Pour une fois, je ferai très court. Ce Jack Ryan nouvelle génération est vraiment « too much » : trop patriotique, trop héroïque, trop intelligent, trop mignon, trop sympa. Beaucoup trop, quoi. A tel point que même son petit moment de faiblesse, genre « je n’arrive à retenir l’adresse du point alpha alors que je suis capable de gérer 4 milliards de données à la seconde », est décidemment de trop.
C’est simple, à côté de lui, un James Bond des plus frénétiques passerait pour une succession de petites péripéties du quotidien tout à fait plausibles.
Non, la seule chose de crédible dans ces initiatives de la famille Ryan, ce sont celles de sa copine. J’en ai connu une, presque en tous points identique. Une initiative dont je me mords encore les doigts.
Ces petites considérations mises à part, ça fait du bien de revoir Kevin Costner à l’écran…
Les Cahiers du SILnéma
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