Journée de deuil national pour l'un des plus caricaturaux représentants de la vieille classe politique franchouillarde corrompue jusqu'à la moelle.
Du coup, permettez-moi de citer Chirac pour décrire l'effet que m'a produit son décès : "cela m'en a touché l'une sans faire bouger l'autre".
Ne m'en voulez pas, mais de devoir casquer pour les funérailles en grande pompe, d'un parasite qui nous aura déjà coûté assez cher de son vivant, ne soulève pas vraiment mon enthousiasme.
C'est qu'il ne faudrait pas que ces gens-là puissent se prendre, à un quelconque moment, pour des bienfaiteurs de la Nation ou de l'Humanité. Ils ne sont, pour la plupart d'entre eux, qu'un mal nécessaire...