1) Un Tableau (dans la friche industrielle de l’Avenue Pireios) qui
résume bien la situation grecque :
Une voiture rouge-gaucho qui se prend
un mur avec un jeune Grec rouge-brun et un chat de gouttière qui n’ont
rien compris au film…
2) Week-end dernier à Athènes…
Où j’ai compris pourquoi les Grecs sont pédés et pourquoi la Guerre
de Troie a eu lieu. D’une part les hommes Grecs ont les traits souvent
plus fins que ceux des femmes, pas terribles dans une grande
proportion. Du coup quand il y a une Grecque mortelle, il y a des
risques pour qu’on se l’arrache à coup de dizaines de milliers de
cadavres (voir aussi le clip grec du moment ci-après)…
Où je suis bien content d’avoir descendu la relativement active
avenue Andrea Siggrou (secteur tertiaire) jusqu’à la luxueuse Marina de
Paleo Faliro avant de remonter les 5 km de friche industrielle de
l’avenue Pireios, faute de quoi je serais resté sur une impression de
désolation économique quasi totale…
Où j’ai côtoyé une population particulièrement terne : polie mais pas
chaleureuse, pas désagréable mais pas aimable non plus, ne transpirant
pas particulièrement la joie de vivre…
Où j’ai déambulé tout mon soûl dans une cité touristique, défigurée
par les graffitis, où pas grand chose n’est fait pour le tourisme ni
pour le bizness touristique… largement surclassée au final par la proche
Istanbul (oui, je sais, ça fait mal)…
SILamproclès
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