Au rayon observations aussi bien proches que lointaines, c'est marrant comme le stéréotype
du fouteur de merde reste constant depuis la nuit des temps.
Ce même regard torve et cette façon oblique de se regarder marcher ; cette semblable fourberie sous masque de sympathie ; cette même façon de se frotter les mains ou le nombril tout en distillant ses très toxiques poisons au goût mielleux.
Ce similaire et exclusif talent pour le jet de boules puantes et moussage de purin, dans le seul espoir de tirer profit de toutes ces très pitoyables petites histoires.
Tout ça par désir maladif d’être le nombril du monde, alors qu’au vu du merdier systématiquement généré partout où il passe, le fouille-merde n’en est, à l’évidence, que l’un de ses multiples trous-du-cul.
Silgmund
Ce même regard torve et cette façon oblique de se regarder marcher ; cette semblable fourberie sous masque de sympathie ; cette même façon de se frotter les mains ou le nombril tout en distillant ses très toxiques poisons au goût mielleux.
Ce similaire et exclusif talent pour le jet de boules puantes et moussage de purin, dans le seul espoir de tirer profit de toutes ces très pitoyables petites histoires.
Tout ça par désir maladif d’être le nombril du monde, alors qu’au vu du merdier systématiquement généré partout où il passe, le fouille-merde n’en est, à l’évidence, que l’un de ses multiples trous-du-cul.
Silgmund