Ainsi Valérie Massonneau, alias Trierweiler (je plains cet homme qui voit son nom régulièrement entaché par les agissements de son ex-femme), a décidé de révéler les dessous de sa relation avec François Hollande. Par conséquent il fallait bien une image qui respecte la marque de fabrique de Paris Match, «
le poids des mots, le choc des photos », et que nous refusait
ce magazine sur ce coup-là. La voici ci-dessus (
le bas plus bas). Les dessous sont parfaitement révélés…
Pour le reste, histoire de faire un bref commentaire, sans trop m’étendre sur ce qui ne vaut vraiment pas la peine ou le prix d’une giclée de foutre, je me permettrai juste de dire…
Autant le président Hollande s’était abaissé, avec sa fonction, en se faisant tirer le portrait lors de ses escapades galantes en scooter, et en répudiant sa gourgandine par voie de presse, autant là, c’est surtout la Valoche qui va se trainer toute seule dans la fange médiatique, parvenant même à valider, aux yeux du public, le choix de François Hollande de s’être débarrassé d’une telle folcoche, ou même à augmenter un chouïa son capital sympathie. Comment a-t’il pu supporter une telle gorgone aussi longtemps ? Brave homme !
Pour le reste, ce sac-papier à vomi qu’est son « livre », sera pris autant au sérieux que ne sauraient l’être les propos d’une courtisane obsédée par le pouvoir, sans doute manipulatrice, certainement mythomane, simplement dégoutée de s’être fait éconduire. Un grand classique de la littérature et du cinéma ne nécessitant pas un nouvel opus illustrant cette maladie. Aussi, personnellement, je ne prendrai au sérieux, et ne me mettrai sous la dent, aucun élément de ce contenu bileux récupéré en fin de transit colorectal.
Je suppose cependant que cette crise d’hystérie scripturale ne manquera pas de faire les gorges chaudes de la cour, arrière-cour et basse-cour du microcosme parisien, et que certaines journalopes chercheront à faire mousser ce purin textuel dans l’espoir d’exister lors des prochaines séssions médiatiques, mais bon…
A la place de notre président, je prendrais une mine compassionnelle et me conterais d’un « que voulez-vous que je vous dise » en levant les épaules, tout en laissant ma garde personnelle répandre des joyeuses vannes du genre « finalement, ce livre démontre que Hollande avait raison de la quitter et que ce premier remaniement était nécessaire, imaginez qu’elle soit resté plus longtemps au Palais… »
Oui imaginez…
SILarose l’important