lundi 2 octobre 2017

Terrorisme islamiste : c’est la faute à l’idéologie, imbécile ! (ni économie, ni école, ni immigration, ni conflit israélo-arabe)

 Petit joke résumant assez bien 
l'état capitulard dans lequel pataugent nos sociétés
à l'heure où nos gosses ont de plus en plus peur


Je ne sais pas vous, mais moi, j’en ai plus que soupé des sempiternelles niaiseries débitées, encore et toujours, malgré les réguliers actes de guerre djihadiste, par les crétins télévisuels habituels qui, après n’avoir rien compris toutes ces décennies, ne parviennent qu’à nous démontrer définitivement qu’ils font bien plus partie du problème que de la solution…

Eh vas-y que j’éructe les mêmes banalités islamo-gauchistes sur la pauvreté, la croissance, l’immigration, les prisons, l’école, le conflit israélo-arabe, quand ils ou elles n'utilisent pas carrément le vocabulaire islamiste en qualifiant les terroristes de "martyrs".  Marre à la fin ! Marre de toute cette cécité capitularde ! P’tain de cauchemar. 

Reprenons :

1) « La croissance apaiserait les tensions » : si la pauvreté a toujours été un terreau pour les manipulateurs tyranniques de tout poil, c’est moi ou la croissance que l’on peut observer en Suède, en Allemagne, et dans d’autres pays, n’apaise aucune tension avec la frange la plus fanatique des musulmans ? Pourquoi donc ?!?

2) « Il faudrait que l’école soit plus ceci, moins cela, et vice-versa » : s’il est certain qu’une école bonnet d’âne menée par des enseignants englués dans la plus médiocre et misérabiliste des bien-pensances participe du problème, serait-elle en mesure, en situation de réveil, de résoudre ceux que posent justement les enfants de cette frange intégriste des musulmans qui refuse à cette même école toute voix au chapitre ? Peut-être à coups de torgnoles… en aura-t-elle le courage ?

3) « l’immigration n’a rien à voir avec ceci, est une chance de cela, etc » : ras-le-cul de voir le terme immigration récupéré par l’immigration musulmane. Les musulmans ne sont pas « l’immigration ». Il n’y a pas une immigration. Il y en a plusieurs. Certaines sont bénéfiques, et effectivement une chance autant pour la France que pour les immigrés, d’autres une nuisance. Aussi, mettons les pieds dans le plat, en nous demandant si l’immigration en général est un problème ou bien si le problème ne réside pas dans une immigration en particulier, et plus précisément dans une partie de celle-ci ? En cas de réponse positive, il conviendra de se demander si on doit continuer une telle folie migratoire ? En se demandant également comment faire pour continuer d’accueillir des immigrés musulmans chérissant notre mode de vie, en quête de liberté et d’opportunités d’une meilleure vie pour eux et leurs enfants, tout en écartant ceux qui n’espèrent qu’une chose, nous tondre comme des moutons en attendant que leurs enfants soient en âge de nous égorger ?

4) « Y’a qu’à éviter l’emprisonnement, facteur de radicalisation » : bah tiens ! Perso, au-delà du débat sur la radicalisation en prison, ce qui m’étonne, c’est que personne ne réclame le retour immédiat de « la double peine », préférant imposer aux Français une quintuple peine : recevoir chez eux des connards non-invités ; accepter de se faire voler, violer ou tuer par ces raclures ; leur payer un fort couteux séjour en prison-club-med ; les voir de nouveau commettre leurs forfait en quasi-totale impunité ; quand ce n’est pas nous faire la guerre… Palsambleu ! Que l’on expulse tous les délinquants « étrangers ». S’ils nous disent qu’ils ont une famille, répondons-leur qu’il fallait y penser avant. Quant aux criminels « étrangers » ou français-de-papier, pourrissons leur la vie jusqu’à plus soif par de lourdes peines, jusqu’à ce qu’ils aient envie d’aller voir ailleurs si l’herbe ne serait pas plus verte. Et si c’est pour faire le djihad, tant pis ou tant mieux…

5) « le jour où le conflit israélo-arabe sera résolu, gnignigna, gnagnagna » : Ah oui ! Pourrait-on me dire quelle résolution de quel conflit empêchera les Yezidis, les Kurdes et les Chrétiens du Levant de se faire expulser, massacrer ou vendre comme esclaves… les Chrétiens du Nigéria d’être victimes des mêmes criminels… sans oublier les Fours du Soudan… les Coptes d’Égypte… les non-musulmans du Mali, du Centrafrique, du Kenya, du Pakistan, de Malaisie, d’Indonésie, des Philippines… mais aussi les libéraux et progressistes arabes du monde arabo-islamique…

Conclusion pour ceux qui n’auraient toujours pas compris, le problème est culturel, idéologique et politique. Tant que cette idéologie rigoriste-islamique, ayant pris possession du cœur du monde musulman au 19e siècle et ayant le vent en poupe grâce à l’argent du pétrole, à laquelle s’est ajoutée un nationalisme arabe de type fasciste, ne sera pas défaite idéologiquement, politiquement, ou militairement, nous continuerons à patauger dans la même merde…

SILiman le Magnifique
 

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