lundi 28 avril 2014

96 heures et des poussières


Bon ! Bon ! Bon ! Comment vous dire… ce n’est pas que le film de Frédéric Schoendoerffer soit mauvais. Il est plutôt bon. Il y a juste que personnellement, les téléfilms à la TF1, je préfère les voir gratuitement à la télé plutôt qu’au cinoche.

Et puis, moi tout ce côté désuet, depuis le jeu jusqu’aux décors en passant par le scénario, sans oublier les tronches tout sauf fraiches des acteurs à l’affiche, m’a donné bien plus le sentiment d’être allé au musée qu’au cinéma…

Comme quoi, visiblement, nos producteurs français ne comprennent toujours pas la différence entre un film potable de chez nous et un navet américain. Avec un film potable français on reste souvent sur notre faim alors que même avec un navet hollywoodien, on se dit qu’on en a eu pour notre argent. D’ailleurs pour tout vous dire, j’avais hésité en « 96 heures » et « Need For Speed ».

Bref, à voir, en pyjama, un dimanche, en première partie de soirée sur TF1.

Les cahiers du SILnéma

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