mardi 30 janvier 2018

Jeux de Fonte par Temps de Crue


 1) "Vade Retro Sequana ou tu tâteras de ma hache" Lutetia
2) "Accroche-toi bien Jean-Louis, ça monte !" 
Les Nautes du Pont Bir-Hakeim
3) "Elle peut toujours monter, je saurai garder la flamme au sec" 
La Liberté du Pont de Grenelle

 

lundi 29 janvier 2018

La Méduse du Pont des Invalides


"Nom de Zeus ! Je me vois !
(bruit de pétrification)
La Méduse du Pont des Invalides 
Médusée par son reflet dans une Seine qui monte...

vendredi 26 janvier 2018

Seine en Crue : arrêté préfectoral anti-Jésus (!)


Message du Préfet pour Jésus : 
Il est interdit de marcher sur l'eau 
Pour cause de courant trop violent :-)


mercredi 24 janvier 2018

Fake News


Plutôt que de faire un sermon sur le fait que le politique a pour devoir de s'occuper de ce qui relève du légal et non de la vérité, ou d'ironiser sur le fait que lorsque des politiques se préoccupent de vérité, on a surtout l'impression qu'ils tiennent  à s'arroger le monopole du mensonge, je raconterai une blague juive.

Alors c'est le vieux Simon, retraité des PTT, qui lit son journal sur un banc de la Paul Valery à Sarcelles. Samuel, qui a vendu son épicerie de quartier il y a peu d'années, voyant son vieil ami, vient le rejoindre. Arrivant à sa hauteur, il marque sa surprise en contemplant le titre du journal, "Le Complot Juif". Simon plongé dans sa lecture ne remarque pas son ami. Samuel l’interrompt d'un sévère "dis-moi Simon, pourquoi lis-tu ce torchon, t'as la cervelle qui vire au houmous ?".

Simon, l'air sortant d'un rêve, lève les yeux vers Samuel, soupire et lui dit. "Vois-tu Samuel, de tous les côtés les nouvelles sont mauvaises. Tout augmente, ma retraite fond comme la banquise des ours polaires ; nos ennemis pullulent, nos alliés sont peu nombreux ; nos enfants se font attaquer dans les rues ou abattre dans nos écoles maternelles ; notre cité est cernée et Israel joue régulièrement son avenir à la roulette arabe. Alors pour une fois que je peux lire quelque part que nous sommes les maitres du monde baignant matin et soir dans des rivières de métaux rares, je bois du petit lait et du miel, ce qui me fait du bien".


lundi 22 janvier 2018

Mon Temple d'Or et son Naos


Quel antre plus beau que celui des femmes 
mériterait l’érection de monuments et lieux de culte ?

 Aucun ! C’est pour cette raison, qu’à chaque fois que je tombe sur des articles traitant de l'excision, et qu'une certaine lassitude esthétique me vient devant ces clochers et autres minarets phalliques, je rêve de voir surgir un peu partout des églises à la gloire de cette source de Vie qu'est l’intimité féminine.

Elles reprendraient de façon stylisée ses jolies formes florales ou son design. De quoi faire aussi bien dans le troglodytique que le baroque ou le zen, avec un magnifique clitoris architectural couronnant la façade, sous lequel s’écoulerait le fluide tiède d’une source sacrée. Quelle ablution plus douce que celle-ci ?

En parfait officiant, après un vibrant appel à la prière, je m’en irai susurrer en sa direction : « laisse-moi caresser la porte de ton temple d’or, d’un mot, d’un Sésame ouvre toi, du toucher, du regard, d’un baiser »

Car au mur des lamentations, je préfère largement la porte des soupirs et la douceur de ta chambre pourpre. Les dieux m’en sont témoins. Plutôt qu’envers le saint des saints, je penche pour le Naos de ton Intime. Ainsi soit-il.

Frère SILas
 

Du Cunnus et son Naos


Telle une Oasis en plein Désert



vendredi 19 janvier 2018

Misogyne : "tu quoque mi Sili ?"


Dame Quidam, m'écrit pour me faire part de son malaise. « Dites-moi mon cher Sil, j’ai beau vous savoir à la pointe du combat féministe, bien plus acharné parfois sur ce terrain que nos chiennes de garde, je ne peux m’empêcher de penser que certains de vos billets, et plus particulièrement les derniers en date, versent un tantinet dans la misogynie ? C’est que cela ne vous va pas au teint. Que vous arrive-t-il, mon petit gars ? »

Ah ma bonne-dame Quidam, si vous saviez ; si vous saviez à quel point la misogynie m’est étrangère. Étrangère, oui. Cependant, pour ne rien vous cacher, apprenez également que j’ai toujours détesté les mielleuseries de toutes sortes, qu'elles soient hypocrites ou condescendantes, et que par conséquent mon féminisme est tout bonnement l’un des fronts de mon engagement humaniste. Car au fond, je fais rarement ce genre de choses pour plaire ou pour expier quoi que ce soit, mais plutôt par conviction. Sans compter que je ne voudrais pas que mes admiratrices les moins matures pensent que je suis une sorte de couille molle françoyse qui dirait toujours oui à sa bourgeoise. Aussi, féministe, oui, mais pas moins mâle.

C’est que des fois, je me sens déjà suffisamment greluche comme ça. Vous en connaissez beaucoup des gaillards qui avouent avoir pleuré une demi-douzaine de fois sur le film « Titanic » de Cameron.

Greluche mais également femme. Ne faites pas cette moue-là, voyons. Je n’y peux rien. Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours eu le sentiment qu’une partie de moi murmurait, chantait et hurlait comme une femme, une partie de moi que je n’ai jamais vécu comme un corps allogène, bien au contraire. Voilà à quel point je me sens étranger à toute forme de misogynie.

D’ailleurs, histoire de tout vous révéler, mes intimes, ceux qui connaissent mon passif (passé ou plus récent) avec ce côté obscur du matriarcat qu’est la paranoïa gyniste (les hommes, le monde, la vie, sont mes ennemis, et mes enfants ma seule véritable propriété), s’étonnent parfois que je ne fasse pas preuve d’un peu plus de misogynie. Je leur réponds en général que lorsque l’on sait faire la part des choses, on fait la part des choses. Oh, ce n’est pas l’envie qui me manque quelques fois d’envoyer au diable  toutes ces femelles en leur disant « démerdez vous avec vos véritables ennemis », et laissez-moi m'envoler pour la planète Mars. Oui mais voilà. Le fait que les femmes aient leur folie propre à traiter, et qu’un certain nombre d’entre elles savent très bien nous rendre dingues, n’enlève rien au fait que nos mères, nos sœurs et nos filles ont des droits pour lesquels nous devons tous nous battre face aux plus violents des rétrogrades. 


Moralité, macho ma non troppo

John Stuart Sill 

mercredi 17 janvier 2018

La Guerre des Sexes n'aura pas Lieu


"Personne ne gagnera
jamais la guerre des sexes.
Il y a trop de fraternisation avec l'ennemi"
Henry Kissinger

Parce qu'une bonne citation vaut bien mieux
qu'un trop long discours :-)

lundi 15 janvier 2018

Contradictions féminines (entre autres)


Petit thé avec ma copine d’enfance. J’adore cette fille. En plus de toutes ses qualités, j’aime bien toutes les jolies contradictions avec lesquelles elle se dépatouille tant bien que mal.

Le genre de personnage qui se veut plus ou moins anarchiste mais qui contrôle absolument tout autour d'elle. Obsédée du rangement, hygiéniste, un brin parano, collectionnant les aliments bio, les petites potions minceur, beauté, santé, faisant tout entrer dans des petites cases, y compris les sentiments ou la sexualité, ne voulant pas d’enfants pour de bonnes raisons, pour de mauvaises en fait, n’assumant pas tout à fait sa féminité, ne trouvant pas de mec capable d’en vouloir plus qu’elle, de l’aimer vraiment et d’assumer pour la partie qui lui revient, la part de chaos que ces petits montres amènent dans nos vies. Le genre de fille à détester le pouvoir mais qui est capable de l’exercer avec peu de discernement, qui déteste les politiques ou l’autorité mais qui ne fonctionne que sur le mode conflictuel imperméable à la culture du compromis.

Si je vous dis ça, c’est parce qu’aujourd’hui, elle est de mauvaise humeur. Je sens qu’elle va me prendre la tête. Ça m’énerve déjà mais ce n’est pas grave. C’est ma copine d’enfance…

En effet, ça démarre fort. Elle me demande des nouvelles de mes gosses. Je lui raconte que ma fille joue à conduire des navettes spatiales. Elle m’enchaine direct sur un « je suis certain que t’as réussi à lui mettre tes conneries cosmiques dans la tête, l’enchainant à tes ambitions déçues comme pas mal de parents ». Je lui réponds qu’elle exagère une peu mais aussi que, la connaissant, et pour l’avoir vu jouer avec mes gamins, je suis certain qu’elle exercera bien plus de pressions et de contrôle sur les futurs siens que moi sur les miens. Elle me dit que cela ne se produira pas.

La conversation vire au politique. Engoncée qu’elle est dans la doxa franchouillarde anti-tout, elle critique une fois encore mes positions libérales. « De toute façon, je n’aime pas ça, les politiques » qu’elle me dit. Je lui répète de nouveau, que faute de citoyens plus autonomes, c’est là un mal nécessaire, et que mon modèle démocratique est suisse ou américain, un modèle où les citoyens décident de quasiment tout depuis les lois jusqu’à ceux, procureurs ou juges, chargés de veiller à leur application, et des contre-pouvoirs à tous les étages. Elle n’aime pas ce modèle là non plus.

Je lui demande ce qui ne va pas. Elle fond en larmes. Elle m’explique. Je la console. J’adore cette fille. Je n'aimerais pas vivre avec mais je l'adore...

SILounet 

vendredi 12 janvier 2018

Petit Hommage aux Hétaïres


La Prostituée,
de tout temps, la seule femme
à afficher clairement, le tarif à l'entrée

1) Marie-Madeleine école Da Vinci
 2) Lais de Corinthe par Holbein
3) "Rolla" et Marie par Henri Gervex
4) Socrate arrachant Alcibiade des bras d'Aspasie ;-)

mercredi 10 janvier 2018

Dans féminisme il y a "ism" (!)


Il y a des matins comme ça où des idées vous viennent un peu comme on tombe du lit, poussé que vous êtes par un « lève-toi feignasse, le devoir t'appelle ». Ce matin-là, à jeun, sans le moindre gramme de Nesquik dans le sang, ni la moindre de ces stimulations synaptiques d'origine radiophonique que je dois aux « Matins de France Culture », je me suis rendu compte que dans « féminisme » il y avait un hic, il y avait un –ism.

Une prise de conscience traversée d'éclairs historiques mais surtout musicaux. Il est vrai qu'au lieu d'écouter mes « matins», j'avais programmé mon radio-réveil sur RTL2, la radio des nostalgiques des « eighties » tels que moi.

« Girls just wanna have fun » tonnait dans mon tuner. « Bon sang mais c'est off course », me disais-je. Les temps changent. L'envie de fun ne dure qu'un temps. Cindy Lauper, aussi, avait compris que dans féminisme, il y un –ism, le –ism de bien des systèmes de pouvoir. « -ism » comme socialisme, communisme… royalisme ou fascisme. Bon sang, et si le Féminisme n'était pas forcement une quête d'égalité mais plutôt un agenda de prise du pouvoir ? Hein ?

Un programme politique avançant masqué, progressant pas à pas. On commence par chanter des envies de « fun » au début d’années 80. Ça tombe bien, nous sommes tous pour le « fun », surtout s’il est partagé.

Puis en 1990 on donne dans le « I've got de power ». Le groupe SNAP est allemand. La chanteuse est noire. Le rythme est techno. Tout ça vous ramollit le ciboulot. Vous ne voyez pas le complot venir alors qu’il s’ourdit dans l’ombre. Tels ces messages lancés à la radio par des mouvements clandestins, le mot d'ordre est lancé. « I've got de power ». Elles le veulent. Elles l'auront.

Je comprends alors, que Mitterrand, ce grand visionnaire qui ne quittait jamais le sens de l'histoire des yeux, avait essayé d'allumer des contre-feux. En ridiculisant la femelle par la nomination, entre 1991 et 1992, d’Edith Cresson au poste de Premier ministre. Cela n’a pas suffi. Je saisis également qu’avant de rejoindre le monde de la Force « de l’Esprit », Maitre François avait transmis son secret à Jacques Chirac qui s'appliquera à faire de même notamment avec « les Jupettes », ces femmes sous-ministres du premier gouvernement Juppé qui n'auront gouverné que six mois, du 17 mai au 6 novembre 1995. Un camouflet qui ne calmera pas pour autant les appétits de nos louves. Loin de là.

Dix ans après ça, voilà que Ségolène Royal rêve d'établir son « Ordre juste », j'en frémis encore, et que Hillary Clinton se rêve en « Commander in Chief », aidées toutes les deux dans leur grand projet par les attaques du 11 septembre. Une autre évidence qui me saisit.

Oui, tout à fait. Je suis en mesure de révéler au monde entier que les attaques du 11 septembre ne sont pas le fait d'Al Qaida, mais du LFM, la Ligue Féministe Mondiale. Certes il est vrai que ces grosses fiottes d'islamistes ne supportent pas que l'on en ait une plus grande que la leur mais au fond, à qui profite vraiment ce crime, cet effondrement programmé des deux plus remarquables phallus nord-américains ? Aux LFM, c'est évident. Il s'agit-là d'un attentat castrateur et rien de plus. Je peux le démontrer. Mais ce sera pour une autre fois.

Là, j'ai surtout envie d'implorer mes camarades de se réveiller. L'oppression approche en talons aiguilles mais pas seulement. N’avez-vous pas remarqué que les bottes pour femmes sont très tendance, hiver comme été. Un signe évident qui parlera à Thierry Meyssan, Alain Soral, Jean-Marie Bigard ou à Dieudonné.

Mes frères, le complot féministe est à l'œuvre. Il nous faut résister !

« Chéri, réveille-toi ! » me dit mon amoureuse. « Quoi ? Comment ? Que se passe-t-il ? » Je lui demande. « Je crois que tu t'es rendormi sur Cindy Lauper. Dépêche-toi, tu vas être en retard. Je t'ai préparé ton Nesquick ».

« Merci mon ange » que je lui dis.

Devant mon Nesquik, ma rêverie de sortie de nuit me revient en mémoire. J'en rigole et puis soudain, à l'écoute de France culture, un doute s'incruste dans mon esprit. Je n’arrive pas à me retirer de la tête l’idée que chez certaines femelles, la lutte continue, continuera longtemps, que l'égalité pour acquis ne leur suffira jamais, et qu'elles ne cracheront ce couteau qu’elles portent entre les dents que le jour où nous serons à genoux. Réveillez-vous, mes frères ! Réveillez-vous… « Comment ?!? Oui, ma chérie, j'arrive… » Promis, on en reparle très bientôt :-)

SILalutte finale 




lundi 8 janvier 2018

La Femme en Equations

"Avec les Femmes tout est Relatif"

Parmi les documents rédigés par Albert Einstein récemment mis en vente,  ma loge illuminati-reptilienne-ultralibérale a acquis à prix d'or une tentative de mise en équation de la Femme se soldant par un échec.

Une brillante tentative qui, à l'examen de l'équation en question, m'a amené à conclure qu'Einstein n’avait pas forcement choisi la bonne théorie pour modéliser le « sexe faible ». Non pas que la théorie de la relativité ne permette pas d’aborder la question de façon convenable, vu tout ce qui peut s’avérer relatif chez la femme, mais elle n’explique pas tout et surtout ne dévoile pas toutes les inconnues de l’équation féminine.

En vérité, Einstein aurait dû utiliser la théorie du chaos et autre modèles issus de la physique quantique. Car force est de constater que la femelle sapienne-sapienne est l’un des rares êtres à pouvoir se trouver dans deux états opposés en même temps :

Solide et gazeuse, triste et joyeuse, sincère et menteuse, comblée et insatisfaite, calme et prise de tête, belle et moche (ou plutôt, bien que belle, elle ne s’en trouve pas moins moche), géniale et cruche, folle et sage, volcanique et glaciale, amoureuse et tueuse :-)

SILbert Schrodinger


vendredi 5 janvier 2018

Génération Casse-Couilles

Génisses Stériles Meuglantes

A quoi reconnait-on une génération de pimbêches geignardes aussi immatures qu'incapables de réprimer leurs tendances castratrices comme de saisir les opportunités offertes par une société égalitaire en droit ? C'est simple !

Au lieu de faire preuve d'imagination, de créativité, d'esprit d'entreprise ou d'initiative (y compris en matière de drague ou de simple expression non-ambiguë de sentiments et désirs), une grande partie d'entre-elles continue de geindre et de chercher à nous raboter les roubignoles dans le but de réclamer toujours plus en en faisant toujours moins, le tout en se doigtant les boyaux du cerveaux avec des concepts fumeux du genre "féminicide", "faiminisme" (le grand complot protéinique masculin), et autres "écritures inclusives luttant contre la culture linguistique de l'inégalité". Comme si les langues turque ou perse, ne connaissant pas la distinction de genre, cultivaient pas essence l'égalité des sexes. Comme si le masculin pour genre neutre en français, soit la neutralisation du masculin, ce n'était déjà pas assez androgyne comme approche. L'émasculation, y compris de la langue, pour toute pulsion créative, voilà leur triste obsession. Enfin bon ! 

Sérieux, est-ce que nous osons parler 'd'androcide' lorsque des hommes meurent sous les coups ou poisons de leurs compagnes ; osons réclamer une prime de risque généralisée sous prétexte que les hommes continuent d'exercer les métiers les plus exigeants et dangereux, ceux-ci demeurant les principales victimes des accidents du travail, notamment mortels (94% des victimes) ? Est-ce qu'on parlerait de culture 'patricide' quand ces péronnelles se rendent compte qu'un "bébé tout seul" c'est pas facile à assumer, alors qu'un couillon qui servira de géniteur-défouloir-signataire-de-chèques-de-pension-alimentaire-post-divorce-récréatif c'est tellement plus commode ? Ou encore de 'santé-moralicide' lorsque nos petites bourgeoises  passent leur temps à nous casser le tête  avec leurs sempiternelles exigences de gamines insatisfaites et autres perpétuels pets de travers névrotiques servant d'excuses à leur manque de courage... 

Non ! Rien de tout ça. Nous continuons de tenter de faire la part des choses, d'accomplir nos devoirs sans trop nous plaindre, tout en nous tapant leurs jérémiades.

Boudiou ! Y-a pas à dire ! Les femmes, en très grand partie, c'est encore et toujours beaucoup trop d'emmerdes pour assez peu de plaisir !

Plus sérieusement, ce que c'est pénible d'assister à l’émergence d'une génération de femmes semblant avoir abandonné la fertilité créatrice pour une très revancharde destruction sélective, en somme, visiblement plus tournées vers la destrudo (pulsion de mort) que vers la libido (pulsion de vie).

Ce que cela peut être, tout aussi frustrant, finalement, de vivre avec une mentalité égalitaire post-guerre-des-sexes type XXIIe siècle et d'attendre l’avènement de femmes qui y correspondront. Car à l'évidence celles-ci ne sont pas encore là, la majorité des nanas, y compris les plus jeunes d'entre elles, ayant beaucoup de mal à s'extirper de la culture petite-bourgeoise-fin-XIXe.

Dans ce paysage un brin désolant, heureusement qu'il reste quelques  très vivantes "vieilles peaux" à la Elisabeth Levy et compagnie, pour hisser haut l'étendard d'une féminité aussi libre que forte, infiniment plus désirable. Mes hommages, Mesdames. 

Sil

jeudi 4 janvier 2018

Savoir Choisir


Savoir choisir est un pouvoir que l'on découvre 
sur le tard ou souvent trop tard.
Mais une fois qu'on le découvre, 
on devient aussi attentif aux nôtres qu'à ceux des autres, 
vu que nos choix en disent long 
sur ce que nous sommes 
à un moment donné. 

Or étant donné que j'aime savoir à qui j'ai affaire...


 "Tout arrive pour une bonne raison.
Parfois cette raison est que tu es stupide
et que tu prends des mauvaises décisions"


"Tout dans notre vie est le reflet des choix que nous avons fait.
Si vous voulez un résultat différent,
faites un choix différent"

mardi 2 janvier 2018

Objectif Mont Vénus pour Ulis


 Cette Année, Ulis se fixe pour objectif 
d'approfondir son exploration du continent féminin. 
Il faut dire qu'entre les crevasses, 
banquises craquelantes et autres vents violents, 
cette Terre lui rappelle souvent son Antarctique natal :-) 
Taïaut ! Sortons le brise-glace et à l'abordage !


lundi 1 janvier 2018

Les Bonnes Résolutions du Père Ernest


Voilà des résolutions que je goute 
avec autant de délectation :-)
que le délicieux chocolat chaud et cheesecake 
servis dans le café Hemingway de la ville de Florence

"Soyez amoureux. Crevez-vous à écrire. Contemplez le monde. Écoutez de la musique et regardez la peinture. Ne perdez pas votre temps. Lisez sans cesse. Ne cherchez pas à vous expliquer. Écoutez votre bon plaisir. Taisez-vous." E.Hemingway.