Ah La Baule, sa baie, sa paix, sa
douceur, ses douceurs, ma cure de blondeur, de visages très souvent sympathiques
offerts aussi bien par les gueux du coin et d’ailleurs, que par les vieilles
familles bourgeoises reconnaissables à leur très seyante discrétion, sans
oublier les nouveaux riches aux formes de tenues surchargées…
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