Dimanche : le torero Manuel Valls. L’Ibérique est « fier et ombrageux, avec un tout petit cul pour éviter les coups de corne » faisait savoir le très regretté Pierre Desproges dans « les étrangers sont nul ». A l’évidence, ce pas si nul de Valls valide l’adage puisqu’il est parvenu jusqu’ici à éviter les coups de corne politiques, tout en obtenant la queue du gouvernement Ayrault, et en gardant l’oreille du président. Olé !
Lundi : C’est la rose l’important. Quelque chose me dit qu’il va être particulièrement difficile de se débarrasser de la mauvaise herbe verte. A peine arrachée, la voilà qui repousse déjà, avec la volonté d’étouffer la future moisson du nouveau gouvernement Hollande. En même temps, il faudrait peut-être cesser de les arroser d’argent public.
Mardi : cercueils gigogne et mise en abyme. Alors qu’en France on préfère faire repentance des massacres lointains pour mieux oublier les massacres récents, au Rwanda le président Kagame préfère souligner le génocide subi par 800 000 Tutsi, dans lequel la France a une part de responsabilité, pour mieux oublier les 5 000 000 de victimes d’une guerre dans le voisin Congo, dans laquelle lui et ses proches ont les mains particulièrement ensanglantées.
Mercredi : Hollande s’est tuer. Pendant ce temps-là François Hollande s'échine à éviscérer avec la minutie d’un psychopathe particulièrement maniaque tout son catalogue de promesses, puisqu’il s’est finalement décidé à se mêler officiellement de la vie du parti socialiste pour placer dans son gouvernement exemplaire un repris de justice aussi dilettante que totalement incompétent.
Jeudi : Qui stoppera le sérial killer russe. Le gendarme du monde étant trop occupé à traquer le moindre indice du très fumeux réchauffement climatique, le forcené russe mieux connu sous le nom du 'démembreur de St Petersbourg’ continue à torturer l’Ukraine de beauté qu’il compte bien maintenir en captivité.
Vendredi : Cessez le feu. Au moment où Barack Obama, tout à son TOC, venait de briquer pour la 57e fois de la matinée son prix Nobel de la paix, celui-ci a été informé que la future présidente des Etats-Unis venait d’échapper de justesse à une tentative d’assassinat. Ses services l’ont toutefois rapidement rassuré. La chaussure n’a fait que frôler l’ego d’Hillary Clinton…
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