dimanche 1 août 2010

Private joke-box : un colossal « dei-te quase tudo »



Voici encore un classique incontournable de la chanson sentimentale portugaise, le « quase tudo », « presque tout », de Paulo Gonzo. Clip officiel visible ici. Traduction et adaptation pas bibi :

« Tu es entrée sans demander, pour apposer tes scellés. Tu as tatoué ma vie, au fer, au feu, et plus encore. Tu as souillé tous mes secrets, et j’ai laissé faire, sans réserve, ni pudeur. Tu as envahi mes sens. Ce que je n’aurais pas fait par amour. Puis tu as laissé ma vie à demi perdue, dans cette voie sans issue.

Je t’ai presque tout donné, mais presque tout était de trop. Je t’ai presque tout donné, remballe maintenant tous tes sceaux.

Pour toi, j’ai brisé toutes les lois, abandonné à ce goût-là. De la folie, je t’ai offert les doigts et les anneaux, et ce que j’avais de meilleur…

Je t’ai presque tout donné, mais presque tout était de trop. Je t’ai presque tout donné, lève maintenant tous tes scellés
. »

Version portugaise (paroles et musique : Paulo Gonzo)

« Foste entrando sem pedires,
e marcaste os teus sinais.
Tatuaste a minha vida, de
ferro e fogo e muito mais.
Vasculhaste os meus segredos,
e eu deixei,
sem reservas, nem pudor. Invadiste os meus sentidos.
O qu'eu não fiz por amor.
E deixaste a minha vida
meia perdida,
neste beco sem saída.


Dei-te quase tudo,
e quase tudo foi demais.
Dei-te quase tudo,
leva agora os teus sinais. 



Obrigaste-me a quebrar todas as leis,
e deixaste-me ao sabor. Da loucura,
dei-te os dedos e os anéis,
e o que tinha de melhor…

Dei-te quase tudo,
e quase tudo foi demais.
Dei-te quase tudo,
leva agora os teus sinais
. »

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