lundi 4 mai 2020

Brèves de déconfinement en France : Doudou la Flipette


- Avec notre Normand de Premier ministre, comme pour le confinement, le déconfinement c'est "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non". 

- Accompagné de Dame Si Bête nous chantant la nouvelle partition gouvernementale : "déconfinez-moi, oui, mais pas tout de suite, pas trop vite".

- En somme, avec Doudou La Flipette, le déconfinement s'annonce plus flippant que le confinement.

- Car comme le dirait Clemenceau, "il est plus facile de faire la Guerre (sanitaire) que la paix".

- A moins que le gouvernement de Doudou la Flipette ne piétine et  pinaille, non pas pour nous protéger, mais pour se protéger de nous.

- Du coup, nous voici avec la France, ce Pays du Prozac, coupée en deux : les forces vives du pays qui veulent revivre, et les hypocondriaques syndiqués  qui veulent rester confinés-payés.

- Il faut dire qu'à force de mentir et de gouverner au conditionnel, le gouvernement de Doudou La Flipette a installé un climat morbide, dans lequel notre pays s'est englué jusqu'aux sinus, or les Français ont besoin d'espoir, de faire des projets, de travailler, de vivre...  

- Par conséquent, plutôt que maintenir un climat maladif, en plus de la nécessaire démission  d'un gouvernement incarnant à ce point le mensonge comme la tatillonne absence de réactivité aux conséquences délétères, au vu de nos connaissances actuelles, le message doit être le suivant

Protégez-vous  ! (avec masques et gestes sanitaires) afin de ne pas devenir un danger pour les plus fragiles d'entre nous  (nos ainés - seules personnes réellement à risque - les enfants et les adultes en bonne santé ne risquant rien), et que la vie redémarre dare-dare !

- C'est fou tout de même, ce dilemme que j'aurais entretenu avec ce gouvernement de Doudou la Flipette : celui d’adhérer à presque  tous les principes qu'il énonçait (la démocratie-libérale, le pragmatisme, la solidarité, le courage) mais quasiment à rien de ce qu'il faisait ces derniers temps.

 - Conclusion : l'histoire retiendra que non seulement "La République En Marche" a mis le pays à l’arrêt, mais qu'elle ne savait pas comment le redémarrer... 

SILceron
 

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