mardi 31 octobre 2017

Edimbourg mon Amour : un pingouin sur le Siège d'Arthur


Édimbourg, 
Entre Ville et Mer,
Le Parc de Holyrood,
Avec ses collines basaltiques,
et son célèbre sommet de 251m,
dénommé "Siège d'Arthur"...


vendredi 27 octobre 2017

Mélenchon et ses zinzinsoumis


J’ai beau essayer, il m’est devenu pour ainsi dire impossible d’écouter à la télé, plus de deux minutes sans zapper, ces moulins à paroles désaxés que sont les « insoumis ».

Lorsqu'ils ne voient pas la Vierge dans le drapeau européen et ne mettent pas le gouvernement actuel dans le même panier que l’ancien régime ou les nazis (Jean-Luc Mélenchon), ou encore ne rendent pas la CIA coupable de la vrille infernale que connait le Venezuela suite à  sa cure socialiste de ces quinze dernières années (Clémentine Autain), c’est pour appeler à la solidarité avec, non pas un couteau entre les dents, mais une mâchoire à labourer le marbre (Raquel Garrido), et ce alors qu’on apprend que cette bolchévique des plateaux télé est la première à bafouer notre système de solidarité (en ne payant pas ses cotisations) ou à en abuser (en bénéficiant d’un HLM avec son très aisé compagnon Alexis Corbière). Non mais quel ramassis d’escrocs en bande politique organisée !

En même temps, y-a-t-il quelqu’un de sérieux pour prendre au sérieux ces pseudo-insoumis ?

Insoumis, ces ennemis de la liberté ; ces pantins soumis aux très mégalomanes héritiers idéologiques de la tyrannie collectiviste centralisée ?

Insoumis, ces analphabètes économiques soumis à toutes les expériences ruineuses, menées au Venezuela, à Cuba ou ailleurs ; ces irresponsables soumis à l’idéologie la plus criminelle de l’histoire, incapables de tirer la moindre leçon d’un siècle d’abominables catastrophes provoquées par leurs idées politiques ?

Insoumis, ces imbéciles envieux soumis à la démagogie politique, à la haine sociale, aux pseudo-solutions simplistes, aux mots d’ordre syndicaux débiles ?

Insoumis, ces idiots utiles, pour ne pas dire collabos, des thuriféraires de la religion de la soumission (islamisme), ces marionnettes des nationalistes arabes antisémites de Syrie, de Gaza, de Cisjordanie ou d’ailleurs ? 

Insoumis ?! Quelle blague ! Car s’il y a parmi eux d’adorables sentimentaux rêvant d’un monde meilleur, et autres très estimables poètes de l’égalité, la plupart d’entre eux sont juste d’effroyables fêlés pas près de soumettre la moindre notion de rationalité. En somme des zinzinsoumis !

SILalutte Finââââle 


jeudi 26 octobre 2017

Les salles gosses du papy boom


Trois reportages vus à la télé et un constat sur cette génération du « Papy boom »…

1) Un premier reportage sur cette vieille dame vivant seule dans son quatre-pièces situé dans un joli immeuble HLM et ne comprenant pas pourquoi elle devrait le céder à une famille avec enfants au motif qu’elle y a tous ses souvenirs et qu’elle s’entend à merveille avec toutes ses voisines.

Et personne pour lui rappeler qu’elle n’est pas propriétaire de l’appart qu’elle occupe, que celui-ci appartient à la collectivité et qu’il a vocation à pallier à d’autres besoins que son seul égoïsme. 

Certes il ne s’agit pas de tomber dans l’excès inverse, en poussant mamie dans les orties du logement social, sans tenir compte de ses craintes et exigences minimales, mais enfin, un peu de bon sens tout de même…

2) Une deuxième chronique sur ces retraités de la CGT qui défilaient récemment contre l’augmentation de la CSG sur certaines pensions au motif qu’ils ont cotisé et que le cotisé serait un dû. Quels cons ces retraités CGT ! Même pas foutus de savoir que notre système de retraite est un système par répartition et non par capitalisation.

Et personne pour leur rappeler qu’ils  n’ont pas mis de côté des cotisations pour leurs futures pensions mais qu’ils ont cotisé pour les retraités précédents, à une époque où les retraités avaient une espérance de vie bien plus courte, d’où des cotisations moindres alors que les nôtres à leur bénéfice, sans compter la dette, ne cessent d’augmenter.

Personne pour leur rappeler également qu’un système par répartition impose une natalité conséquente, que faute d’avoir pondu assez de marmots, nos responsables politiques ont dû faire venir moult immigrés pour engendrer les gosses que les Gaulois ne voulaient plus enfanter, sans oublier l’objectif de leur faire exécuter les tâches ingrates que les autochtones rechignaient à accomplir. 

Bref ! Perso, si j'avais mon mot à dire, je ferais en sorte que les pensions, tous systèmes confondus, s’échelonnent du SMIC au salaire moyen, soit de 1150 à 2200 euros. En dessous c'est scandaleux, et au-dessus ça n'a pas lieu d'être dans un système par répartition. Qui veut plus, met de côté. C'est d'ailleurs ce qui se passe dans certains cantons suisses. 

3) Un dernier reportage au sujet des expatriés français au Portugal. Passons sur le choix des mots, nos analystes préférant le mot « immigré » pour ceux qui viennent chez nous, et le plus sexy « d’expatrié » pour ceux qui quittent le pays. Passons pour souligner le pourquoi de cette migration.

En gros nos Gaulois quittent la France pour ne pas payer d’impôts et pour « fuir le climat d’insécurité ainsi que celui lié au terrorisme ». 

En d’autres termes, moins voilés, ils fuient les musulmans et leurs rejetons que l’on a fait venir pour alimenter la machinerie industrielle et celle des cotisations sociales, et en plus ils souhaitent échapper au financement de la dette que les choix de leur génération ont engendré sur la nôtre.

C’est-y pas mignon franchement ?!

En somme, ces « vieilles canailles » ont bénéficié de la croissance des « Trente glorieuses » ; contrairement à nous, n’ont pas connu trop de soucis d’emploi, de logement, de perspectives de carrière, et de choix de vie y compris familiaux ; nous refilent la note de leurs décennies de train de vie collectif, sans oublier tout le merdier qui va avec ; et cette génération de "jouisseurs sans entraves" se la joue victime, en plus.

Et personne pour les traiter de sales gosses pourris gâtés par l’État providence…

 SILalutte Finââââle


mardi 24 octobre 2017

Frère Tatriq Ramadan

Pour Frère Tariq,
la foi est sexuellement transmissible

Cet instant où tu comprends mieux 
pourquoi Tatrique Ramadan 
est favorable à un moratoire sur la lapidation 
pour les cas de fornication hors mariage... 

#TaTriqueRamadan
#LEmpaleurEstNu 
#LapideTonIslamisteLubrique


lundi 23 octobre 2017

Evolution : après la planète des singes, la planète des dingues…


Planète Terre
Ou bien
Planète atterrante ?

Scoop spatio-temporel : an de grâce 2327, le service documentaire de l’agence Starfleet décide de rendre publique cette photo de la face cachée de la Lune. 

Elle aurait été prise courant 2017, après le passage d’observateurs Vulcains.

Les glyphes tracés sur la surface de la lune terrestre au canon à magma, caractéristiques de l’époque classique et utilisés alors comme éléments de langage intergalactique, signifient « Attention, planète de dingues !

On se demande bien pourquoi…

SIL Spock


vendredi 20 octobre 2017

Ma génération


C’est terrible comme à chaque fois que des histoires de vieux porcs harceleurs, homophobes, racistes, et j’en passe, défrayent la chronique, les membres de ma génération nés dans les années 70 et 80 se regardent hallucinés, pris dans un mélange de révulsion et d’incompréhension.

Tout cela, la prédation sexuelle éhontée, le racisme, l’homophobie, sont à ce point étrangers à nos codes culturels et comportementaux, qu’on en hallucine littéralement, mais aussi que l’on refuse l'idée de passer des débordements comportementaux d’aucuns à la censure bienpensante pour tous.

Car en effet, à chaque fois que des vieux porcs se lâchent, les vieilles chiennes de garde, au lieu de mettre un bon coup de journal-roulé sur la truffe de leurs vieux mâles, se mettent à vouloir museler tous les gaillards, y compris ceux de ma génération qui aiment autant fantasmer et rire de tout que de se comporter avec retenue et délicatesse.

C’est que ma génération a été éduquée dans des classes mixtes, a intégré comme normal le fait de discuter, collaborer et concourir avec les femmes ;  ne les voit pas uniquement comme des poupées sexuelles ou des petits êtres en porcelaine exotique à surprotéger ou infantiliser ; a appris à vivre globalement dans le respect de ce qui rapproche comme de ce qui différencie les sexes ; en somme, pour ma génération, « l’homme est une femme comme les autres » et vice-versa.

Par conséquent, même si tout est loin d’être idéal, ma génération n’a pas besoin de "théories du genre" gommant les différences, de censures morales exacerbées, de culpabilisation médiatique. Elle tient à pouvoir rire, à vanner fraternellement, à parler de tout, y compris de cul, toujours dans le respect des limites et des désirs de l’autre. Ma génération refuse de culpabiliser pour ces vieux pervers lubriques car elle sait recadrer ceux d'entre nous qui déconneraient.

Il en va de même pour le racisme, l’homophobie. Ma génération est celle de la « Marche des Beurs », du « Touche pas à mon pote », des festives   « Gay pride », de la fraternité pluri-ethnique-religieuse-sexuelle.

Épargnés par le communautarisme, on a tous grandi ensemble. Nous avons appris à discuter, à s’engueuler, à faire la fête, à travailler, ensemble.

Épargnés par la bienpensante censure,  nous avons appris à connaitre les qualités comme les petits travers les uns des autres, à se dire nos quatre vérités, et surtout à en rire pour avancer.

Moralité, ma génération n’a pas à s’excuser, à rougir, ou à refuser de rire de tout. Nous laissons cet examen de conscience aux  rejetons des archaïques cultures phallocrates à la masculinité finalement pas si bien affirmée que ça ou tranquillement vécue…

Par contre ma génération s’inquiète fortement de la montée des antagonismes ethniques et religieux chez les jeunes dans moult quartiers, mais aussi de la violence sexuelle qui suinte de la nouvelle génération et pas seulement dans les zones salafistisées. Lorsque j’observe comment garçons et filles se parlent dans les quartiers bourgeois, je suis interloqué, sans pouvoir me l’expliquer. C’est quoi leur problème ?!

Toutes choses qui me font d’autant plus regretter le fraternel « El Andalous » des années 80 que nous avons connu…



mercredi 18 octobre 2017

Sex Wars : Le texte misogyne le plus brillant de l’histoire


Chose promise chose due. En plein #BalanceTonPorc, il est temps d’offrir à l’une de mes meilleures amies, le texte dégoulinant de misogynie qu’elle m’a mis au défi de pondre il y a plusieurs semaines. Je vous jure, ce que je ne ferais pas pour faire plaisir aux femelles de mon entourage, moi ! Allez cocotte ! Le voici… 

Petit retour en arrière. Nous sommes là, attablés autour d’un bon repas, commandé chez le traiteur du coin, vu que ces dames ont mieux à faire que de cuisiner, nous quichant amicalement mais néanmoins bruyamment la tête, pour la énième fois, sur une question relevant de la guerre des sexes, justement parce que mon pote s’étonne que ces dames n’aient pas daigné préparer un bon repas pour leurs bons hommes.

« C’est que j’ai besoin d’un minimum d’attentions délicates pour avoir envie de tout donner au plumard, moi » a-t-il eu le malheur de lancer, sur un ton goguenard. Saillie suivie d’une « oh, ça va les beauferies, nous ne sommes pas nées avec une marmite entre les mains ».

J’ai failli répondre « avec un rouleau à pâtisserie, par contre », mais j’ai préféré atomiser le débat d'un « parce que nous, nous sommes nés avec un lance-roquettes dans une main et un fusil mitrailleur dans l’autre, peut-être ?» J’avais fait mon effet. Les mines se trouvaient toutes interloquées.

Ah ben oui, quand il s’agit de s’occuper des gamins, de préparer le repas, de nettoyer le nid, et autres occupations où les femelles excellent par spécialisation biologique, ça n’hésite pas à sortir le rouleau à pâtisserie rhétorique ou bien le genre de théories à la con comme celles du « gender », afin de s’y dérober. Par contre dès qu’il s’agit de guerre, d’aller à la baston contre tous les démons de la planète, de défendre les intérêts des progénitures de ces dames, ou de protéger ces dernières à chaque fois qu’elles sèment la pagaille, et ce alors que nous aussi, nous préférons largement faire l’amour à faire la guerre, c’est marrant comme elles deviennent beaucoup plus conservatrices, et ce depuis le berceau.

C’est que j’ai fait le test. Alors que mon fiston a toujours accepté de jouer avec des poupées ou bien l’aspirateur, ma fille a toujours refusé de toucher au lance-missiles factice que je lui avais offert pour ses un an. Étonnant, non ?

Non, logique ! L’homme est bel et bien le bras armé du Vagin. Un sous-Con, quoi ! C’est comme ça. C’est la Nature qui l’a voulu. Les femmes foutent la merde, et nous, nous nous trucidons pour leurs beaux yeux.

Ce qui me fait dire que spécialisation, il y a. Observez donc autour de vous. 

Dans la droite ligne du paragraphe ci-dessus, Il est évident qu’en dehors de quelques trucs un peu chiants à faire, comme les courses, le ménage, le nursing (et encore, c’est bien moins pénible que ce qu’elles prétendent vu que tous les pères divorcés le font sans chouiner) et les repas, domaines par ailleurs où nous excellons, la preuve étant que les grands chefs cuistots sont surtout des hommes, il est évident disais-je, que les femmes préfèrent bavarder pendant que nous nous occupons des choses réellement pénibles (la guerre ou la chasse archaïque comme moderne) ou exigeant une réelle autonomie d’exécution (l’artisanat, l’ingénierie, l’exploration, etc). Le tout en l’assumant ou sans venir nous plaindre toutes les cinq minutes. 

Et si je parle de « bavardage », ce n’est pas par hasard mais par logique biologique. Cette cavité buccale avec sa partie érectile qui procure à la femme tant de plaisir, un plaisir à l’évidence proche du clitoridien, participe bien de ses attributs fondamentaux.

L’une des preuves les plus irréfutables ne réside-t-elle pas dans le fait que l’homme véritable aime faire plutôt que jacasser, alors que la femme typique préfère exactement l’inverse. N’entend-on pas d’ailleurs souvent chez les femmes un très classique « moi je dis, toi tu fais ». Ce qui explique par ailleurs leurs parcours professionnels, y compris actuels.

Dans le secteur privé : une présence plutôt rare dans l’exécution autonome mais beaucoup plus importante dans le consulting, le management ou la communication. « Faire faire » est leur nouveau mantra. 

Dans le secteur public : tout secteur et tout niveau de responsabilité vu que l’exécution importe beaucoup moins que les discussions oiseuses, n'est-ce pas ? La preuve ultime étant à observer dans le domaine militaire où pour commander, il faut avoir démontré sa capacité d’exécution, ce qui n’est pas leur cas. Aussi leur présence est invisible aux postes de commandement, mais étrangement, se fait sentir dans les domaines attachés à la communication ou à l’administration, y compris ministérielle. Étonnant, non ? 

Comme vous l’avez déjà compris par vous-mêmes, pas vraiment. Les principaux organes de la femme, comme sa raison d’être, sont gouvernés par la vacuité, alors que celle et ceux de l’homme sont tournés vers le comblement :

Vide de la pensée (la plupart des prix Nobel ou des penseurs sont masculins) ; aridité dans le domaine de la créativité (la majorité des grandes réalisations humaines est le fait des hommes) ; vide affectif puisque toujours en demande jusqu’à enfanter pour tenter de combler ce vide ; manque en matière de réalisations car s’agitant en permanence dans tous les sens histoire de brasser du vide ; vide de satisfaction puisque courant d’un besoin à un autre, d’une envie à une autre, d’un bien à un autre, sans jamais se trouver satisfaite. Voilà pourquoi elles donnent l’impression de faire tant de choses, alors que tout ça n’est au mieux que du vent, au pire seulement du vide.

Or la nature masculine ayant horreur du vide, ou plutôt l'adorant, l’homme tente de combler, dans tous les domaines, les creux de la femme. C’est marrant d’ailleurs, comme il les choisit souvent les plus vides possibles, ou du moins plus vides que lui, intellectuellement, matériellement, etc. A tel point qu’il préférera souvent aux femmes lumineuses, de véritables trous noirs, blonds ou bruns, à l’éclat aussi superficiel qu’éphémère, ne laissant rien derrière eux, ou plutôt elles, à part du néant…

« Comblée, je suis comblée (jamais bien longtemps) » n’est-il pas l’un des leitmotivs de la femme ?

Histoire de conclure, je dirais que c’est sans doute pour toutes ces raisons que je préfère les femmes solaires aux grands trous noirs. Car elles existent. Elles sont rares mais elles sont là. Peut-être est-ce mon côté féminin qui ressent ainsi le besoin d’être comblé lui aussi. Ou bien mon goût pour l’échange, la complémentarité, le yin yang, le 69, la jouissance partagée, car au fond il n’y a rien de tel que l’échange. Et puis, finalement, ce sport extrême qu’est l’appel du vide, le base-jumping affectif, avec l’âge, il finit par lasser, pas vous ?

Un réquisitoire, très second-degré, signé Silcéron ;-) 






lundi 16 octobre 2017

Harcélement sexuel (face B)

#MeToo 
#BalanceTaTruie 

A l’heure du grand déballage porcin en cours, j’ai décidé de nourrir cette gigantesque grillade avec l’histoire que m’a rapporté un proche au cours d’une discussion sur le sujet.

C’est qu’il me parait nécessaire de se pencher sur le pendant féminin du harcèlement pour de bonnes raisons : 1) la nature ayant mis en circulation autant de porcs que de truies, la folie féminine n'a rien à envier à la masculine 2) les femmes participant en premier lieu à l’éducation de leur fils et étant par conséquent pour partie responsables de leurs futures turpitudes ; ce qui ne va pas sans poser également la question de la place du père dans la transmission des normes sociales et de la maitrise de soi 3) nos sociétés ayant le devoir d’examiner l’intégralité du problème si elles veulent espérer éduquer leurs membres masculins et féminins dans ces domaines.

Donc, en plein bavardage sur les « harceleurs », progressivement agacé par la discussion, ce proche finit par m’indiquer que sans nier ou minimiser tout cela, il n'en est pas moins lui-même victime de harcèlement sexuel ; non pas d’un harcèlement comme il les aime, ou plutôt contre lequel il n’a rien, les avances même appuyées ne l’ayant jamais rebuté, mais d’un harcèlement particulièrement sournois et pervers.

En effet une cinglée se permet d’appeler sa femme sur son portable pour lui dire que son mari en aimerait une autre, ce qui n’a pas manqué, comme on peut l’imaginer, de semer un trouble certain aussi bien dans la tête de son épouse que dans le foyer. 

Décontenancé par une telle révélation, je commence par le taquiner : « oh toi, tu as frayé avec une tordue et maintenant, elle te poursuit, à l’image de Glenn Close dans le film ‘Liaison Fatale’ ».

« Même pas ! » me dit-il, avant de poursuive en indiquant «  je ne suis certes pas un père la vertu, j’aime les femmes, mais tu me connais, j’aime surtout la mienne, et je ne suis pas du genre à faire n’importe quoi, à risquer de faire souffrir les gens que j’aime sans état d’âmes, sans oublier que pour envisager d’aller voir en dehors du nid conjugal, il faudrait que la magie d’une éventuelle rencontre soit particulièrement puissante, et encore, je sais me contenir ». 

« Comment expliques-tu ça alors ? »  me permets-je. « Je ne me l’explique pas vraiment » me dit-il. « La seule fois où j’ai entendu parler de ce genre d’histoires c’était au lycée lorsqu’une greluche avait voulu piquer le copain d’une fille en racontant n’importe quoi à droite, à gauche, et surtout à la fille en question ».

Il est vrai que c’est là une technique de harcèlement extrêmement puérile  que l’on retrouve parfois à l’âge adulte chez certaines femmes particulièrement  immatures. Au lieu d’avoir le courage d’avouer son désir ou ses sentiments à l’être aimé, et voir si quelque chose est possible, ce genre d’idiote fout la merde dans l’espoir de tirer un quelconque bénéfice des pots cassés…

« C’est peut être ça » m’interrompt-il, « ou alors une justicière givrée qui me déteste pour une raison absconse et qui pense ainsi rendre service à ma femme ; ou encore une grosse frustrée qui compense sa misérable vie en cherchant à contrôler celle des autres, et qui oublie surtout qu’elle génère de la souffrance chez des gens bien réels, chez toute une famille. »

Je lui demande alors s’il a une idée d’où cela peut venir. Il me répond que sans entrer dans les détails, vu certains éléments dont l’autre tarée a parlé à sa femme, il est quasiment certain que cela provient de son lieu de travail.

« Génial n’est-ce pas ? Rien de tel pour aller travailler détendu, pour ne pas verser dans la parano, te demandant qui peut bien commettre une saloperie pareille, te harceler d’une façon aussi fourbe que lâche. »

Lui demandant ce qu’il compte faire, il me dit « si j’attrape l’immonde salope qui se permet ce genre de choses, je la traine en justice pour harcèlement, et si ce n’est pas possible, je transforme sa vie en véritable enfer. Que l’on s’en prenne à moi ne m’impressionne pas plus que ça. Par contre, s’en prendre à ma famille est un motif de guerre totale… »

« O tempora ! O mores ! » comme l’aurait dit mon bon Cicéron.

SILcéron

vendredi 13 octobre 2017

Harvey le Hutt et les Zizipocrytes


Je vous jure, j’ai beau atteindre un stade de connaissance de la nature humaine où je peux déterminer non seulement ce que les gens veulent mais surtout pourquoi ils le veulent, je n’en reste pas moins les bras régulièrement ballants devant les niveaux de connerie de mon espèce animale, me disant qu’Einstein avait raison lorsqu’il affirmait que « deux choses sont infinies, l'Univers et la bêtise humaine ; mais, en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue ».

Oh ! Je sais bien que la gestion hormonale de l’exercice du pouvoir n’est pas chose facile, et que comme disait ironiquement Paul Valery « le pouvoir sans abus perd son charme ».

Je sais très bien également que la maitrise des jeux de séduction entre hommes et femmes, mais aussi la gestion de toutes les ambiguïtés séductrices féminines, n’est pas chose aisée pour les petites bébêtes fragiles que nous sommes, nous les hommes. Mais enfin tout de même ! Comment accepter l’idée de s’avilir à ce point, de se vautrer ainsi dans la fange des instincts les plus primaires, de perdre de cette manière toute sa dignité d’homme ?

Diable ! Tous les Weinstein, et leurs complices, du monde du spectacle, de la politique, de l’entreprise, ou des simples  trottoirs, ne m’inspirent que du dégoût, un dégoût mâtiné d’un semblant de pitié. Par tous les dieux ! Monter aussi haut pour se comporter de façon aussi basse ! Cela en est  dantesque.

Cela étant, ne vont pas sans m’inspirer du mépris également, toutes ces demi-mondaines qui dans l’espoir de briller ont vendu leur âme aux démons de ces Weinstein, Clinton, etc, et qui viennent maintenant devant les caméras tenter de laver leur semblant de dignité avec des larmes de crocodile, quand ce n’est pas pour accuser tous les bonshommes des turpitudes des hommes de leur seul entourage. N’est-ce pas Hillary ? Pathétiques !

Bref ! C'est tout de même dingue, tous ces gens tordus (hommes et femmes) qui associent la sexualité, non pas au plaisir (partagé), à une forme de communion (avec l'autre), mais au besoin de pouvoir sur autrui. Quel terrible aveu d'impuissance sur soi et donc de soi... 





mercredi 11 octobre 2017

Mon éducation sentimentale avec Charles Bukowski


"La vérité profonde, 
pour faire n'importe quoi, pour écrire, pour peindre, 
est dans la simplicité. 
La vie est profonde dans sa simplicité.

Charles Bukowski
 
J'ajouterai ce constat récurrent et le principe qui en découle, voulant que les gens complets cherchent la simplicité, là où les gens simplets ont une fâcheuse tendance aux complications, ce qui suppose de toujours chercher à se simplifier la vie ainsi que celle des autres, mais également d'apprendre à résoudre au mieux les complications et à mettre à distance celles et ceux qui ne savent vivre que pour ou par cela...


lundi 9 octobre 2017

Mon Pauvre Trump…


Plus j’observe le clown de la Maison Blanche et plus je pense à cette vanne qu’un ami républicain nous avait sorti pendant la campagne présidentielle.

« Trump est la meilleure idée du winner qu’est capable de se faire un loser »

Il est vrai qu’à part brasser de l’air et faire dans la rodomontade stérile, ce matamore se montre parfaitement incapable de quoi que ce soit d’utile.

D’ailleurs dans trois ans et demi, alors que cette Queen Drama  ne manquera pas de vanter le fait d’être parvenu à son « top », avoir été président des USA, la plupart de gens se diront « mon pauvre Trump, tu n’as pas été président, tu as été ridicule ».


vendredi 6 octobre 2017

La Culture du Djihad et ses Fruits pourris

Le Cri de Mahomet par Bibi

Au rayon petites observations bienveillantes, avez-vous remarqué à quel point sont nombreux nos proches musulmans en situation de conflit intérieur, extérieur, périphérique, central et tutti quanti ? 

Avez-vous remarqué, malgré toutes leurs indéniables qualités, à quel point ils sont nombreux à se montrer cruels envers eux-mêmes, leurs proches, leur entourage, tout en n’acceptant pas la moindre critique légitime sous peine de crise d’hystérie ? 

Avez-vous remarqué comment ils préfèrent souvent se confier à nous autres "Occidentaux" plutôt qu'à leurs coreligionnaires, parce que de leur propre aveu, nous sommes bien plus dans l'écoute bienveillante, la compréhension, ou le coup de main désintéressé, que dans le jugement ou la censure morale ?

Pourquoi donc, me demandais-je l’autre jour. Élémentaire mon petit gars, finis-je par conclure. « It’s the Djihad stupid ! »

En effet, à l’évidence, loin de la simple saine autocritique et exigence envers soi, la culture du djihad, conflictuelle par essence, tend à faire tomber nos cousins musulmans dans une culture de l’affrontement permanent avec soi-même et le monde entier. 

Comment, dans ces conditions, pouvoir gouter alors à la joie de vivre en paix, intérieure et extérieure… 

Par conséquent, m’est avis que la culture du djihad fait partie également, de ces mauvais fruits de Mahomet à fiche à la poubelle, ou bien à en restreindre la consommation histoire d’éviter les diarrhées prolongées… 

Dr HouSIL
 

jeudi 5 octobre 2017

L’islam pour les Nuls (en moins de trois minutes)



Si vous n'avez pas eu le temps ou l'envie de vous taper (comme je l'ai fait) le coran, son exégèse d'Al Tabari, les hadiths d'Al Bukhari, la Sîra de Mahomet, un petit état des débats intellectuels autour de cette question... 

Et vu que nos télévisions ne nous servent principalement que, soit de la propagande gauchiste-pro-islamique, ou bien des délires racistes et paternalistes, voici la problématique islamique exposée par l’écrivain et journaliste britannique, Douglas Murray. Le tout de façon aussi brillante que concise, sans oublier une pointe d'humour britannique. Une vision que je partage à 100%…

SILiman le Magnifique 

mardi 3 octobre 2017

Islamisme-Modernité : le Choc expliqué par Wafa Sultan

 


"Le conflit auquel nous assistons aujourd’hui, sur la scène internationale, n’est ni un conflit de civilisation ni un conflit de religion, c’est un conflit entre deux contraires. Un conflit entre deux époques et deux mentalités, l’une se rattachant au Moyen Age et l’autre au XXIe siècle. C’est un conflit entre la répression et la liberté, la dictature et la démocratie, la barbarie et la rationalité, le respect des droits de l’homme et la violation des ces mêmes droits ; un conflit entre ceux qui classent les femmes avec les chiens et les ânes, et ceux qui en font un critère de civilisation, de raffinement et de progrès."


lundi 2 octobre 2017

Terrorisme islamiste : c’est la faute à l’idéologie, imbécile ! (ni économie, ni école, ni immigration, ni conflit israélo-arabe)

 Petit joke résumant assez bien 
l'état capitulard dans lequel pataugent nos sociétés
à l'heure où nos gosses ont de plus en plus peur


Je ne sais pas vous, mais moi, j’en ai plus que soupé des sempiternelles niaiseries débitées, encore et toujours, malgré les réguliers actes de guerre djihadiste, par les crétins télévisuels habituels qui, après n’avoir rien compris toutes ces décennies, ne parviennent qu’à nous démontrer définitivement qu’ils font bien plus partie du problème que de la solution…

Eh vas-y que j’éructe les mêmes banalités islamo-gauchistes sur la pauvreté, la croissance, l’immigration, les prisons, l’école, le conflit israélo-arabe, quand ils ou elles n'utilisent pas carrément le vocabulaire islamiste en qualifiant les terroristes de "martyrs".  Marre à la fin ! Marre de toute cette cécité capitularde ! P’tain de cauchemar. 

Reprenons :

1) « La croissance apaiserait les tensions » : si la pauvreté a toujours été un terreau pour les manipulateurs tyranniques de tout poil, c’est moi ou la croissance que l’on peut observer en Suède, en Allemagne, et dans d’autres pays, n’apaise aucune tension avec la frange la plus fanatique des musulmans ? Pourquoi donc ?!?

2) « Il faudrait que l’école soit plus ceci, moins cela, et vice-versa » : s’il est certain qu’une école bonnet d’âne menée par des enseignants englués dans la plus médiocre et misérabiliste des bien-pensances participe du problème, serait-elle en mesure, en situation de réveil, de résoudre ceux que posent justement les enfants de cette frange intégriste des musulmans qui refuse à cette même école toute voix au chapitre ? Peut-être à coups de torgnoles… en aura-t-elle le courage ?

3) « l’immigration n’a rien à voir avec ceci, est une chance de cela, etc » : ras-le-cul de voir le terme immigration récupéré par l’immigration musulmane. Les musulmans ne sont pas « l’immigration ». Il n’y a pas une immigration. Il y en a plusieurs. Certaines sont bénéfiques, et effectivement une chance autant pour la France que pour les immigrés, d’autres une nuisance. Aussi, mettons les pieds dans le plat, en nous demandant si l’immigration en général est un problème ou bien si le problème ne réside pas dans une immigration en particulier, et plus précisément dans une partie de celle-ci ? En cas de réponse positive, il conviendra de se demander si on doit continuer une telle folie migratoire ? En se demandant également comment faire pour continuer d’accueillir des immigrés musulmans chérissant notre mode de vie, en quête de liberté et d’opportunités d’une meilleure vie pour eux et leurs enfants, tout en écartant ceux qui n’espèrent qu’une chose, nous tondre comme des moutons en attendant que leurs enfants soient en âge de nous égorger ?

4) « Y’a qu’à éviter l’emprisonnement, facteur de radicalisation » : bah tiens ! Perso, au-delà du débat sur la radicalisation en prison, ce qui m’étonne, c’est que personne ne réclame le retour immédiat de « la double peine », préférant imposer aux Français une quintuple peine : recevoir chez eux des connards non-invités ; accepter de se faire voler, violer ou tuer par ces raclures ; leur payer un fort couteux séjour en prison-club-med ; les voir de nouveau commettre leurs forfait en quasi-totale impunité ; quand ce n’est pas nous faire la guerre… Palsambleu ! Que l’on expulse tous les délinquants « étrangers ». S’ils nous disent qu’ils ont une famille, répondons-leur qu’il fallait y penser avant. Quant aux criminels « étrangers » ou français-de-papier, pourrissons leur la vie jusqu’à plus soif par de lourdes peines, jusqu’à ce qu’ils aient envie d’aller voir ailleurs si l’herbe ne serait pas plus verte. Et si c’est pour faire le djihad, tant pis ou tant mieux…

5) « le jour où le conflit israélo-arabe sera résolu, gnignigna, gnagnagna » : Ah oui ! Pourrait-on me dire quelle résolution de quel conflit empêchera les Yezidis, les Kurdes et les Chrétiens du Levant de se faire expulser, massacrer ou vendre comme esclaves… les Chrétiens du Nigéria d’être victimes des mêmes criminels… sans oublier les Fours du Soudan… les Coptes d’Égypte… les non-musulmans du Mali, du Centrafrique, du Kenya, du Pakistan, de Malaisie, d’Indonésie, des Philippines… mais aussi les libéraux et progressistes arabes du monde arabo-islamique…

Conclusion pour ceux qui n’auraient toujours pas compris, le problème est culturel, idéologique et politique. Tant que cette idéologie rigoriste-islamique, ayant pris possession du cœur du monde musulman au 19e siècle et ayant le vent en poupe grâce à l’argent du pétrole, à laquelle s’est ajoutée un nationalisme arabe de type fasciste, ne sera pas défaite idéologiquement, politiquement, ou militairement, nous continuerons à patauger dans la même merde…

SILiman le Magnifique