vendredi 28 septembre 2018

Tulius Detritus 2.0 : portrait robot du touille merde


Au rayon observations aussi bien proches que lointaines, c'est marrant comme le stéréotype du fouteur de merde reste constant depuis la nuit des temps.

Ce même regard torve et cette façon oblique de se regarder marcher ; cette semblable fourberie sous masque de sympathie ; cette même façon de se frotter les mains ou le nombril tout en distillant ses très toxiques poisons au goût mielleux.

Ce similaire et exclusif talent pour le jet de boules puantes et moussage de purin, dans le seul espoir de tirer profit de toutes ces très pitoyables petites histoires.

Tout ça par désir maladif d’être le nombril du monde, alors qu’au vu du merdier systématiquement généré partout où il passe, le fouille-merde n’en est, à l’évidence, que l’un de ses multiples trous-du-cul.

Silgmund 

lundi 24 septembre 2018

Emploi en France : une affaire de passage-piétons...


Parmi les régulières sorties croquignolesques dont nous gratifie notre jeune président, actuellement bien plus dionysiaque que jupitérien, j’ai beaucoup aimé l’affaire de la « traversée de rue pour trouver du boulot », qui restera certainement dans les annales, pas forcément pour la référence sibylline au rationalisme péripatéticien que cachait certainement cette assertion présidentielle.

Aussi, voici un petit Best-Off des récentes grivoiseries qu’il suscita chez les « Gaulois réfractaires ».

Sinon, mes petits penchants herméneutiques me poussent à dire la chose suivante à notre cher président, dont nous demeurons le patron du fait de notre souveraineté populaire.

Si je n’ai rien contre un peu de disruption et de bousculade des Français dans leurs très geignardes habitudes et attentes que tout leur tombe tout cuit dans le bec de la part de l’État, j’attends qu’il nous offre les mêmes séquences à l’endroit de nos élites, souvent atteintes des mêmes pathologies, faute de quoi il apparaitra comme fort avec les faibles (les chômeurs) et faible avec les forts (les élites économiques et autres gangsters torses-nus).

Bref, à quand un remontage de bretelles des responsables du MEDEF ou de la Finance, toujours à quémander baisses de charges (certes justifiées) ou contrats D’État et autres interventions étatiques salvatrices (beaucoup moins justifiables). 



mercredi 19 septembre 2018

Il est des bouches dont on...


Il est une bouche
dont j'aurais goûté volontiers
le premier comme l'ultime baiser

Des yeux bleus
dont je contemple émerveillé
tout coucher comme chaque lever

Des boucles de cheveux
que je pourrais caresser
toute l’éternité et même après

Sil

lundi 17 septembre 2018

Enseignement de l’arabe à l’école et autres projets civilisateurs franchouillards


Petit retour sur l’affaire de l’enseignement de l’arabe à l’école pour en souligner ce qui m’a bien fait rire. Une partie des motivations de cet enseignement et plus particulièrement cette « volonté de redonner du prestige à la langue arabe » exprimée par le ministre de l’enseignement.

Incroyable ! Comme quoi, à l’évidence, notre classe politique demeure incapable de s’extirper de cette condescendance franchouillarde, qui la pousse à espérer redonner du prestige à une langue étrangère plutôt qu’à maintenir la grandeur de sa propre langue que ce soit à l’étranger ou même et surtout sur son sol national au sein duquel les territoires perdus de la république et francophonie s’étendent.

Tiens ! C’est comme cette volonté manifestée par le ministre Mahjoubi de « civiliser l’Internet ». Voilà le retour du discours civilisateur des terres barbaresques 2.0 que serait la Terra Numérica et que nos petits descendants de l’universalisme à la Jules Ferry voudraient « civiliser ». Mortus Ridendo !

PS : sinon, personnellement, si vous tenez à le savoir, je suis favorable à l’enseignement de l’arabe.

Non pas à l’école primaire où doivent demeurer enseignées uniquement le français et la lingua franca internationale qu’est l’anglais…

Non pas pour prévenir la « radicalisation » ou motif qu’un arabe enseigné par l’école éloignerait de l’interprétation coranique qu’en ont les islamistes (mes petits gars, le coran qu’il soit lu en arabe de l’école, des caves, en français, en quelque autre langue que ce soit, n’en demeurera jamais moins une immondice spirituelle et morale corruptrice d’esprits faibles ou non doués d’esprit critique – prière tout simplement de le lire au moins une fois avant de dire des conneries - ). La seule chose qui préviendra la radicalisation sera la culture de l’esprit critique  et l’enseignement des valeurs laïques et progressistes…

Tout simplement parce que l’arabe est avant tout une langue commerciale et un vecteur culturel de première importance utilisé par des centaines de millions d’habitants de la planète, offrant donc à notre pays des débouchés culturels et économiques, et qu’il serait bon de proposer à nos élèves dès le collège.


vendredi 14 septembre 2018

La beauté (féminine) adoucit les mœurs


Il est vrai qu'il nous incombe de tenir compte, dans l'espace public, des limites de l'autre en matière de pudeur sous peine de subir un certain mécontentement, mais de là à lui valoir une immonde pluie d'insultes, voilà qui patauge dans le délirant.

Pour ma part, dieux que ça fait du bien, dieux que c'est doux de pouvoir admirer les jolies courbes d'une femme joyeusement libre.

Car loin de m’enrager, je considère que la contemplation de la beauté, notamment celle de la femme, qu’elle soit abruptement nue ou suggérée, est matière à adoucir les mœurs. Toutes choses que ne comprendront jamais les très immatures pudibond(e)s de toute chapelle. 

Aussi, Merci Constance pour ce délicieux moment…


mercredi 12 septembre 2018

Les bienfaits de la beauté feminine


N’en déplaise aux très cinglés singes du désert qui veulent détourner lors des prochaines compétitions internationales, le regard des caméras des jolies supportrices présentes dans les stades defoot, sous prétexte que la beauté féminine les ferait sortir de leur très fragiles gonds moraux…

N’en déplaise aux guenons aigries agrippées aux ronces du féminisme plus septentrional actuel, opposées, sous prétexte de sexisme, entre autres, à ce que l’on puisse admirer les jolies rondeurs des poitrines de concurrentes lors de l’épreuve des cylindres du Fort Boyard

N’en déplaise à ces primitifs.ves, bien qu’attaché au respect de la pudeur des un(e)s et des autres, je trouve personnellement qu’il n’y a rien de plus doux que de pouvoir contempler la beauté de la femme. Cette contemplation tendant même à bien plus m’élever l’âme, et adoucir mes mœurs, qu’à nourrir mes fantasmes…

lundi 10 septembre 2018

Nécroses du féminisme : après les regards appuyés, le regard obligatoire


Alors celle-là, je la voyais venir, mais alors venir. Je me demandais juste combien de temps nos gorgones du féminisme-inclusif-cisgenré-antispécisme-et-pour-la-transition-énergétique (aka « casse couilles ») mettraient à passer de la pénalisation du regard appuyé (j’attends avec impatience les premières jurisprudences en la matière) à l’exigence de regard-minimal-cajoleur-de-narcissismes-délirants.

Y’a pas à dire, nous vivons une putain d’époque formidable… celle où des idiotes rêvent de nous signifier quand et comment les regarder, leur parler, les faire rire, leur faire la cour, leur faire l’amour, ou pas…

Bref, je comprends mieux pourquoi elles condamnent tant les robots de compagnie féminins à destination d’un certain marché masculin. Elles espèrent sans doute, en formater, en chair et en os, à destination d’un certain marché féminin. Go the fuck off !

vendredi 7 septembre 2018

Paris Pue la Pisse (et autres crottes de chien)


A l’heure où des « féministes » vandalisent, au nom de l’égalité des sexes, les étranges urinoirs-écologiques installés par la Mairie de Paris à destinations des nyctalopes avinés qui souillent nos rues tard le soir, je me vois obligé de signifier quelque chose que nous sommes nombreux à penser mais peu à le dire.

Paris pue la pisse ! Et ce depuis plusieurs années. Cela en est insupportable.

Aussi, au lieu de sortir le carnet-à-souche ou des clips ridicules, que l’on ouvre ou multiplie les toilettes publiques dans Paris, en se servant, par exemple, des stations de métro disposant déjà de services internes de propreté et d'espace.

Sérieux, il n’y a que dans la capitale française que l’on ne trouve si difficilement des toilettes publiques. Partout où je vais  ailleurs, ce n’est pas la même galère, ni surtout la même odeur.

Sinon, au rayon déjections, il y a un constat qui me fait bien rire. Pour des raisons écologiques, on installe des distributeurs de sachets plastiques et on demande aux maîtres de chiens de ramasser avec ces mêmes sachets plastiques les déjections de leurs chiens pour les mettre à la poubelle. Donc, pour des raisons écologiques, on demande que des déjections biodégradables soient placées dans des sacs non biodégradables, rendant ces déchets tout sauf écologiques. Étonnant n’est-ce pas ?


mercredi 5 septembre 2018

La très gentille famille Tamimi


Lorsque je lis ce genre de revue de presse au sujet de la libération  de « la lionne au visage d’ange » que serait Ahed Tamimi, je me demande si j’ai affaire à un(e)  journaleu(se) : 

1) confit(e) dans une stupidité crasse…
2) grignoté(e) par un antisémitisme latent…
3) répondant en bon petit(e) bureaucrate de l’information à une vulgaire commande de son employeur et/ou de ses souteneurs…

En passant, je constate qu’on mange plutôt bien dans les prisons israéliennes, en plus de pouvoir y poursuivre des études en antisémitisme…

Vous trouverez des éléments de mise au point par ici sur cette membre d’une famille de terroristes fiers d’avoir massacrer des enfants et appelant au meurtre d’Israéliens par tous moyens…


lundi 3 septembre 2018

Antisémitisme : « tu reconnaîtras l’arbre à ses fruits »


Lorsque j’entends des décérébrés nous parler des Juifs et/ou Israéliens, en se convainquant que ceux-ci sont méchants et que leurs prétendues « victimes » (famille Tamimi et autres émeutiers du Hamas à la frontière de Gaza) sont « gentilles », me vient à l’esprit ce vieil adage biblique voulant que « tu reconnaîtras la qualité de l’arbre à ses fruits » avec la conclusion qui suit : 

Etat hébreu = un bien bel et fertile arbre
Etats antisémites environnants et autres = arbres pourris des branches à la racine

 Silomon