Parce qu’il y a toujours quelque chose de franchement pourri et
inquiétant dans un pouvoir qui n’accepte pas l’interpellation franche ou
l’invective de la part des citoyens, ou bien qui ne parvient pas à se
placer au-dessus de ces expressions de mécontentement, je leur rappelle
les propos de Clemenceau, mais aussi le risque pour ces messieurs, s’ils
continuent dans cette voie là, de finir piqués autrement que par des
injures…
Non mais pour qui vous prenez-vous ?
PS : autant je partage pas mal d’idées d’Emmanuel Macron, autant ses
sorties de petit péteux prépubère commencent à me sortir par les yeux…
1) Macron sur le «costard» : «On ne tutoie pas un ministre, on ne l’invective pas»...
2) Cherbourg : de la prison pour avoir insulté Bernard Cazeneuve…
Georges Clemenceau, Président du Conseil, prononce en 1917, en pleine
guerre mondiale, alors qu’il venait d’être attaqué férocement dans un
article de presse: « Le droit d’injurier les membres du gouvernement
doit être mis hors de toute atteinte ».
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