lundi 29 juin 2020

Convention Citoyenne pour le Climax Politique

 
 
Ce 29 juin 2020, lors de sa fumeuse Convention Citoyenne pour le Climat, le Président de la République laïque tout-ça-tout-ça, a osé parler d'une indispensable "conversion écologique"... 
 
L’écologisme néopaïen devient par conséquent religion d'Etat avec des "colporteurs" chargés de nous "convertir". Il me semblait que les religions et l’État étaient séparés...
 
En passant, que fera-t-on de ceux qui refuseront de se "convertir" à la nouvelle religion néopaïenne devenue religion d'Etat... les brûlera-t-on ?
 
Aussi :  Non à la conversion écologiste ! Oui aux progrès !
 
Sinon, je n'ai élu aucune de ces personnes pour me représenter ; par conséquent je ne connais aucun de ces egoreprésentatifs ; et je ne reconnais aucune de leurs propositions comme légitime. Pas en mon nom ! 
 
Tout ça pour un programme, concocté par les réseaux d'influence qui ont bourré le mou à ces pots de fleurs démocratiques, qui se résument à : Interdisez et taxez tout ce qui bouge (avion, tgv, voiture, etc), quand ça ne bouge plus, vous aurez l’écologisme.
 
Moralité : on veut plus de démocratie directe au service du Peuple et moins de démocratie gadget au service du Prince... non à la "démocratie" pochette-surprise ! 
 
SILcéron 
 
 

dimanche 28 juin 2020

Municipales 2020 : vous retenterez bien une nouvelle experience foireuse gauchiste

  

Vous avez aimé les villes défigurées, bordélisées, ruinées par les socialistes ou les communistes...

Alors vous adorerez les villes défigurées, bordélisées et ruinées par la nouvelle folie gauchiste écologiste... #PauvresFous

Sinon, marrant comme les délires des Bobos néopaïens ne marchent que chez les gens de la ville ; et non dans la France rurale beaucoup moins dogmatique et beaucoup plus pragmatique... #VagueletteVerte 

Par ailleurs, Ah! Ces partis politiques qui n'opposent aucune résistance raisonnable, quand ils ne leur servent pas la soupe, aux délires écologistes de ces néopaïens urbains et autres agités du bocal planétaire ; et qui s'étonnent de leur inexorable ascension...#GrosSoupir

Par conséquent, la #VagueletteVerte n'est qu'une invasion de mauvaises herbes tyranniques étouffant les idées fertiles dans un champs politique laissé à l'abandon... où ai-je mis mon bidon de glyphosate :)

samedi 27 juin 2020

Municipales 2020

 
J'avais envie de voter blanc... 
Mais de peur d'être taxer de raciste... 
Et en hommage à l'air du temps... 
Je crois que je préfère le vote nul... 
Comme ça le plus grand nombre sera content... 
 
 #JarreteLoreal #RacismeAntiBlancs #PauvreFrance
 
 

vendredi 26 juin 2020

ProjetX : les autorités thaïlandaises réagissent :)

Le #ProjetX me fait penser à ces nuées de singes en manque de lien social qui envahissent ces jours-ci les rues des villes thaïlandaises... #LaPlanèteDesJeunes
 
Le #ProjetX a beau avoir un nom de projet spatial, on voit bien que les participants ne sont ni des fusées ni même des flèches... 
 
#ProjetX en cas de reconfinement, il ne concernera que les plus de 65 ans, pour les protéger, et les moins de 25 ans, parce qu'ils sont trop cons ! #ConsDeJeunes
 
Dian FosSIL
 

mercredi 24 juin 2020

En démocratie, on ne se rebelle pas contre les forces de l'ordre


Excellents rappels de Eric Delbecque (par ici) que toute personne correctement câblée sait, que j'aurais pu dire à la virgule près, et que nous sommes trop peu nombreux à rappeler : 

"En démocratie, le citoyen n'a pas à se rebeller contre les forces de l'ordre ; en cas d'abus, les avocats, des journalistes, des associations, tout un système est là pour le défendre"

"Du côté de l’État, il convient d'éviter de tomber  dans le panneau des provocations ou du pipeau des ennemis du système démocratique libéral, qui cherchent à durcir l’action de l'État afin de générer des incidents qui nourriront le radicalisme idéologique"... 

En effet ! Défonçons-les par le verbe !

ClemenSIL

lundi 22 juin 2020

Commission Citoyenne pour le Climat et Democratie Pochette Surprise


Tout d'abord, il va sans dire, que n'étant, ni représentative, ni directe, cette "expérience" pochette-surprise n'a rien de démocratique. En effet la "démocratie tirage au sort" est par définition celle qui ne doit de comptes qu'à son nombril... 

Par conséquent, les membres de cette Commission "citoyenne", tenant surtout d'un conclave d'emmerdeurs motivés par l'obsession de l'emmerdement maximum, peuvent se carrer leurs petites 'popositions' punitives ou taxatives, dans le fondement de leur légitimité... 

Toutefois, je tenais à remercier notre Président d'avoir démontrer la supériorité de la démocratie représentative professionnelle sur la démocratie pochette surprise en dilettante...

SILcéron 
 

vendredi 19 juin 2020

L'Antiracisme par les Nuls...


Donc !
Si on résume le nouvel antiracisme :

"Les Blancs sont des oppresseurs ;
Les non-Blancs sont des victimes ;
Mais les races n'existent pas
car nous aimons la diversité raciale
mais aussi célébrer nos différences
parce que nous sommes tous pareils."

Tout ça ! Tout ça quoi !

Pas FaSIL
 

mercredi 17 juin 2020

Autant en Emporte le Vent Etc


Les confinés du bulbe ayant décidé de s'en donner à cœur joie en cette année de merde, je leur propose de censurer également le film "les Visiteurs" qui donne une vision complaisante du servage, cet esclavage des paysans européens, aboli qu'en 1789 en France, et 1945 en Suède...

Bah oui ! Quitte à devoir faire dans le débile, pourquoi ne pas creuser de ce côté là aussi...  

SIlalutte finnnnnaleuh 


lundi 15 juin 2020

Assa Traore "Je suis Malade" (!)


Petit billet hommage à Assa Traore qui a inventé le militantisme en arrêt maladie ainsi que la pensée en état de mort cérébrale... 

Ah ! Oui ! En passant, je propose que ces gens plus méprisables que dangereux fassent connaissance avec notre meilleure arme, la raillerie !

SILka Zoulou 
  

 

vendredi 12 juin 2020

Les contrepets d'Assa Traore


 Assa Traore invite l'Afrique des cités dans sa tente,
Mais aussi les petits Mathieu qui aiment l'Afrique,
Car l'Afrique des Traore est bonne hôtesse...

SILord de la Falaise 

#Contrepèterie


mercredi 10 juin 2020

lundi 8 juin 2020

Kéké Castaner "Touche pas à mon pote racaille" (!)

Du dévoiement de l'antiracisme

Oui à une «une tolérance zéro contre le racisme dans les forces de l'ordre» ! 

Mais à quand une "tolérance zéro" contre la délinquance de la Racaillocratie qui exaspère policiers et habitants des quartiers, et qui gangrène notre république...

Car Monsieur Castaner, taper sur la Police sans taper, "en même temps", encore plus fort sur la Racaillocratie, n'apportera que plus de tensions ethniques dans la société...

Les Français ne sont ni stupides ni aveugles ! 

ClemenSIL

vendredi 5 juin 2020

Covid19 : la seconde vague autoritaire


:) Pendant ce temps-là... Doudou de Rouen, et son gouvernement de Brice de Nice, mythifient la 2e vague dans l'espoir de nous faire croire qu'ils savent  surfer et de nous faire oublier qu'ils se sont fait balayer par la première vague...

:( Et preuve que l'appétit autoritaire vient en mangeant... l'épidémie a beau s'évaporer, l'état d'urgence voudrait se maintenir... heureusement qu'on a un gouvernement de libéraux, n'est-ce pas ?

Puisqu'on vous dit qu'elle est finie la vague épidémique, finie ! Lâchez prise ! Libérez le pays ! Foutez-nous la paix sanitaire !

ClémenSIL
 

jeudi 4 juin 2020

Adama Traore : victime de sa famille plutôt que de la société

Une famille aux beaux profils de victimes

Certes, il convient pour des Responsables politiques de ne pas jeter d’huile sur le feu voire de tenter de retisser du lien ; pour le Garde des Sceaux de garantir à la famille, la transparence et l’accès aux pièces du dossier afin d’éviter la suspicion ; pour le Ministre de l’intérieur de tenir un discours de fermeté, de soutien aux forces de l’ordre tout en rappelant le devoir de discernement et de retenue dans l’usage de cette force qui leur est confiée par le Peuple, d’utiliser cette force, jamais pour humilier mais uniquement pour servir la justice.

Mais voilà, je ne suis pas un responsable politique. En tant que citoyen, si je peux comprendre l’émotion d’une famille face à la perte d’un proche, je ne suis pas obligé d'en admettre les excès, d’autant moins lorsque cette famille m’a l’air bien plus responsable du drame que victime.

Car à l’évidence, ces Traore-là sont une caricature. Une caricature de famille qui au lieu d’éduquer ses enfants, a laissé la cité  les ensauvager. Une famille qui vit de la délinquance et de la prédation. Une famille qui se fout des victimes de leurs rejetons. Une famille de malfrats qui comme beaucoup d’autres préfère rejeter leurs manquements sur la société plutôt que de les assumer.

C’est pour cela que contrairement à la famille de George Floyd, ces Traore-là n’auront pas ma compassion. Pour l’instant ces vulgaires racaillocrates suscitent chez moi du mépris et du dégout.

Notamment lorsque Assa Traore se sert de la mort de son frère pour son ambition personnelle suintant pour tous ses pores surmaquillés ; agite le cadavre de son frère pour entrainer d’autres gamins de cité dans son irresponsable vindicte contre  la République. Dire que cette dame est « éducatrice spécialisée » de profession. Formidable ! Quelle ironique symbole !

Mon dégout allant également aux commentateurs Bobo-bolos qui ne cessent de vivre leur rébellion contre leurs bourgeois de parents, par lascars de cité interposés. A moins qu'il ne s'agisse d'une forme d'amour pour leurs dealers de beuh ou de coke à qui ils aiment décidément bien sucer la bite. Sans parler de ces pseudo-anars qui s’allient avec la racaillocratie, soit le plus immonde et illégitime pouvoir qui soit. J’ai honte pour eux !

Mais il y a mieux ! Quand j’entends des révolutionnaires en peau de lapin à la Omar Sy-neuronnes-pas-un-de-plus, accompagné de Beurgeoises décérébrées à la Camélia Jordana chantant « il est temps de prendre les armes pour faire la révolution », je me dis qu’il est impératif de mener, par les mots et les idées, la contre-offensive de cette guerre culturelle qui nous est faite, si on ne veut pas que cette historie finisse effectivement en armes et en larmes.

D’ailleurs, au-delà des mots et des idées, puisque cette histoire est avant tout une affaire d’Etat de droit, j’espère bien que l’appel à la violence armée de la Camélia en question la mènera devant un tribunal. Tout comme j’espère que la Assa Traore se verra présenter la facture des dégâts de la manifestions interdite qu’elle aura tout de même conduite.

Sapristi ! Il va bien falloir que la République cesse de baisser la tête devant cette racaillocratie qui lui prend jour après jour des territoires, entrant désormais dans Paris, et qu’elle renvoie aux poubelles de l’histoire ces méprisables boutefeux guidant un lumpenprolétariat, plus shiteux que nécessiteux, vers un  paradis fumeux…

ClemenSIL
 


mardi 2 juin 2020

Racisme dans la police : le mythe du contrôle au faciès

« Laisse pas trainer ton fils, si tu veux pas qu’il glisse, ramène le vice » NTM

Sans nier les dérives racistes individuelles sanctionnables, les policiers n’ayant pas de raison d’échapper dans leur totalité aux travers et aux tensions qui fracturent nos sociétés, ni un éventuel prisme déformant que j’aborderai plus bas, démythifions le "racisme institutionnel de la police" et « les contrôles au faciès » qui auraient lieu en France, grâce à la simple réalité.

S’il y a plus de Noirs et de Maghrébins contrôlés par la police, c’est tout simplement parce qu’il y a une plus grande proportion d’individus Noirs et Maghrébins impliqués dans les faits de délinquance et de violence (60% de la population carcérale). Une surreprésentation qu’il revient malheureusement à la police et à la justice de traiter.

Voilà ! A moins d’accuser la réalité de racisme, la vérité, aussi désagréable soit elle pour les premiers concernés, est celle-là ! Une vérité, cela dit en passant, qu’il leur revient d’aborder plutôt que de la rejeter sur les « Blancs », la « Police » ou  la société.

Nier cette réalité, c’est au mieux de la lâcheté aussi angéliste qu’irresponsable, ne rendant service ni à ces populations ni à la société dans son ensemble, ou au pire de la démagogie gauchiste aux visées insurrectionnelles tout à fait détestable et que tout réel républicain se doit de combattre.

Maintenant, il y a une autre réalité découlant de la première dont il faut également tenir compte. Celle du prisme déformant. Lorsque tu passes tes journées à courir derrière des délinquants noirs ou maghrébins pour les raison susvisées, il peut arriver que tu en viennes à oublier le fait que « si beaucoup trop de délinquants sont Noirs et Maghrébins, l’écrasante majorité des Noirs et des Maghrébins est constituée d’honnêtes citoyens méritant le même respect que les autres ». Il se peut même que ce prisme déformant soit accentué par l’angélisme ou le manque de moyens de la Justice qui remet dans la rue le malfrat que tu as eu du mal à serrer.

Histoire d’illustrer cela par un exemple inattendu, il se trouve que ce genre de  prisme déformant se retrouve également, dans une autre police, la police du travail. En effet, une minorité d’Inspecteurs du travail, notamment les plus gauchistes d’entre eux, ces mêmes gauchistes qui accusent la police de racisme institutionnel, à force de courir après la délinquance sociale d’un certain nombre d’employeurs ou de cols-blancs, en vient à oublier que l’écrasante majorité des employeurs ne verse pas dans la délinquance sociale. Une minorité qui non seulement en vient à l’oublier, mais qui se permet de verser, à la télé, dans des articles de journaux, ou tracts syndicaux, dans la haine sociale, dans la phobie du patronat, et ce en toute impunité. Il y en a même qui font de cette haine sociale des carrières politiques de grands donneurs de leçon. Etonnant, non ?!

ClemenSIL


lundi 1 juin 2020

George Floyd et l’Amérique : la descente aux enfers des géants

 All Lives Matter & Justice for All

D’un côté le Géant américain. De l’autre un George Floyd, ayant hérité du surnom de « gentil géant » au lycée. Le Géant américain étant aussi fort pour frapper que pour offrir, il avait offert au « gentil géant » une bourse d’études universitaire, celui-ci étant alors doué pour le basket-ball.

Mais voilà, le « gentil géant » abandonne ses efforts pour se laisser entrainer dans l’univers à priori plus facile de la drogue, de la délinquance et de la  sous-culture râpeuse, prenant alors le nom de « Big Floyd ».

Après un braquage à main armée, le « Big Floyd » se fait rattraper par le bras armé du Géant américain.

A sa sortie de prison en 2014, « Big Floyd » souhaite redevenir le « gentil géant » qu’il était, en mettant ses pas dans ceux plus grands de la rédemption.

Camionneur puis vigile dans un bar, il vit sa vie jusqu'à ce que le petit-géant Covid-19 ne le prive de son travail. Chienne de vie !

Privé d’emploi et rechutant dans les drogues médicamenteuse, ce 25 mai 2020, le « gentil géant » s’offre des cigarettes avec un faux billet, et résiste à son interpellation, puisqu’il refuse de monter dans la voiture de police qui devait le conduire au commissariat.

C'est suite à cela qu'il croisera la route de Derek Chauvin, qu'il connait déjà, un autre petit-géant porté sur une autre facilité, celle de l'usage disproportionné de la force. Au lieu de voir qu'il avait affaire à un  gars non armé, rendu ivre par la drogue, il décide de se faire un « gentil géant » noir, en lui écrasant le cou avec le genou pendant d’aussi interminables que fatales minutes.

Certainement un comportement de cowboy frustré qui va lui couter cher, Etat de droit oblige, mais qui coutera encore plus cher au Géant américain, dirigé par un président tout sauf à la hauteur de la situation, et désormais consumé par le pillage et à la haine tous azimuts.

Portugee SILlipps

PS : La violence de la société américaine, et celle bien plus grande encore, propre à la minorité noire-américaine, expliquent pour beaucoup le type d’usage de la force par la police américaine (Cf ce papier du Nouvelobs) ; j’en ai d’ailleurs fait l’expérience moi-même, dans le New Jersey, la première fois où j’ai posé les pieds sur le sol américain, une fliquette noire m’ayant alors appris, arme en main, que l’on obtempère immédiatement aux injonctions de la police, même lorsque l’on pense être dans son bon droit, contrairement à nos très détendus us et coutumes en France ; mais enfin tout de même… que tout cela est triste…