« Mais qui diable êtes vous » me demandait l’autre jour mon bon Monsieur d’Aucun. « Père de famille, amant, travailleur, penseur, militant distribuant les coups sur plusieurs fronts, tordant le cou à plusieurs hydres idéologiques en même temps, ici et ailleurs… orator-bellator-laborator… les trois ordres anciens réunis en un seul homme… mais qui diable êtes-vous, sieur SIL ? »
« Qui sait, le diable peut-être », lui ai-je répondu…
Mais non voyons. Que monsieur d’Aucun se rassure ; « pauvre diable », peut-être ; possédé par mon « daimôn », parfois ; mais satanique, surement pas. Je suis bien trop humaniste pour cela.
En fait, je suis l’un des ninjas de l’infosphère, dont un long entraînement a fait un guerrier redoutable, spécialisé dans ce tomoe-nage que j’aime servir à tous les ennemis de la raison. Un ninja aimant se fondre dans l’ombre, fondre depuis l’ombre sur les idées malfaisantes que dispensent les ennemis du genre humain. Ce genre humain que je reconnais pour seul et véritable maitre.
Mais je crois qu’il est temps pour moi de disparaître d’ici afin de me démultiplier ailleurs. Vite un petit kuji-kiri. Posture « retsu », celle qui contrôle le temps et l’espace. C’est parti pour la formule. « On hirota ki shanoga jiba tai sowaka. » Voilà, je disparais. Super, non ? Comment ça, vous me voyez encore. Mais non voyons, en principe, on ne me voit plus, là. "Si". Bande de mécréants, va. Allez, déguerpissez, je vous ai assez vu comme ça…
SILóng Tài-Yáng
« Qui sait, le diable peut-être », lui ai-je répondu…
Mais non voyons. Que monsieur d’Aucun se rassure ; « pauvre diable », peut-être ; possédé par mon « daimôn », parfois ; mais satanique, surement pas. Je suis bien trop humaniste pour cela.
En fait, je suis l’un des ninjas de l’infosphère, dont un long entraînement a fait un guerrier redoutable, spécialisé dans ce tomoe-nage que j’aime servir à tous les ennemis de la raison. Un ninja aimant se fondre dans l’ombre, fondre depuis l’ombre sur les idées malfaisantes que dispensent les ennemis du genre humain. Ce genre humain que je reconnais pour seul et véritable maitre.
Mais je crois qu’il est temps pour moi de disparaître d’ici afin de me démultiplier ailleurs. Vite un petit kuji-kiri. Posture « retsu », celle qui contrôle le temps et l’espace. C’est parti pour la formule. « On hirota ki shanoga jiba tai sowaka. » Voilà, je disparais. Super, non ? Comment ça, vous me voyez encore. Mais non voyons, en principe, on ne me voit plus, là. "Si". Bande de mécréants, va. Allez, déguerpissez, je vous ai assez vu comme ça…
SILóng Tài-Yáng
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