- État de droit. Le logeur de terroristes et baratineur
émérite qu'est Jawad est relaxé pour n'avoir rien avoué. Lelandais, lui, à court de baratin,
avoue enfin un crime fortuit dans l'espoir d’écoper le minimum. De son côté
Tariq Ramadan invoque le mauvais sort médical pour tenter de sortir de son
cachot. Décidément, user et abuser des subtilités de l'état de droit
devient un art majeur.
- Féminismose. Caroline de Haas,
célèbre misandre spécialisée dans l'élargissement des trottoirs, invente
le féminisme de caniveau en
affirmant qu'un homme sur deux serait un agresseur (de femmes). Que
n'aurait-elle pas dit si un homme tel qu'Orelsan avait chanté un titre
du
genre "une femme sur deux est une pute".
- Quand on parle du loup. Orelsan couine "à la liberté d'expression" parce qu'il s'en prend plein la gueule depuis ses Victoires de la Musique. Histoire de rester dans les grands principes, rappelons de façon "basique" qu'il doit conserver le droit de chanter toutes les merdes qu'il veut, et que celles et ceux qui n'aiment pas ce qu'il chante doivent garder celui de lui signifier que c'est de la merde, ou bien, en termes moins râpeux, de lui renvoyer toute la véhémence dont il a fait, fait, ou fera commerce (personnellement, j'aime bien son clip "basique").
- Vie sexuelle
des grands singes. En parlant d'hommes politiques, lorsque je prends connaissance des
frasques sexuelles de nos hommes et femmes de pouvoir, et que je contemple leurs gueules si peu bandantes, je ne peux
m’empêcher de me dire que si certain(e)s couchent dans l'espoir de
réussir, d'autres ont visiblement la rage de réussir dans le seul but de pouvoir
coucher.
- "Faire danser les diables et les dieux". Johnny, fidèle à lui même, est parti en "allumant le feu" dans sa maison
et en "donnant l'envie" à ses héritiers "d'avoir envie" de s’étriper. Je n'en dirai pas plus. La
vie des crève-la-dalle-aux-dents- longues du showbiz ne
m'intéresse pas plus que ça. Encore que, à bien y réfléchir, je
proposerais bien à ces très généreux braves gens de faire la paix en
rétrocédant l’héritage du Johnny à une fondation pour orphelins. Une
fondation philanthropique, voilà une idée qui collerait parfaitement à
l'amour de
l'Amérique que disait avoir Hallyday.
- Bon ! Heureusement
qu'il me reste Michel Onfray pour me détendre et me faire rêver. Dans une récente vidéo, v'là-t'y pas que, droit dans ses pantoufles, et fier
comme un pape, notre très cuistre philosophe populaire, commence son brulot de la semaine sur l'autre très
fumeux Monseur Hulot avec ces mots "je me souviens d'avoir vu un
reportage télévisé dans lequel Nicolas Hulot nous apitoyait sur le sort
des ours blancs en Antarctique, accompagné d'un Inuit". WTF ! Il y a pas d'ours, ni d'Inuits en Antarctique, tocard ! Il n'y a
que des manchots. Mais bon, t'es pas à une connerie près mon lascar
(en économie, géopolitique, écologie, etc). Quel dommage, car à part cette très normale inversion des pôles chez un
Onfray aux fraises qui perd souvent le Nord, je partageais dans les grandes lignes sa
vision du très tartuffe Monsieur Hulot...
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