j’interdirai à mes gosses d’y aller. Je les assommerai, les enfermerai dans la cave s’il le faut, mais ils n’iront pas à la guerre. Pas à ma place. C’est moi qui prendrai le fusil pour eux, moi et sûrement pas eux. Il est hors de question qu’ils se battent pour moi, qu’ils assument dans la mort la stupidité des choix de ma génération. Il est hors de question que je leur survive, hors de question que j’ai à retenir mes larmes lors de leur départ !

Il est décidemment des coutumes chez le sapiens-sapiens que je ne comprendrai jamais, jamais…

SILéonidas

dimanche 5 mai 2013

Comme une envie de sentimentalisme balnéaire


"Cold wind, tide move in
                                                         Shiver in the salty air
                                                     Day breaks, my heart aches
    I will wait for you right here."

SILcle in the sand

vendredi 3 mai 2013

La semaine vue d’ici : arrête ton char messire


Dimanche 28 : lamentations devant le « mur des cons ». Résumons : non content de refuser de plaider coupable, le Syndicat de la Magistrature ose crier au « vol » d’images dans son très pousse-au-crime local syndical ; mais aussi, non content de refuser de défendre un camarade journaliste scandaleusement pris en chasse, l’un des syndicats de la profession ose en appeler à des sanctions contre Clément Weil Reynal pour excès de zèle journalistique. Il disait quoi déjà, Michel Audiard, au sujet de ceux qui osent tout et n’importe quoi ? Bref ! Une partie de la justice se lamente d’un procès injuste pendant que des journalistes se lamentent d’un défaut de censure. Tout bonnement lamentable !

Lundi 29 : Coup de froid sur les promesses climatiques avec ce printemps qui hiberne. Manifestement le réchauffement climatique qui devait rendre la misère plus facile à vivre et la richesse plus facilement imposable, est à ranger dans le tiroir des promesses politiques improbables. En même temps, quelle idée de croire, encore, à mon âge, en des théories fumeuses soufflées par des fumistes de la science écologiste fortement portés sur la fumette ?

Mardi 30 : germanophilie contrariée dans le Frankreich. Face aux perspectives de ruine du pays et devant le mur Maginot qui menace de s’effondrer, les plus fanatiques des socialistes d’Allemagne de l’Ouest (le royaume des Francs) ont décidé d’appliquer la recette de leurs frères de l’ancienne Allemagne de l’Est. Menacer d’envahir l’Allemagne centrale avec des hordes bolchéviques histoire d’obtenir que celle-ci accepte de financer à elle seule la grande réunification allemande. Bonn mais pas conne, il n’est pas dit que celle-ci se fasse enfumer deux fois de suite par les plus incapables de la famille germanique.

Mercredi 1er mai : Le verbe au travail. En ce jour de fête du travail, le pape François a appelé les politiques à multiplier les emplois, un peu comme le Christ aurait multiplié les pains. Nous voilà avec deux informations. Tous les papes ne sont pas des cyniques puisqu’il y en a au moins un qui croit aux miracles de ceux qui se prétendent tout puissants. Tiens, cela me fait penser que Marine Le Pen a oublié d’user de références chrétiennes dans son très verbeux et migraineux discours national-socialiste-monarchiste-republicain-fasciste-democratique-anticapitaliste-de-marché-antilibéral-libertaire-germanophobe-et-humaniste-amoureux-de-la-haine-ouvert-sur-la-fermeture-et-joyeusement-suicidaire. Mécréante va !

Jeudi 2 : Jouer avec le feu. Un gamin de cinq ans a tué sa sœur de deux ans dans le Kentucky en jouant avec le fusil que ses parents lui avaient offert pour son anniversaire. Du coup, la polémique sur l’interdiction des armes aux Etats-Unis se trouve relancée, ce qui est un faux débat. De toute évidence, ce sont des parents trop demeurés pour offrir ou laisser un enfant de cinq ans jouer avec une arme à feu chargée que l’on devrait interdire. Pendant ce temps, chez nous, nos médiarques se gaussent de cette culture des armes. Il est vrai que dans notre beau pays, douceur de vie oblige, on préfère cultiver celle de la couardise hautaine ou mieux, de la collaboration péremptoire…

Vendredi 3 : 5 ans de malheur. Ayant brisé son miroir il y a tout juste un an, notre bon roi fainéant n’a pas vu qu’il avait mis sa culotte à l’envers. De quoi donner envie à pas mal de sans-culottes de mettre le roi élu à nu, du moins si l’on en croit les derniers sondages : 24%…

SILentement...

jeudi 2 mai 2013

Marine Le Pen, tout feu tout flamme, se prend pour une « lumière »


Dans son discours d’hier, pas vraiment brillant, tenu place de l’Opéra, Marine Le Pen s’est présentée, sans rire, comme «la lumière guidant la France dans l’obscurité».

Si je ne contredirais pas son côté illuminé, dont l’éclat et l’intensité ne m’avaient pas vraiment échappés, je me permettrais juste d’apporter une petite rectification.

Les Le Pen ont en effet toujours été une flamme qui guide dans l’obscurité. Par contre, il ne s’agit pas de la lumière d’un phare mais plutôt celle des naufrageurs, ces anciens bandits du littoral breton ou galicien, qui allumaient des feux afin d’attirer les navires sur des récifs pour les piller à la suite du naufrage.

SIL Eanes

mercredi 1 mai 2013

Le Syndicalisme : une conquête libérale («ni réaction, ni révolution»)


Mercredi 1er mai, après plusieurs séries de logorrhées extrêmement pénibles à suivre, Gogo Dugland me dit « je suis certain que le libéral que tu es déteste les syndicats et le syndicalisme, n’est-ce pas ? ».

Après un soupir, de ces soupirs caractéristiques de ma soupirite, maladie que j’ai contractée après un contact aussi prolongé que répété avec l’inculture dont souffre notre société, je lui ai répondu « connais-tu Waldeck-Rousseau ? ».

« Non, quel est le rapport ? » qu’il me rétorque. Je soupire de nouveau.

Sans développer la question d’un syndicalisme rouge qui est au syndicalisme ce que le communisme est à la démocratie, je me suis contenté de rappeler la chose suivante.

« Waldeck-Rousseau, non seulement faisait partie de ces immondes libéraux dont je suis, attachés à la liberté d’association, mais surtout il fut le ministre de l’intérieur qui fit voter le 21 mars 1884 la loi qui porte son nom. La première loi autorisant la formation de syndicats en France. »

Gros blanc en face, ou plutôt gros rouge…

Waldeck-RousSIL