vendredi 31 mai 2013

La semaine cannoise vue d'ici : encore un fabuleux festival de canneries


Maintenant que le film, « La vie d’Adèle« , mettant en scène l’un de mes fantasmes à remporter la palme d’or (vous ne saviez-pas que j’étais lesbienne ?) passons à ce qui aura vraiment marqué le festival de Cannes 2013.

Leonardo DiCaprio, campant le rôle principal dans Gatsby le Magnifique, n’aurait pas plu à Cara Delevingne, jeune porte-manteaux de son état, qui l’a trouvé trop vieux mais surtout trop insistant. Celui-ci a en effet passé une soirée à lui courir après sans succès. D’aucuns diront même que, malgré toutes ses techniques d’abordage et d’évitement, celle-ci s’est comportée comme un véritable iceberg. Résultat : touché coulé. En même temps, ce n’est pas faute de l’avoir prévenu qu’il avait pris un air un peu bouffi depuis son Inception. Décevant !

Afida Turner, l’une des taches de la télé réalité, s’est fait nettoyer comme une vulgaire bouse du tapis rouge du festival de Cannes sur lequel elle cherchait à faire briller sa parfaite insignifiance. Rendue furieuse par l’outrage, elle passe son temps, depuis, sur sa page facebook, à insulter et menacer tous ceux qui se gaussent, non pas en français mais plutôt dans la langue de volière. Même un singe, tapant au hasard sur un clavier, n’écrirait pas aussi mal.

Histoire de rester dans le règne animal, signalons que Myriam L’Aouffir, que certaines langues demi-mondaines ont traité de pouffe du PAF alors qu’elle en est plutôt l’une des meneuses de revue, a eu l’amabilité d’emmener promener « l’homme cochon », alias DSK, de toute évidence, de nouveau en rut, sur le tapis rouge du festival de Cannes. Il nous faut croire que la couleur fait autant d’effet sur les suidés que sur bovidés. Ceux qui connaissent Madame L’Aouffir ne seront pas vraiment surpris. Cela fait de nombreuses années qu’elle occupe son temps libre à des œuvres humanitaires, notamment en matière d’éducation en milieux rural ; ceci expliquant cela…

Toujours au chapitre grandes dames, ceux qui ne le savent pas encore, apprendront que dans un très élégant effort visant à sauver sa superbe robe d’un tapis gorgé d’eau, Eva Longoria a dévoilé son intimité à l’œil des cameras (image par ici). Voilà ce que l’on appelle le sens du sacrifice. Mais ce n’est pas tout puisque des yeux aussi exercés que pervers ont remarqué que l’extrémité de sa garniture menstruelle était tout aussi visible, ce qui n’a pas manqué de nourrir les sarcasmes de certaines vilaines jalouses. Or elles ne devraient pas. Car au risque de leur apprendre une dernière chose, il va de soi que les bombasses (mot entré dans le dictionnaire), grenades et autres beautés particulièrement explosives ne vont pas sans la goupille qui permet de les amorcer lorsqu’on tire dessus…

Les cahiers du SILnéma

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