dimanche 15 février 2009

AMOR I LOVE YOU : A TRIBUTE TO LOVE

Des jolies langues, il y en a plein. Toutefois, il y en a une qui supplante largement toutes les autres, la langue brésilienne. Oui, je dis bien le brésilien et non le portugais, qui bien qu’étant une langue bien gentille et courageuse, est à ce point distante de sa sœur brésilienne question beauté, que je me refuse depuis longtemps à faire l’amalgame entre les deux. Une langue encore plus belle lorsqu’elle s’habille de mélodies. Toutes choses qui en font la langue maternelle de l’Amour. C’est ainsi qu’en ce week-end valentin, je vous propose, en guise de tribut à l’amour, trois chansons brésiliennes dont je vous ai traduit les paroles.

Nous commencerons avec « ja sei namorar », « je sais enfin flirter », des Tribalistas, à l’attention de ceux qui ont appris ce week-end :



Je sais enfin flirter ; je sais rouler une pelle ; il ne me reste plus qu’à rêver. Je sais où aller ; je sais où pouvoir rester ; il ne me reste plus qu’à sortir.

Refrain : Je n’ai pas de patience pour la télévision ; ne suis pas bon public pour la claustration. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde me veut du bien. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde se fait mien.

Je sais enfin flirter ; je sais toucher une balle ; il ne me reste plus qu’à gagner. Je n’ai pas le sérieux pour faire de la vie un jeu ; ce que je veux, ce n’est rien d’autre qu’être heureux.

Refrain : Je n’ai pas de patience pour la télévision ; ne suis pas bon public pour la claustration. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde me veut du bien. Je ne suis de personne ; je suis à tout le monde et tout le monde se fait mien.

Je t’aime comme personne ; je t’aime comme Dieu le veut ; je t’aime comme je t’aime ; je t’aime comme on se doit d’aimer…


Maintenant c’est au tour de la magnifique chanson « Amor I love You », de Marisa Monte, l’une des plus grandes chanteuses brésiliennes, présente dans le trio des tribalistas, et qu’elle interprète ici en duo avec l’un des plus adorables vieux crooners encore vivants, Roberto Carlos :



"Laisse-moi te dire que je t’aime ; laisse-moi penser à toi ; cela me calme, me berce l’âme, me rend la vie bien plus belle.

J’ai raconté aujourd’hui à mes murs, ce que renfermait mon cœur ; me baladant dans le temps, me promenant sur les heures, celles qui font durer la passion. C’est un miroir sans raison. Mon amour est ici. Mon amour reste ici.

Mon sein détonne. Je vis dans l’allégresse. Car mon amour est ici. Amor I love you. Amor I love You…
"

Si vous avez aimé, voici aussi cette magnifique version en solo enregistrée lors d'un concert de Marisa monte.

Et pour conclure avec une petite pensée pour tous les musul-amants qui s’évertuent à fêter l’Aïd de l’Amour, voici « Taj Mahal », le monument musical que Jorge Ben Jor bâtit à la gloire de l’une des plus belles histoires d’amour en terre d’islam. Allamour wakbar !



« Voici la plus belle histoire d’amour que l’on m’a raconté et que maintenant je vais vous raconter. L’amour du prince Xà-Jehan pour la princesse Num Mahal. L’amour du prince Xà-Jehan pour la princesse Num Mahal.

Dê, dê, dêdêredê… Dê, dê, dêdêredê… Dê, dê… Taj Mahal… Taj Mahal…
»

SILberto SIL

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