Me voici entièrement d'accord avec Sonny Bunch du Washington-Free-Bacon. Le Robocop 2014 a quelque chose de profondément has-been, bien que réussi visuellement...
En effet, en sortant de la salle, je me suis dit, autant le premier volet portait les interrogations des années 80 sur la robotique et la criminalité galopante, autant la version 2014 ne pose aucune nouvelle question, n'apporte rien d'innovant, se contentant de réchauffer de la vieille soupe militaro-industrielle.
Sans compter que le côté bionique parait d'autant plus décalé qu'à l'heure de l'impression 3D et des exosquelettes en nanoparticules, la réparation humaine s'annonce par voie d'impression de cellules souche, et les armures militaires bien plus spectaculaires. Bref, coupez !
Les Cahiers du SILnéma
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire