lundi 27 février 2017

vendredi 24 février 2017

Vive le gène et la culture autonome !


:-) Éthologie amusante : à l’heure où le combat de coqs politiques bat son plein, voici une vieille expérience effectuée sur nos très proches cousins les rats, qui explique à merveille pourquoi, quelle que soit leur origine ethnique-sociale-ou-sexuelle ou leur baratin idéologique, nos rats-humains dominants ont besoin de dominer et pourquoi ils transpirent l’angoisse de devoir exister que par eux-mêmes (parce que c’est dans leur nature)... 

Mais aussi pourquoi la lutte pour toujours plus d’autonomie, ni dominatrice ni dominée, est la seule qui mérite notre engagement total (vive le gène et la culture autonome !) :

Une expérience a été effectuée sur des rats. Pour étudier leur aptitude à nager, un chercheur du laboratoire de biologie comportementale de la faculté de Nancy, Didier Desor, en a réuni six dans une cage dont l'unique issue débouchait sur une piscine qu'il leur fallait traverser pour atteindre une mangeoire distribuant les aliments. On a rapidement constaté que les six rats n'allaient pas chercher leur nourriture en nageant de concert. Des rôles sont apparus qu'ils s'étaient ainsi répartis: deux nageurs exploités, deux non nageurs exploiteurs, un nageur autonome et un non nageur souffre-douleur.

Les deux exploités allaient chercher la nourriture en nageant sous l'eau. Lorsqu'ils revenaient à la cage, les deux exploiteurs les frappaient et leur enfonçaient la tête sous l'eau jusqu'à ce qu'ils lâchent leur magot. Ce n'est qu'après avoir nourri les deux exploiteurs que les deux exploités soumis pouvaient se permettre de consommer leur propre croquette. Les exploiteurs ne nageaient jamais, ils se contentaient de rosser les nageurs pour être nourris.

L'autonome était un nageur assez robuste pour ramener sa nourriture et passer les exploiteurs pour se nourrir de son propre labeur. Le souffre-douleur, enfin, était incapable de nager et incapable d'effrayer les exploités, alors il ramassait les miettes tombées lors des combats. La même structure-deux exploités, deux exploiteurs, un autonome et un souffre-douleur ñse retrouva dans les vingt cages où l'expérience fut reconduite.

Pour mieux comprendre ce mécanisme de hiérarchie, Didier Desor plaça six exploiteurs ensemble. Ils se battirent toute la nuit. Au matin, ils avaient recréée les mêmes rôles. Deux exploiteurs, deux exploités, un souffre douleur, un autonome. Et on a obtenu encore le même résultats en réunissant six exploités dans une même cage, six autonomes, ou six souffre douleur.

Puis l'expérience a été reproduite avec une cage plus grande contenant deux cents individus. Ils se sont battus toute la nuit, le lendemain il y avait trois rats crucifiés dont les autres avaient arraché la peau. Moralité: plus la société est nombreuse plus la cruauté envers les souffre douleur augmente. Parallèlement, les exploiteurs de la cage des deux cents entretenaient une hiérarchie de lieutenants afin de répercuter leur autorité sans même qu'ils aient besoin de se donner le mal de terroriser les exploités.

Autre prolongation de cette recherche, les savants de Nancy ont ouvert par la suite les crânes et analysés les cerveaux. Or les plus stressés n'étaient ni les souffre-douleur, ni les exploités, mais les exploiteurs. Ils devaient affreusement craindre de perdre leur statut privilégié et d'être obligés d'aller un jour au travail.

Se pourrait-il que pour chaque espèce animale il existe une sorte de grille d'organisation spécifique. Quels que soient les individus choisis, dès qu'ils sont plus de deux, ils s'empressent de tenter de reproduire cette grille pour s'y intégrer. Peut-être que l'espèce humaine est tributaire elle aussi d'une telle grille. Et quel que soit le gouvernement anarchiste, despotique, monarchiste, républicain ou démocratique, nous retombions dans une répartition similaire des hiérarchies. Seules changent l'appellation et le mode de désignation des exploiteurs. (source)

Pour voir un documentaire au sujet de cette expérience, c'est par ici...


mercredi 22 février 2017

Cendrillon 2017


« Dans la vie, il nous faut être courageux et bienveillants, mais avec un M16 chargé pour ceux qui commettraient l’erreur de prendre cela pour de la faiblesse » Cendrillon 2017.

Les malveillants et autres esprits immatures (les conséquences de leurs âneries étant souvent les mêmes) ont tort de prendre pour de la faiblesse la gentillesse des gens bienveillants. Elle est leur force !

La force qui leur fait aller vers tout ce que notre univers peut offrir de beau, toutes ces merveilles et êtres merveilleux que les pignoufs, petits ou grands, ne pourront jamais gouter et apprécier à leur juste valeur, tout autocentrés qu’ils demeureront condamnés à rester…

#Cendrillonnisme #MyDisneyPrincess #ElogeDeLaBienveillance #GusGusForever

vendredi 17 février 2017

La Démocratie Américaine pour les Nuls


:-) Ou quand le monde entier 
découvre la force des institutions américaines 
grâce aux caprices idiots du presidentweet Trump…

Car comme je l'indiquais dès le début
"que l’on se rassure ; 
Les USA survivront à Trump 
comme ils ont survécu à Obama 
car la Force des USA réside avant tout dans ses institutions".
 

mercredi 15 février 2017

« Il a déjà tes yeux »


Superbe comédie « Alliance Ethnik », 
fleurant bon l’humanisme-potache 
qui régnait lors de notre Andalous des 80s, 
et qui fait un bien fou, 
aussi bien aux zygomatiques qu’au palpitant…

lundi 13 février 2017

«A grand pouvoir, grandes responsabilités» Ben Parker


A tous les détenteurs de matraques, flingues, 
et plus généralement d’autorité publique, 
au nom « du peuple par le peuple et pour le peuple »,
je les invite à faire de cette maxime d’oncle Ben 
leur fond d’écran…  

Maxime qui,
dans un registre plus Français,
résume assez bien les travaux
de Nicolas de Condorcet,
sur l'important sens des responsabilités 
qui doit sous-tendre l'action de ceux 
qui reçoivent une délégation de pouvoir populaire.

CondorSIL

vendredi 10 février 2017

Je Suis Roumain


Dieux que c’est beau !
Un peuple se dressant contre la corruption de ses élus !
Non, ce n’est pas chez nous.
C’est en Roumanie…

jeudi 9 février 2017

Mon petit François…

Étant donné que nos narvalos médiatiques semblent passer à côté des questions qui fâchent, allons-y…
 
François, mon petit gars, le problème c’est que :

1) Si ton réel rapport au pognon public (et privé -affaire en cours-) avait été connu dès la primaire, tu ne l’aurais sans doute pas remportée. Exit donc la pseudo-légitimité du « vote citoyen ».

2) Que désormais toute demande de serrage de ceinture chez le péquin de base, par un châtelain gavé d’argent public, sera susceptible de susciter chez le même péquin de très flamboyantes envies de jacquerie.

3) Que nous sommes un certain nombre à vouloir savoir s’il y a eu, bien plus qu’emploi fictif à l’Assemblée, bel et bien abus de biens sociaux chez la Revue des deux mondes…

Choses qui expliquent sans doute le très défiant score ci-dessus… 


mardi 7 février 2017

Fillon : Nemo auditur propriam turpitudinem allegans

Comment prendre en effet, désormais au sérieux, un père la rigueur et un père la morale mis en cause dans une affaire d’emploi fictif et/ou d’abus de biens sociaux…
Mais aussi un candidat à la magistrature suprême d’une démocratie dont la première vertu est la séparation des pouvoirs (judiciaire, médiatique, etc), et qui hurle de façon complotiste contre cette même séparation…
M’est avis que cela sent le cramé…

lundi 6 février 2017

Aux indignés sélectifs de la xénophobie d’État


Pour tous les pignoufs de l’indignation,
ayant envie de manifester devant des ambassades 
contre la xénophobie d’État, 
voici une liste à laquelle jusqu’ici, très étonnamment, 
ils n’ont pas pensé…