mercredi 21 octobre 2009

L’islam et nous : nos cousins Teutons ont de plus en plus l’impression d’être pris pour des gros jambons (hallal).


En application du vieil adage « tant que je gagne je joue » les dirigeants de la communauté islamo-turque d’Allemagne veulent toujours plus, ce qui commence à susciter une saine réaction dans l’opinion publique allemande.

C’est ainsi que la société allemande, mais pas seulement, réagit fort mal (ou plutôt fort bien) à une demande de Kenan Kolat, président de la communauté turque en Allemagne. « Je trouverais bien que l'on puisse accorder une journée de congé à tous les enfants allemands pour la fête musulmane qui marque la fin du Ramadan, l'Aïd-el-Fitr », a lancé Kolat dans un appel dans Berliner Zeitung, « Ce serait un signe de tolérance.» Une demande que ne goûte guère Seyran Ates, la célèbre avocate turque spécialisée dans les droits des femmes ; « Les gens simples en Allemagne vont penser : “Mon dieu, mais les Turcs veulent toujours plus de droits spécifiques. Il faut que cela s'arrête. Où est le jour de la fête juive ?”» Et oui où sont les jours fériés d’une communauté présente en Europe depuis 2000 ans ? (source)

C’est ainsi également que les autorités municipales de la ville de Rheinfelden se sentent flouées. Après avoir accordé en 2002 l’autorisation de la ville pour la construction d’un minaret, voici qu’elles se retrouvent avec des hauts-parleurs diffusant les appels à la prière, avec pour justification, pleine de mauvaise foi, celle-ci ; « il n'y a pas de faute car un nombre maximum de décibels avait été fixé dans l'accord ». Un petit jeu qui appelle en guise de réponse au moins celle de la célèbre scène d’OSS 117 présentée ci-dessus.(source)

OSSIL 007

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