lundi 30 avril 2018

L'Orient à Lille


Pendant ce temps-là au PBA de Lille :
Cléopâtre,  Europe, Haydée et les Femmes du Nil

Quant à la question de savoir ce que fait Europe dans le lot, apprenez braves gens,  que la princesse ravie par Zeus dans le mythe de "l'enlèvement d'Europe", et qui a donné son nom à notre continent, était une princesse Phénicienne donc Arabe, vu que les Phéniciens sont, selon les sources perses et grecques antiques, originaires du Golfe de Bahreïn. Or, j'aime bien, moi, les histoires d'amour entre patriarches occidentaux divinisés et divines princesses orientales :-)

PS : par contre, au vu de ses origines, la divine Europe, devait bien plus ressembler à la sublime Hania Amar ou bien à la superbe Haifa Wehbe, qu'à l'espèce de cornichon germanique dépeint ci-dessous... 


 "L'enlèvement d'Europe" par Jacob Jordaens

 "Cléopâtre" Charles Gauthier

"La folie d'Haydée" par Charles-Louis Müller 

"Femmes au bord du Nil" par Émile Bernard

vendredi 27 avril 2018

Révolution de velours en Arménie ?


Un pingouin pèlerin en Arménie

Puisque marcher c'est consacrer,
à l'instar des réformateurs
qui arpentent l'Arménie
sous le parfum des abricotiers en fleurs,
Ulis était allé, de par ses sentiers,
depuis les gorges de la rivière (Azat) Liberté,
jusqu'à ses plus hauts sommets,
en quête d'enracinement et d’ascensions libératrices. 
Revenu riche de ces effets,
il ne peut que souhaiter aux marcheurs de progrès,
liberté, prospérité et esprit de justice.

Sil sherpa et secrétaire d'Ulis ;-)

 Au cœur des gorges de la rivière Azat (Liberté)

 Lac Clair, 
en marche vers le monastère de Gochavank

 Vallée de Yereghis,
en marche vers le monastère de Tsaghatskar
 Canyon de Noravank, 
en marche vers le monastère, 
à flanc de montagne au loin à gauche

 Lac Kari, Mont Aragats
 Un Pingouin à Yerevan

jeudi 26 avril 2018

Révolution des Oeillets et Poésie Familiale


« Jesus et Salazar 
furent deux hommes de lutte,
   Jesus, fils de Marie ; 
Salazar, sale fils de pute »

Manuel Fernandes Ribeiro

Avec le genre de plaisanterie ci-dessus, qu’il aimait parfois fredonner à ses petits camarades de lutte, mon grand-père aurait pu se retrouver dans l’un des camps du régime salazariste, notamment celui de Tarrafal, dans l’archipel du cap vert, où la PIDE, la redoutable police politique du régime, aimait y développer l’art de torturer les opposants politiques (voir le documentaire « 48 » de Susana de Sousa Dias). 
 
Mais bon, dans la famille, on ne se refait pas. Le totalitarisme, quel qu’il soit, on déteste décidément beaucoup trop ça pour la boucler.

Sil  "Boarinha"


mercredi 25 avril 2018

Révolution des Oeillets : Grandola Vila Morena



Le 25 avril 1974 à 00h20, est diffusée sur les ondes radio portugaises, la chanson de Zeca Afonso, «Grândola, vila morena ». Cette chanson est le signal. Ce signal est une aurore. Les jeunes « capitaines d’avril » (excellent film) à la tête du Mouvement des Forces Armées lancent alors leurs chars sur Lisbonne afin de mettre un terme à l’une des plus longues dictatures d’extrême droite qu’ait subit un pays.

Cette révolution sera connue sous le nom de « révolution des œillets » car pacifique et réellement démocratique puisque menée par les fils du peuple ayant juré de remettre le pouvoir aux seules mains du peuple. Des enfants du peuple qui veilleront à ce que cette révolution ne soit accaparée par aucun parti, y compris d’extrême gauche. « On ne va pas passer d’une tyrannie à une autre !» disaient-ils.

Aussi, chaque 25 avril, je m’écoute cette magnifique chanson, dans la version interprétée par la grande Amalia Rodrigues, avec des frissons me parcourant tous les poils de l’épine dorsale. Comme quoi le poil peut s’avérer utile en matière d’émotions. Vous trouverez ci-dessous les paroles de cette chanson, en portugais puis leur adaptation, la mienne, en français :

« Grândola, vila morena... Terra da fraternidade... O povo é quem mais ordena... Dentro de ti, ó cidade.

Em cada esquina um amigo... Em cada rosto igualdade... Grândola, vila morena... Terra da fraternidade.

À sombra duma azinheira... Que já não sabia a idade... Jurei ter por companheira... Grândola a tua vontade. »

« Grândola ville ensoleillée... Terre de la fraternité... Le peuple est celui qui gouverne... A l'intérieur de ta cité.

A chaque carrefour une amitié... Sur chaque visage l’égalité... Grândola la ville ensoleillée... Terre de la fraternité.

A l'ombre d'un grand chêne... Dont je ne savais plus l'âge... J’ai juré d’avoir pour seule compagne... Grândola, ta volonté.»

SILgueiro Maia

mardi 24 avril 2018

Au mémorial du génocide des Arméniens de Tsitsernakaberd


Illustrant le fait que l'on ne rentre pas indemne de ma merveilleuse Arménie, voici la discussion, avec un ami arménien, qui me revient à l'esprit chaque 24 avril, jour de la commémoration du génocide des Arméniens de 1915.
 
Erevan. Mémorial du génocide des Arméniens de Tsitsernakaberd. Je contemple la carte de la grande Arménie prévue par le Traité de Sèvres de 1920. Sevan s’approche de moi. Je lui dis que j’aime beaucoup cette carte. Il ne partage pas mon enthousiasme. « Que voudrais-tu que l’on fasse d’une si grande Arménie » me dit-il en soupirant avant de poursuivre. « Nous sommes à peine assez nombreux pour peupler et défendre celle que nous avons ; nous sommes même obligés de truquer un peu les statistiques pour tenter d’impressionner nos ennemis ; et je ne parle pas de la diaspora, malgré tout son cinéma, elle ne viendra jamais nous rejoindre, petite ou grande Arménie ». Je médite ses paroles. Il a raison. 

En quittant le mémorial, ce jeune arménien, fraichement débarqué du front du Haut-Karabagh, me parle sur un ton goguenard d’une diaspora trop lointaine, finalement plus turque qu’arménienne, aussi bien par sa langue que par ses mœurs ; d’une Arménie aux mains d’une vieille oligarchie mafieuse qui tient les clefs politiques et économiques du pays et qui, par sa corruption et ses monopoles, empêche la jeunesse de participer à la modernisation du pays, vendant en passant tous les intérêts de l'Arménie à la Russie. « Nous sommes devenus les locataires de notre propre pays ; tout, depuis les murs jusqu’à la gazinière appartient aux Russes ».

Il enchaine sur la guerre avec les Azéris qui sert finalement, là aussi, bien plus, les intérêts russes, que ceux des deux pays stupidement ennemis. « La paix n’est pas pour demain. De toute façon, même si on leur donnait le Haut-Karabagh, le gouvernement azéri réclamerait le sud de l’Arménie, puisque leur objectif est de pouvoir relier un jour l’Azerbaïdjan à leur enclave du Nakhitchevan située à l’ouest de l’Arménie ». 

Chose peu connue, en effet, l’ethnie turque Azérie se trouve partagée entre l’Azerbaïdjan, le Nakhitchevan, mais aussi le nord de l’Iran où ils sont plusieurs millions. 

Sur le même ton goguenard, je lui dis que l'Azerbaïdjan n’a qu’à annexer le nord de l’Iran ; ça lui fera un beau couloir ; ou alors de manière moins débile, les Azéris n’ont qu’à arrêter leurs conneries, signer la paix avec l’Arménie en renonçant au Haut-Karabagh arménien, puis utiliser tout simplement les routes arméniennes pour relier l’Azerbaïdjan et le Nakhitchevan, ce qui sera très bon pour le commerce régional. Il rigole en me lançant « faudrait-il encore que les Russes le veuillent ; si jamais on faisait la paix, ils perdraient deux gros clients pour leurs armes et ça ils n’en veulent pas ». Vu comme ça, en effet, ce n’est pas gagné. 

Je me dis que l’Europe aurait peut-être une carte à jouer mais peut-on seulement compter sur le ventre mou bruxellois pour pacifier une région qui ne demande qu’à être un merveilleux pont entre l’occident et l’orient. 

En effet, le poids des dépenses militaires est un boulet qui freine le développement. « L’armée et la police sont les deux principaux employeurs du pays » me dit-il. Un développement entravé alors que l’Arménie a tous les atouts géographiques et culturels pour devenir une véritable petite Suisse du Caucase. 

Il me parle également des relations commerciales qui s’améliorent avec la Turquie. Il pense que les relations politiques suivront  le jour où les Turcs comprendront que la reconnaissance du génocide arménien ne sera pas couplée avec des revendications territoriales. « On n’en veut plus de l’Arménie occidentale de toutes façons. Elle n’est plus à nous. Elle n’est même pas aux Turcs. Elle est aux Kurdes maintenant ». Il rigole. Je le taquine en disant. « T’as raison, mais on ne va pas leur abandonner le Mont Ararat tout de même ».  Il acquiesce en souriant. 

En faisant mine de réfléchir je lui dis « et si on proposait le deal suivant aux Turcs. Vous reconnaissez le génocide des Arméniens et nous renonçons à toute revendication territoriale, à deux  exceptions près. Le Haut-Karabagh arménien ce qui suppose que vous convainquiez vos cousins azéris d’arrêter leurs âneries. Mais aussi le versant Est du Mont Ararat. On fait moitié-moitié. Et ça ne fait que quelques dizaines de kilomètres d’offerts pour solder le passé ». 

Il éclate de rire. Ce passionné de montagne me dit « ce n’est pas idiot ! Après tout, vous vous partagez bien le Mont Blanc avec les Italiens. Il doit bien y avoir un moyen de convaincre les Turcs de  partager le Mont Ararat. En plus le versant le plus beau est celui tourné vers l’Arménie. On leur laisse l’autre bien volontiers. Tiens ! Histoire de fêter cette idée de résolution de conflit, et si on allait boire un verre. Guénats ! »
 
Oui ! Tu as raison Sevan ! Célébrons la vie sans oublier nos morts !



vendredi 20 avril 2018

Blocages en Absurdie


- Interview troll en Absurdie. Exercice extrême-centriste pour notre président de la République qui à l'évidence souhaitait poser ses couilles sur la table des débats face à un beauf de droite et un troll de gauche, le tout sous couvert de casser les codes et de nous la jouer à l'anglo-saxonne. A ceci près que, côté journalisme, les anglo-saxons sont aussi respectueux sur la forme qu'ils sont percutants sur le fond et surtout sur les faits, ce qui n'était absolument pas le cas lors des jappements "engagés" des roquets Plenel et Bourdin. S'agissant des codes, si je salue la vaillante intention du président Macron, l'exercice m'a néanmoins provoqué  un certain malaise. C'est que le président n'est pas un vulgaire blogueur polémiste tel que votre serviteur, mais bien celui dont la fonction lui commande de rester au-dessus des mêlées médiatiques #DontFeedTheTroll. Toutes choses qui expliquent pourquoi je n'ai tenu que vingt minutes avant de  zapper sur le "King Kong" diffusé par la 4.

- Quand une "génération j'ai le droit" peut en cacher une autre. En application de l'adage voulant que "les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés", je signale mon effarement devant ces professeurs du public, de gauche comme de droite, qui, en leur nom et tout en se servant de leur fonction pour leur gloriole personnelle, n'hésitent pas à conchier en place publique, continuellement et depuis moult années, leur administration et institution. N'ont-ils pas de code de déontologie à l’Éducation nationale ? Seraient-ils les seuls fonctionnaires dispensés de devoir de discrétion, de loyauté, et de protection de leur fonction et institution ? De quel droit ?! Vraiment étonnants ces professeurs donneurs de leçons.

- Après les profs, voici leurs non moins agités élèves avec un pseudo "éveil de consciences" fumeuses à la Fac. Des ados franchouillards à peine sortis des jupes de leurs mères ; dont l'étendue du monde ne dépasse pas les replis de leur ego ; sans oublier leurs yeux chassieux, non pas à force d'étude mais plutôt d'excès de fumette ; bloquent-taguent-dégueulassent-dégradent les facultés dans le but "d'éveiller les consciences" sur le bien public que sont nos universités. Quel bouillie mentale et morale ! Enfin, rien de nouveau sous le Bordel puéril. On a juste envie de leur dire : paye tes impôts d'abord le-a boutonneux-se, sors de ta grotte idéologique et va faire un  tour de par le monde, sous le soleil de ses différentes latitudes, dans l'espoir d'éclairer ta petite conscience, ce qui n'est absolument pas gagner d'avance ; que veux-tu, l'éveil ressemble bien plus à une longue route dispensatrice de gifles qu'à une fac bloquée par de longues nuits de rêveries générales.

- Zadisme. "Tu reconnaitras l'arbre à ses fruits". C'est marrant comme à chaque fois que je tombe sur un bout de territoire, qu'il soit agricole-industriel-universitaire-ou-de-simple-pause-professionnelle, abusivement confisqué par les invasifs tenants d'une vision dégradée et dégradante de l'auto-gestion, je constate systématiquement le même résultat. C'est bordélique, c'est laid, et ça pue. Bref, c'est à leur image. Du coup, à chaque découverte de ces cadavres déstructurés du gauchisme, je file fissa me reposer la vue et l'esprit dans un cadre bourgeois infiniment plus beau et vivable, répondant en somme au fameux "καλὸς καὶ ἀγαθός" ;-)

- Sévisse public et démocratie. Le Martinet, oups, le Martinez de la CGT, tout occupé à cogner comme un sourd dans l'espoir de conserver lors des prochaines élections professionnelles,  l'un des derniers bastions du syndicalisme rouge ; après nous avoir fait le coup de l'innocente défense du service public, celui de l'absence d'agenda subversif, et d'un président illégitime à reformer car élu par défaut ; nous la joue désormais grand maréchal soviétique de la convergence des luttes. Faisant mine jusqu'ici d'oublier que le président "par défaut" s'est tout de même doté d'une représentation nationale acquise à son projet de réforme du pays, je me demande s'il est au courant que la très légitime Assemblée nationale a voté cette semaine la réforme de la SNCF. A moins que la représentation nationale ne soit pas plus légitime aux yeux de ce phare démocratique, ce qui ne m'étonnerait pas...

- Convergence des brutes et gloubiboulga idéologique. Par ces temps où il nous faut continuellement remettre à l'endroit tout ce qui va cul par dessus tête, rappelons à nos petits séditieux bien nourris, que la seule révolution légitime est celle qui consiste à mettre à bas la tyrannie, alors que le fait de vouloir renverser le résultat d'un scrutin (présidentiel et/ou législatif) dans un régime libéral et pluraliste, s’appelle un coup d'état. La volonté de "coup d'état social" et politique est donc portée par celles et ceux qui se montrent depuis un an insatisfaits des résultats du scrutin, surement pas par ceux qui détiennent la légitimité du vote populaire.




mercredi 18 avril 2018

Joyeux Anniversaire au Miracle Israélien


Et si je n'ai pas pu être assister au 70e anniversaire. 
J'espère bien que je serai du 77e ;-)

SIlomon 



lundi 16 avril 2018

Israël à Lille : "comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie"


Pendant ce temps-là au PBA de Lille :

1) "La Mariée Juive"1879 Alfred Dehodencq
Représentant du courant orientaliste français, Dehodencq se spécialise dans la représentation de scènes juives traditionnelles. L'emploi de coloris chauds et de forts contrastes lumineux témoignent de son séjour de neufs ans passés au Maroc.

 2) Marie Madeleine

3) Encensoir aux Hébreux dans la Fournaise (vers 1160)
Cet encensoir est l'une des plus belles créations de la dinanderie mosane. le choix du thème iconographique est peu fréquent : trois jeunes Hébreux condamnés à mort pour avoir refusé d'adorer une idole, sont sauvés par un ange placé au milieu d'eux. L'adoration de Dieu par les martyrs s'alliait ainsi symboliquement aux volutes d'encens qui transportaient les louanges.


dimanche 15 avril 2018

Ulis contemplant les Cerisiers en fleur du Parc de Sceaux


Pendant ce temps-là, 
les cerisiers japonais 
fleurissent au Parc de Sceaux 

#HanamiAParis #SakuraSakura #SpringIsComing


vendredi 13 avril 2018

Lille by Night


"I want to run, I want to hide
I want to tear down the walls that hold me inside
I wanna reach out and touch the flame
Where the streets have no name"
 
Ulis singing U2 
in the streets of Lille :-) 


jeudi 12 avril 2018

Ulis à Lille sous le Soleil Couchant


Le soleil couchant
certainement
le meilleur moment
pour encenser
nos plus doux souvenirs
car dès lors ils dansent
avec de joyeux rêves à venir
dans le palais des songes
aux banquets illuminés de rires


Ulis


mardi 10 avril 2018

La Mort de Staline


La tyrannie soviétique 
passée au crible de l'humour britannique : 
un film qui fait "l'unanimité" :-)

Car comme le disait le très libéral Lord Acton, parce que  
« le pouvoir corrompt ; le pouvoir absolu corrompt absolument »

Ce qui n'empêche pas les tyrans de tout poil
 de finir comme des merdes dans leur propre pisse.

Une réalité qui toutefois,
échappera à jamais aux très risibles primates
qui auront vocation à trouver leur Humanité (nouvelle)
dans le seul titre d'une "journal" (voir plus bas).


lundi 9 avril 2018

Les Triomphes d'Athéna

 "Le Combat d'Athéna et Arès" par Joseph-Benoit Suvée

Pendant ce temps-là au PBA de Lille 

Pendant la guerre de Troie, le très intriguant et querelleur Arès, dieu de la guerre offensive et fils de Zeus, combattit du côté des Troyens, alors qu'il avait promis à sa mère Héra et à Athéna, déesse de la sagesse et de la guerre défensive, de seconder les Grecs. 

S'en suit une dispute entre Athéna et Arès au cours de laquelle Arès se jette sur Athéna, sa lance de bronze à la main, en lui tenant des propos injurieux : "Pourquoi, mouche à chien, mets-tu donc encore les dieux en conflit, avec une audace folle, dès que ton grand cœur t'y pousse ?". En prononçant ces mots, il frappe de sa lance l'égide frangée, le redoutable bouclier d’Athéna, dont ne triomphe pas même la foudre de Zeus. 

Athéna recule et, de sa forte main, saisit une pierre, qui se trouve là dans la plaine, noire, rugueuse, énorme. Elle en frappe l'ardent Arès au cou et lui rompt les membres. Il tombe et, sur le sol, il couvre sept arpents. Ses cheveux sont souillés de poussière ; ses armes vibrent sur lui. Pallas Athéna éclate de rire et, triomphante, elle lui dit ces mots ailés : "Pauvre sot ! tu n'as donc pas compris encore à quel point je puis me flatter d'être plus forte que toi ?" (extrait de l’Iliade)

#MaDéesse  #AvisAuxSotsQuerelleursEtIntriguants