mercredi 30 mai 2018

dimanche 27 mai 2018

Bonne Fête des Mamans


Bonne Fête des Mamans 
avec "La Becquée" de Millet 
Et "La Nourrice" de Philippe Roll
depuis le PBA de Lille...


samedi 26 mai 2018

"Tu as explosé dans mon âme"


"Et après mille tourments, 
tu as explosé dans mon âme. 
Maintenant, 
je suis libre de te donner tous les recoins, 
alors que moi, de clandestine, 
je deviens maîtresse de ton cœur 
et en parfume chaque pièce. 
Il existe des procédés magiques 
qui abolissent les distances de l'espace et du temps : 
les émotions."

Simone de Beauvoir

jeudi 24 mai 2018

From Lyon With Love


 Nous irons trabouler à la Croix-Rousse

Nous deux, mon Amour,
c'était écrit sur les murs,
En début comme en fin de parcours...

#SmallestIsBeautiful
#LAmourEstVoyage


mercredi 23 mai 2018

Lyon : "L'Homme qui se prend en charge"


 Éviter d'être un poids,
même pour soi.
Se porter d'un pas léger,
même blessé...

#MéditationsLyonnaises

vendredi 18 mai 2018

Ulis à Bordeaux : Burdigala Dolce Vita


1) Un pingouin dans la brume du miroir d'eau
2) Dolce vita sur les Berges bordelaises 
3) Toute la majesté de la Place de la Comédie 
4) Du côté des Chartrons by Night 
5) Bonne nuit Bordeaux 

'Dieux que c'est doux
de te laisser envahir mes pensées,
car non seulement je me laisse faire,
mais surtout, j'y prends goût...' 


lundi 14 mai 2018

Un Pingouin à Bordeaux Plage


Sur Bordeaux-plage abandonnée
Ulis en a profité pour rêvasser
de coquillages et crustacés  

'Dieux que c'est doux
de te laisser envahir mes pensées,
car non seulement je me laisse faire,
mais surtout, j'y prends goût...' 
 

samedi 12 mai 2018

Eurovision : "l'an prochain à Jérusalem" :-)


Encore une fois, le Mossad a assuré :-)
L'An prochain à Jérusalem ! 

#NeJamaisConfirmerNeJamaisDémentir
#CeQuiNaJamaisExistéNExistePas ;-) 


jeudi 10 mai 2018

Abolition Day : Liberté !


Parce que les Carthaginois comme les Romains puis les esclavagistes Arabes et Turcs ponctionnèrent ma Galice de pas mal de mes vaillant(e)s ancêtres ; parce que coule dans mes veines la sueur comme le sang des serfs d’antan, le sang des belles Mauresques que mes ancêtres allaient ravir au sud de Coimbra mais aussi le sang des Noirs qu'ils ramenèrent d’Afrique au Portugal au cours du XVe siècle ; pour toutes ces raisons, je commémore aujourd’hui l’abolition de l’esclavage.

Comme par ailleurs, en plus du sang Noir, je dois bien avoir en moi un peu de sang négrier et puisqu’il s’agit de faire en sorte que celui-ci reste bien silencieux, je commémore chaque année le 10 mai.

Je commémore, non pas une victoire de la repentance mais ma fierté de nos Pères qui, après avoir hérité de ce crime contre l’Humanité, ont trouvé, eux, les premiers, le moyen de l’abolir et de le condamner. 

Je commémore ce progrès qu’ont su accomplir nos seuls Pères puisque en dehors du monde qu’ils nous ont bâti, l’esclavage reste endémique aussi bien en Afrique noire ou arabe qu’en Asie. 

Je commémore ainsi la défaite de la pensée esclavagiste, la victoire des Lumières, comme le refus de toute nouvelle soumission. Liberté !

mardi 8 mai 2018

8 Mai : je ne comprendrai jamais certaines coutumes hominidiennes


Samedi 6 juin 2009, à Colleville-sur-Mer, le président Sarkozy avait eu ces très belles paroles :
« Ils étaient 135 000 sur des milliers de bateaux. Ils formaient deux armées : l’une américaine, l’autre britannique et canadienne. Quelques heures plus tôt, Eisenhower leur avait souhaité « Bonne chance ! ». Tous se taisaient. A quoi pensaient-ils ces jeunes soldats le regard fixé sur la mince bande noire de la côte qui émergeait peu à peu de la brume ? A leur vie si courte ? Aux baisers que leurs mères déposaient tendrement sur leur front quand ils étaient enfants ? Aux larmes retenues de leurs pères quand ils étaient partis ? A celles qui les attendaient de l’autre côté de la mer ? A quoi pensaient-ils ces jeunes soldats dont le destin avait mis entre les mains le sort de tant de peuples, sinon qu’à 20 ans il est bien tôt pour mourir ? Leur silence était comme une prière. »
Oui leur silence était une prière mais je crois aussi, pour partie, l’expression d’une incompréhension.

Oui, je n’ai jamais compris pourquoi c’est à des gamins de faire la guerre. Je sais bien qu’il en est ainsi chez pas mal d’espèces animales, la notre y compris, qu’il s’agit là d’une forme de canalisation de cette violence intrinsèque à la jeunesse, mais non, non, je ne comprendrai jamais pourquoi il revient à des enfants de se sacrifier pour leurs parents. Ça n’a aucun sens, au sens humain, je l’entends. Pas le moindre !

Non, cela devrait être interdit. On devrait interdire la guerre aux moins de 35 ans, à tous ceux qui n’ont pas encore eu d’enfants. 
 
Instruction militaire ou martiale oui, mais la guerre non !

Et moi, si un jour ça devait péter de nouveau, je vous jure que j’interdirai à mes gosses d’y aller. Je les assommerai, les enfermerai dans la cave s’il le faut, mais ils n’iront pas à la guerre. Pas à ma place. C’est moi qui prendrai le fusil pour eux, moi et sûrement pas eux. Il est hors de question qu’ils se battent pour moi, qu’ils assument dans la mort la stupidité des choix de ma génération ou de la précédente. Il est hors de question que je leur survive, hors de question que j’ai à retenir mes larmes lors de leur départ !

Il est décidément des coutumes chez le sapiens-sapiens que je ne comprendrai jamais.

SILéonidas
 
PS : pendant ce temps-là, ces ordures criminelles du Hamas, placent de force des pauvres gosses de Gaza, en première ligne de leurs émeutes, dans l'espoir que l'un d'entre eux se prendra une balle perdue, le tout à des fins de propagande. Toutes choses que ne vous diront pas ces abrutis de l'AFP. Bande de Salauds ! 
 

lundi 7 mai 2018

Une Envie d'Ethiopie à Lille


Si une envie d’Éthiopie devait vous venir à Lille,
sachez qu'existe le restaurant Habesha,
8 rue des Lombards, pas loin de la gare.

Car mieux qu'un restaurant,
vous aurez droit à tout un voyage.

Apéritifs éthiopiens,
cérémonie du laver de mains,
grands plats traditionnels,
cérémonie du café et/ou du thé à l'encens,
le tout comme là-bas dis ! 

 Bières et apéritifs éthiopiens

Cérémonie du laver de mains (eau chaude citronnée)

 Grand plat traditionnel 
garni de céréales et légumineuses éthiopiennes, 
fromage, émincés de viandes relevées, 
le tout se mangeant avec le pain enroulé.

 Cérémonie du café (oriental) et du thé à l'encens


vendredi 4 mai 2018

Méditations lilloises


Méditations lilloises au PBA comme dans les rues de Lille

1) "La République" Jules Ziegler 1848 
La République, la force morale et puissance libératrice 
de ses principes gouvernés par la Raison.


2) Bonaparte par Jacques Louis David
Ou l'histoire d'une très délirante mégalomanie française,
une tentation toujours présente.


3)  "La mort de l'espion Morris" Camille Roqueplan
Hélène MacGregor, épouse de Rob Roy,
commandant la mise à mort du très intriguant et félon Morris. 
#LoveYouHelene
 

 4) Les Trois Parques 
Chose étrange que la trame du temps.
Chose frustrante que cette image du destin humain et divin,
déroulé tel un immense cordon ombilical, 
du début jusqu'à la fin,
par trois vieilles déesses stériles.
Moi qui aime à croire que le coup de cisaille,
marque la naissance libératrice et nullement le glas final.


4) Ghandi sur le mur d'une cité du côté de Saint-Sauveur
"Commencez par changer en vous,
Ce que vous voulez changer autour de vous"
Eh oui ! 

jeudi 3 mai 2018

Conquêtes libérales : le syndicalisme


Mardi 1 mai, après plusieurs séries de logorrhées extrêmement pénibles à suivre, Gogo l'Insoumis me dit « je suis certain que le libéral que tu es déteste les syndicats et le syndicalisme, n’est-ce pas ? ».

Après un soupir, de ces soupirs caractéristiques de ma soupirite, maladie que j’ai contractée après un contact aussi prolongé que répété avec l’inculture dont souffre notre société, je lui réponds « connais-tu Waldeck-Rousseau ? ».

« Non, quel est le rapport ? » qu’il me rétorque. Je soupire de nouveau.

Sans développer la question d’un syndicalisme rouge qui est au syndicalisme ce que le communisme est à la démocratie, je me contente de rappeler la chose suivante.

« Waldeck-Rousseau, non seulement faisait partie de ces immondes libéraux dont je suis, attachés à la liberté d’association, mais surtout il fut le ministre de l’intérieur qui fit voter le 21 mars 1884 la loi qui porte son nom. La première loi autorisant la formation de syndicats en France. »

Gros blanc en face, ou plutôt gros rouge…
 


mardi 1 mai 2018

Rampage à Paris pour le 1er Mai


 Rampage : hors de contrôle

Tiens ! Les infos viennent de me donner envie d'aller au cinoche voir Rampage : une histoire de primates idéologiquement modifiés qui saccagent tout sur leur passage... à tout... je vous dirai si le film est meilleur que la manif... #FictionVsRéalité #BigBlackBlocs

1er mai en France et en Arménie

- D'un côté, des dizaines de milliers d'Arméniens qui se mobilisent pacifiquement mais néanmoins résolument pour mettre un terme à un régime oligarchique particulièrement vérolé, et pour plus de liberté et de progrès...

- De l'autre, à Paris, un millier de casseurs nihilistes chauffés à blanc pour les démagogues de tout poil de notre pays, qui gâchent la Fête des travailleurs au nom de rêveries de branleurs...

Convergence des Brutes et Fête des Casseurs

Avec une petite pensée pour nos démagogues qui jouent depuis plusieurs mois aux grands maréchaux de "la convergence des luttes", et qui face au bordel nihiliste des Casseurs, nous font le coup du "complot policier-gouvernemental-et-ou-d-extrême-droite".

 #PauvresFous #Irresponsables