dimanche 28 décembre 2014

La Famille Bélier : bienvenue chez les Gaulois


On sort de la projection du film « la famille Bélier » un peu comme on rentrerait de vacances… de vacances passées loin des marottes chères au microcosme parisien, loin des névroses de la bourgeoisie bohème ou carême, de la diversité uniformisée… de vacances passées au bled parmi nos racines, tout ce qui nous fait, cette authenticité, cette chaleur propre à la blondeur, là où la vie n’est pas toujours facile mais là où la Vie coule à flots, trouve toujours son lit sans oublier sa source… un pur moment de bonheur qui ne plaira pas à tout le monde… mais qui donnera à d’autres l’envie d’y retourner…

Un film très très loin du « suicide français » puisque tout y est bien vivant :-) 

Les cahiers du SILnéma

jeudi 25 décembre 2014

Noël et Antinoël


Au vu de l’actualité voici mon petit traité de spiritualité comparative pour temps troublés…

Anthropologiquement parlant, parmi tous les concepts créés par mon espèce animale douée, paraît-il, de raison, il y en a un dont les développements m’ont toujours fasciné par leur truculence. Le concept d’Apocalypse. Dans beaucoup de cultures, cette fin du monde ou de cycle se doit d’arriver comme un cheveux sur la soupe biologique et tout ravager d’un coup sec, comme ça, à brûle-pourpoint final. Le tout d’une façon grandiose, digne d’un péplum hollywoodien, avec moult légions sataniques, des armées angéliques aux épées flamboyantes ou encore des navettes spatiales crachant du feu non pas de dieu mais radioactif. Le monde se trouvant entièrement ravagé en moins de temps qu’il aura fallu pour le créer d’après les textes sacrés. Bref, un navet aux faux airs d’art et essai.

C’est indéniable, ce qui caractérise le primate sapiens-sapiens outre son côté poilant, c’est décidément son sens inné du spectaculaire.

Rien d’étonnant à tout cela après tout. Les individus de notre espèce sapienne, espèce narcissique au point de se croire le centre de la création divine, ballottés dans cet immense océan de vie tels des canots de sauvetage entre les crêtes de l’euphorie et les creux de la dépression, tendent à réduire toute échelle historique à celle de leur courte vie. La création comme la fin du monde se devant d’arriver de leur vivant ou pas du tout.

Il en va de la même façon dans notre culture judéo-chrétienne. Si le Messie n’est pas descendu du ciel dans le char d’Elie avec des bataillons d’anges à ses cotés, c’est qu’il n’est pas encore venu. Tout comme si Satan ne déboule pas depuis la porte Ouest de l’horizon, en chevauchant un dragon capable de noircir d’un clin d’œil démoniaque tous les pâturages de la Terre, c’est que son règne n’est pas encore advenu.

Mes pauvres enfants, malgré tout votre cinéma, comme vous manquez d’imagination et de capacités à vous projeter dans l’espace-temps.

À supposer que Satan existe, pourquoi ne serait-il pas patient ? Pourquoi ne conquerrait-il pas les nations les unes après les autres ? Pourquoi n’userait-il pas des mêmes stratagèmes militaires ou politiques que nous, alors que nous sommes censés lui devoir pas mal de nos ruses ? Avec toutefois cet avantage incomparable qu’il aurait lui le temps, beaucoup de temps, infiniment de temps…

De même, toujours d’un point de vue strictement religieux, à considérer que Jésus de Nazareth soit le Christ, le Messie des écritures bibliques, qui vous dit que l’antéchrist n’est pas déjà venu sur Terre lui aussi, et que son règne ne prospère pas depuis qu’il a ouvert les portes de l’enfer. Par conséquent pourquoi cet antéchrist ne serait-il pas Mahomet ? Cet « homme du péché », ce « fils de la perdition » (2Th 2:3) qui « nie que Jésus est le Christ » (1Jn 2:22) ressuscité.

Après tout, religieusement parlant, tout l’oppose au Christ. Des preuves ? En voici quelques unes !

Jésus ne convertissait que par la parole, n’hésitant pas à tendre sa joue gauche quand on lui giflait la joue droite ; Mahomet n’hésitait pas à recourir à l’épée, à trancher les mains et les langues qui le giflaient, à faire assassiner ses opposants et à exterminer des tribus entières. Épée que Mahomet utilisa pour unifier son royaume terrestre alors que celui de Jésus ne serait pas de ce monde.

Pour répondre à l’épée de Mahomet d’aucuns me parleront du « je ne suis pas venu apporter la paix mais l’épée » de Jésus ainsi que de son bâton. Je leur rétorquerai que ceux qui connaissent un tant soit peu la parabole de l’épée savent que cette lame n’était en rien l’outil du pouvoir du Christ ou de sa volonté de soumettre l’Homme mais bien l’une des conséquences prévisibles de la radicalité de son message d’Amour. Un message capable de diviser tel un couteau tranchant le pain, ceux qui l’accepteront de ceux qui le refuseront. Un message si radical qu’il en tranchera même des liens familiaux.

Quant au bâton, dont il se servit dans le temple pour chasser les marchands, il ne l’utilisa que pour renverser des tables et non pas pour verser le sang.

Les marchands. Alors que Jésus les chassait du sacré, Mahomet faisait commerce avec eux, les pillait ou les tuait pour son propre compte. « Le butin » est son message. Mahomet était un marchand. Un marchand que Jésus aurait chassé du temple.

Jésus était célibataire ; Mahomet polygame. Jésus guérissait, Mahomet assassinait. Mahomet fit de la pierre une arme ; Jésus fit baisser les bras de ceux qui les charriaient. Jésus bénit l’enfance ; le pédophile Mahomet la souilla de sa perversion. Jésus prêchait la paix et l’amour ; Mahomet la guerre et la soumission. Jésus est alliance ; Mahomet un esclavage. Un inventaire ouvert que l’on terminera ici par un Jésus est le jour, la lumière de l’Esprit ; Mahomet l’astre de la nuit. Deux cornes en croissant de lune pour marque de la bête.

Ce faisant, il est totalement incongru de penser ou même de croire que Jésus et Mahomet servaient la même divinité. Celle de Mahomet, Allah, ne peut que participer de la racine du m-Al, trouver son écho dans les noms de pas mal de démons. Alocer comme Alastor, préfets des enfers. Il ne s’agit en rien du même dieu.

Certains prétendent que la meilleure ruse du Diable fut de faire croire qu’il n’existait pas. Je prétends-moi que sa plus géniale trouvaille fut de se faire Dieu en faisant main basse sur tout le legs judéo-chrétien. De se faire Dieu en se donnant un prophète digne de sa folie. Car si Mahomet est bien le sceau d’une quelconque prophétie, il est le sot qui a ouvert les portes des enfers pour les centaines d’années prévues au scénario eschatologique. Des centaines d’années pendant lesquelles des troupes infernales, diablement humaines, progresseront rapidement comme lentement, rageusement ou patiemment, toujours avec malice.

Tiens, histoire de faire également plaisir à ceux qui aiment les chiffres symboliques, il est curieux de constater que si on additionne l’age de Jésus lors de sa mort, 33, avec l’année de décès de Mahomet, autour de 632, on atteint 666, le chiffre de la bête. Étonnant non ! Par conséquent ne cherchez plus le Necronomicon ou tout autre bible satanique puisque vous avez le Coran, le Necoranomicon…

En conclusion, si le message de Mahomet est bien un fascisme d’un point de vue politique, il ne peut apparaître également que comme un satanisme selon une grille d’analyse religieuse.

Aussi, pendant que nous nous chargeons du volet politique, que les religieux s’occupent de prier pour que nos frères musulmans sous cette emprise puissent trouver les moyens de s’en libérer, au lieu de chercher querelle à la laïcité. Amen et Vade rétro Allah-stor !

Saint SILpeace

lundi 22 décembre 2014

Les Fous d’Allah nous Souhaitent Joyeux Noel


Alors que le Père Noel s’apprête à distribuer des cadeaux, de son côté, Papa Muslim et sa cohorte de « déséquilibrés » d’Allah et autres « loups solitaires autoradicalisés » d’Allah, cherchent à semer la mort et la désolation, ici et ailleurs...

SILence...

samedi 20 décembre 2014

vendredi 12 décembre 2014

Ma Magen David : Shabbat Shalom


Au rayon petits secrets personnels et de famille, j’ai longtemps pensé que ma sympathie et mon engagement aux côtés du peuple hébreu me venait de ma découverte de la Shoah à l’age de 13 ans, des multiples lectures qui s’en suivirent, et de mon génie personnel :-)

Quand j’y pense, la dernière des rares torgnoles que j’ai reçu de mon paternel, je me la suis mangée à 16 ans, alors que je défendais Israël à la suite d’un reportage grotesque que la télévision franchouillarde présentait sur la région. Mes lectures d’alors m’avaient fait dire à mon Manuel de père qui contestait ma position, qu’au même titre que la plupart des téléspectateurs, il ne connaissait rien sur ce sujet. « Paf ! » Ah ! l’arrogance de l’adolescence. Enfin, sur ce coup-là, j’étais assez fier de ma gifle…

Et puis un jour, à l’âge adulte, ma très catholique maman me remit l’or que j’avais reçu pour mon baptême. Quelle ne fut alors ma surprise de voir qu’un membre de la famille, dont j’ignore à ce jour l’identité, m’avait offert une étoile de David. Je me suis dit qu’il y avait sans doute du Marranisme là-dessous…

Jusqu’au jour où un ami me conta ce passage de la tradition juive, voulant que lorsque Moïse présenta au peuple d’Israël les tables de la loi qu’il avait reçu de Dieu, toutes les âmes juives, passées, présentes et futures étaient là, bien présentes pour dire « nous pratiquerons et nos comprendrons »…

Ma rationalité laissa alors mon âme rêver…

SILomon

mercredi 10 décembre 2014

Water Closer : le merdia qui dénonce les homos


Voilà un coup particulièrement réussi. Nous rendre solidaires de Florian Philippot avec ce genre de méthodes « exclusives » vu que le FN est le seul à subir ce type de « révélations ». Sans compter qu’il n’y a aucune révélation. Le tout Paris connait l’homosexualité de Philippot. Par contre, lui, semblait tenir à garder cela dans le domaine privé…

« Closer » révèle l’homosexualité de Florian Philippot

C’est la première fois en France qu’un homme politique subit ce sort de la part d’un média. Une révélation qui peut faire quelques remous au FN. (plus…)

lundi 8 décembre 2014

La French : « les héros sont toujours seuls »


De cet excellent film qui sent bon la clope, l’unique chose que je n’ai pas bien compris c’est la polémique autour des éléments de fiction dans lesquels ne se reconnaitraient pas la famille du juge Pierre Michel et les spécialistes du dossier. Ces défauts de procédure biographique égratigneraient la valeur de l’homme. Personnellement, je ne suis pas sorti de la salle avec cette intime conviction, bien au contraire.

Je me suis dit, plutôt, voilà encore une illustration du fait que « les héros sont toujours seuls ». Seuls face à leurs démons, ceux de leurs proches, ceux de la société ; seuls face aux appareils judiciaires, politiques, criminels ; seuls face aux écuries d’Augias dont il leur revient de nettoyer le merdier…

Mais ce n’est pas tout. Je suis sorti de cette projection avec une sensation de colère inhabituelle après m’être fait une toile…

Tout d’abord liée à un sentiment d’injustice. En effet, je me suis dit ‘je parierai qu’il n’existe pas d’Avenue Pierre Michel à Marseille, pas plus que de salle ou d’amphithéâtre Pierre Michel dans les facs de Droit, ou encore de promotion Pierre Michel à l’Ecole Nationale de la Magistrature ; faudrait surtout pas en faire un exemple à suivre’. Bingo !

Ensuite lié à un profond ras-le-bol. Marre de voir prospérer dans mon pays la racaille criminelle qui parasite la vie et l’avenir de millions d’honnêtes gens qui se lèvent tous les matins avec tout autre projet que celui de nuire à leur prochain !

Aussi, merci beaucoup à Cédric Jimenez ainsi qu’à Jean Dujardin d’avoir redonné vie à Pierre Michel, de m’avoir rappelé l’engagement d’un homme qui m’aura fait rêver de Justice pendant deux heures et quart…

Les cahiers du SILnéma

vendredi 5 décembre 2014

Résolution palestiniste et logique socialiste


D'aucuns s’étonnent de voir les socialistes reconnaitre un nouvel état arabe-palestinien dans les frontières jordaniennes de 1967...

Quoi de plus normal en fait. Après tout, les socialiste ne sont-ils pas habitués à octroyer, ou plutot à sacrifier sur l'autel de leur nombril et interret personnel, ce qui n'est pas à eux, l'argent des autres, le bien des autres, le futur des autres... alors pourquoi pas le pays des autres, la sécurité des autres, etc.

P'tain ! Quelle engeance de merde !

ClemenSIL


mercredi 3 décembre 2014

Con comme un Socialiste


Au rayon nouvelles expressions de la langue française…

Le principal problème avec les cons, 
c’est qu’ils peuvent surtout se montrer dangereux, 
chose que les nôtres tendent à démontrer tous les jours…

ClemenSIL