Mon beau Léman,
Dans la clarté cristalline de tes flots,
Je serais venu, il y a encore quelques temps,
Très certainement, chercher paix et repos,
Ou bien des réponses perlées en dedans,
Sans parvenir à oublier le chant de l’Océan.
Mais mon beau Léman,
En te voyant à la fête de nos sentiments,
Je saisis que l’éclat céruléen de ton vernis,
S’avère aujourd’hui, le miroir le plus poli,
Le seul à même de souligner ce tendre azur,
Qui illumine le regard rieur de mon Amour.
Et mon bleu Léman,
Nous promenant à la lisière de tes ondes,
Frémissantes tel un drap de saphirs agité de soupirs,
La joie à fleur de peau, j’ai savouré comme peu souvent,
La délicate fraîcheur de tes caresses soyeuses,
Sur mon sein bouillonnant et son cou si charmant.
Aussi mon bleu Léman,
Si je peux, je t’en prie, en romand,
Que ces douces brises dévalant les cimes,
Où des neiges éternelles bisent les nuages de passage,
Puissent souffler pour toujours, sur nos âmes heureuses,
De voguer sur tes eaux, toutes voiles au vent.
Enfin, mon beau Léman,
Enluminé de bleu, de vert et de blanc,
Si profond et si grand, limpide et franc,
Tout en tenant mon Ciel par la main,
Mes yeux souvent plongés dans les siens,
De l’Océan, j'ai oublié, le sel, le tumulte et le chant.
Merci infiniment mon doux Léman…
Je serais venu, il y a encore quelques temps,
Très certainement, chercher paix et repos,
Ou bien des réponses perlées en dedans,
Sans parvenir à oublier le chant de l’Océan.
Mais mon beau Léman,
En te voyant à la fête de nos sentiments,
Je saisis que l’éclat céruléen de ton vernis,
S’avère aujourd’hui, le miroir le plus poli,
Le seul à même de souligner ce tendre azur,
Qui illumine le regard rieur de mon Amour.
Et mon bleu Léman,
Nous promenant à la lisière de tes ondes,
Frémissantes tel un drap de saphirs agité de soupirs,
La joie à fleur de peau, j’ai savouré comme peu souvent,
La délicate fraîcheur de tes caresses soyeuses,
Sur mon sein bouillonnant et son cou si charmant.
Aussi mon bleu Léman,
Si je peux, je t’en prie, en romand,
Que ces douces brises dévalant les cimes,
Où des neiges éternelles bisent les nuages de passage,
Puissent souffler pour toujours, sur nos âmes heureuses,
De voguer sur tes eaux, toutes voiles au vent.
Enfin, mon beau Léman,
Enluminé de bleu, de vert et de blanc,
Si profond et si grand, limpide et franc,
Tout en tenant mon Ciel par la main,
Mes yeux souvent plongés dans les siens,
De l’Océan, j'ai oublié, le sel, le tumulte et le chant.
Merci infiniment mon doux Léman…
Sil
"Montagnes,
flots et ciel,
n'est-ce point une partie de moi-même,
une partie de mon
âme ?
ne suis-je point, moi aussi,
une partie de tout cela ?"
Lord
Byron
Le fjord du Léman :
Géologiquement, c’en est un ;
Géologiquement, c’en est un ;
esthétiquement aussi ;
hydrologiquement
bien plus doux ;
et surtout, c’est moins loin que la Norvège :)
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